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Citations sur Cultiver son petit jardin intérieur (66)

Consacrer notre énergie à des chose futiles, désirer ce que l'on ne peut pas obtenir, se disperser en tout sens. Tout effort doit avoir un but précis. Octroyons a notre esprit des moments de pause qui le nourrissent et lui permettent de récupérer.
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Il est difficile pour certains de se retrouver seuls en toute transparence avec eux-mêmes. Ils sont trop pris par leurs nombreuses occupations qui, d'une certaine manière, les divertissent en les détournant de l'essentiel. Ils n'ont pas une minute à eux, affirment-ils. D'autres vont de voyage en voyage, de spectacles en spectacle, et ainsi chacun se fuit toujours ! Mais à quoi cela sert, puisque l'on est toujours obligé de supporter sa propre compagnie !
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Les êtres fleurissent et puis chacun revient à sa racine. Revenir à sa racine s'appelle la tranquillité.
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Le grand violoniste et chef d'orchestre Yehudi Menuhin disait : "Le silence est une tranquillité mais jamais un vide ; il est clarté jamais absence de couleur." Celui qui œuvra pour la paix constatait amèrement que "l'homme échoue à devenir un être de compassion, il est incapable d'entraide" et il ajoutait : "Il faut partager avec ceux qui ne nous ressemblent pas, car la différence nous enrichit. Il faut respecter ce qui est unique chez les autres." La différence n'est pas une menace, ne la jugeons pas. Oublions nos catégories mentales binaires qui classent souvent en bon et mauvais, beau et laid, ça se dit ou fait et ça ne se dit pas ou ne se fait pas ; car il est toujours question d'exclure ou inclure. La réalité est plus riche, plus dynamique, plus souple que cette dualité rigide de notre façon de penser.
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Nous n'osons pas chercher au fond de nous ce qui nous rend malheureux, pourtant nous sommes responsables de nos passions.
(...)
Il est difficile pour certains de se retrouver seuls en toute transparence avec eux-mêmes. Ils sont trop pris par leurs nombreuses occupations qui, d'une certaine manière, les divertissent en les détournant de l'essentiel. Ils n'ont pas une minute à eux, affirment-ils. D'autres vont de voyage en voyage, de spectacle en spectacle, et ainsi "chacun se fuit toujours" ! Mais à quoi cela sert, puisque l'on est toujours obligé de supporter sa propre compagnie !
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On peut aussi se poser cette question : et si ces jardiniers avaient plus d'ennemis que d'amis ? Pour protéger son jardin, on commence par le clôturer : grillage, haies, palissades, murs, tout est bon pour que l'on n'entre pas dans cet espace privé. Les jardins de case, en Guadeloupe, étaient délimités par des plantes magiques et qui franchirait cette barrière symbolique tomberait malade. Les intrus ne sont jamais les bienvenus !
Pourtant, un poème des Indiens Crees raconte que, lorsque les taupes sortent de leurs galeries la nuit, c'est pour admirer les étoiles. Et c'est une belle rêverie. Les Indiens n'avaient pas de potagers et n'en percevaient pas l'utilité : pourquoi auraient-ils blessé le dos de la terre avec des outils tranchants ? Les taupes ne les dérangeaient pas vraiment.
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Nous construisons nous aussi des murs pour nos propres labyrinthes où nous nous perdons. Et si nous sommes souvent incités par des "Tu vas t'en sortir !", ce n'est jamais facile de faire taire ses ruminations, de retrouver la lumière après un long obscur, celui du deuil, de la souffrance, des angoisses, de la solitude ou de la peur.
"Le poids des murs ferme toutes les portes" (Paul Eluard, 1969, Poésie ininterrompue).
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JFMAMJJASOND sont alignés en colonne, non pas comme un code secret à l'usage de quelques initiés, mais comme des repères pour un jardinier novice ou distrait. Trop tôt ou trop tard, tout pourrait être gâché par des initiatives malheureuses. Au jardin, on ne fait pas n'importe quoi, n'importe comment, même en aidant la nature lus que de raison.
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Je pense en effet qu'il n'y a pas de paix dans le monde tant que chacun de nous ne prendra pas soin de sa paix intérieur, comme un jardinier prend soin de ses fleurs - chaque jour.
Commençons par cultiver la paix à l'intérieur de nous-même
Elle se propagera ensuite par rayonnement : la paix c'est contagieux !
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Ce n'est pas d'un tête à tête, ni d'un corps à corps c'est d'un cœur a cœur dont nous avons besoin.
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