Malgré la malédiction qui semble l'accabler, ce bidonville était en effet une cathédrale de joie, de vitalité, d'espérance...
Lorsque j’étais enfant, racontera Paul Lambert, j’aimais me promener dans la campagne et cela m'amusait de décapiter les fleurs à coups de badine. Plus tard, quand je suis entré au collège, j'aimais cueillir une fleur et la mettre sur ma table. Puis je me suis dit que les fleurs étaient belles là où elles poussaient. J'ai alors cessé de les couper pour les admirer dans leur cadre naturel.
Comment croire en effet, qu'il soit possible de partager vraiment la condition des habitants du bidonville, au moral comme au physique, quand on jouit d'une santé de rugbyman, quand on n'a plus de famille à nourrir, loger,soigner; quand on n'a pas à chercher du travail ni l'obsession de conserver son emploi; quand on sait que l'on peut à tout moment s'en aller?
Rien n'est plus agréable que de participer à une fête au milieu des siens. C'est comme si le dieu devenait votre oncle ou votre cousin.
La mousson est la mousson, et chaque année le cadeau des dieux au peuple de l'Inde.
Depuis qu'il était lui-même plongé dans la misère du tiers monde, Max avait révisé bon nombre de ses idées de riche sur la manière de résoudre les problèmes des pauvres.
Malgré la malédiction qui semble l'accabler, ce bidonville était en effet une cathédrale de joie, de vitalité, d'espérance...
Un pays capable de tant de partage est un exemple pour le monde.
Un pays capable de tant de partage est un exemple pour le monde.
Le charbon ne change pas de couleur quand on le lave. ce qui ne peut être guéri doit être enduré.