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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Un livre pour les ados mais cela se lit gentiment.
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Un virus foudroyant fait son apparition. Les premières victimes sont des adolescents et leur entourage au moment où ils déclarent la maladie...Une enquête policière permet de conclure assez vite que ce virus, très contagieux, est véhiculé par 57 jeunes, tous nés grâce à la procréation médicalement assistée, et que le virus a été transmis par le donneur...Va alors s'ensuivre une course contre la montre pour retrouver le père biologique de ces jeunes gens et pouvoir élaborer un vaccin. Parallèlement à cela nous suivons Sia et Virgil, deux des adolescents concernés, qui ont pris la fuite suite à un quiproquo...
Un roman dont la thématique de départ plutôt axée "science fiction" m'avait attirée, mais je suis restée sur ma faim...J'avais imaginé une "raison" derrière le fait que le donneur véhicule un virus. Une histoire qui plaira donc plutôt aux fans de romans policiers et d'action!
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Virus 57 est un roman de Christophe Lambert et Sam VanSteen. Entre le scénario d'un film catastrophe et d'une série Américaine, ce roman à suspense est très entraînant. le Center of Disease Controls découvre que 57 adolescents sont atteint d'un virus mortel. Il se lance à leur recherche après avoir découvert qu'ils ont tous le même père biologique. Mais deux de ces adolescents s'échappent. Vivez les péripéties de ces deux adolescents, Virgil et Sia, ainsi que celles de Tommy Bannister, le chef du Center of Disease, et d'autres personnages. Ce livre m'a beaucoup plu car il était très prenant : je n'ai pas pu m'arrêter de le lire tellement je voulais connaitre la suite de l'histoire. Les 376 pages se lisent très vite. Je vous conseille vivement ce livre.
Fefe du 21.
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Je n'ai pas trouvé ce livre particulièrement passionnant bien que le changement de narrateur à chaque chapitre lui donne du rythme. Je le qualifierais plutôt de superficiel et un peu décevant car les auteurs n'approfondissent rien ni les personnalités, ni le thème (la contamination) qui pourtant aurait mérité d'être développé et aurait rendu ce thriller palpitant et glaçant.

Thoma
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Le point de départ de ce roman est un peu tiré par les cheveux : 57 adolescents ont été contaminés par un virus inconnu par leur père biologique, donneur pour l'insémination artificielle.
Ce virus dormant ne se déclenche qu'à l'adolescence quand la température ambiante atteint un certain degré. Lorsque le porteur déclenche le virus, la mort est foudroyante et le virus est extrêmement contagieux.
Les membres du CDC (centre américain de lutte contre les maladies) cherchent ces bombes bactériologiques ambulantes pour les mettre en quarantaine et les soigner.
Voilà que deux des adolescents échappent au dispositif et partent dans une cavale pouvant mettre en danger toutes les personnes qui vont croiser leur chemin.

On a tous les éléments d'un thriller mais ce qui a bloqué mon adhésion dès le départ, c'est une énorme incohérence : la température critique qui fait que le virus se réveille dans l'organisme des adolescents est de 45° et ce n'est pas précisé si c'est en Celsius ou Fahrenheit. Moi, lectrice lambda française, je me dis c'est en Celsius et là souci : c'est drôlement chaud comme température!
le premier touché est en train de pêcher au large des côtes californiennes et même s'il fait chaud en Californie, à 45°, on ne reste pas sur le pont du bateau à pêcher.
La deuxième mort se produit en pleine forêt au Névada et là, je me dis qu'il est impossible qu'on atteigne cette température-là.
De même, les protagonistes se retrouvent piégés dans un relais routier et la climatisation tombe en panne : les 45° fatidiques approchent... quoi? C'est une bicoque en tôle ondulée?
Enfin, les experts du CDC avancent plus loin dans le roman que dans deux zones où se trouvent les fugitifs, la température a frôlé les 50 degrés!
Bon, je me dis, erreur de conversion et je me lance dans la conversion en degrés Celsius et ce n'est pas plus plausible. Problème.
Vu que c'est l'élément qui fait la tension de l'intrigue, j'ai eu du mal à croire à tout ça.

D'autre part, les romans jeunesse typiques se concentrent sur les personnages adolescents pour une meilleure identification des lecteurs. Or dans ce roman ,on suit certes les ados fugueurs mais aussi Banister, le directeur du CDC qui les traque et cherche un remède, Hans l'ancien flic lancé sur la piste du père biologique, élément crucial pour la concoction du remède. Bon, cela change de la trame classique mais du coup, on ne s'est plus à qui s'adresse le roman. J' avoue que la vie et les amours de Banister et de Hans me gênaient dans le suivi de ce qui arrivait à Sia et Virgil.

Dernier point, Sia et Virgil, les personnages principaux ne sont pas du tout sympathiques, surtout Virgil, anti-héros paranoïaque, borné et adepte du complotisme qui se révèle être un dangereux malade mental.

Bref, une bonne idée de départ mais trop d'incohérence et des personnages peu attachants qui font que ce ne fut pas un roman remarqué, ni remarquable.

A partir de 14 ans
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