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4,26

sur 18765 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Ce livre demeure pour moi un mystère, à ranger d'ailleurs au côté de l'alchimiste de Paulo Coelho ou d'Amélie Nothomb : comment un polar aussi médiocre a-t-il pu devenir le succès littéraire que l'on connait??? D'une pauvreté stylistique inégalable (vraiment!), d'un ennui et d'une lourdeur palpable tout au long des 200 premières pages le tout soutenu par une intrigue si peu crédible...
Et dire pourtant que j'ai trouvé le tome 1 bon par rapport au tome 2!
C'est en tout cas bien la preuve que les maisons d'édition, à défaut d'honnêteté littéraire, ont d'excellents marketeurs...
Agatha Christie et Gaston Leroux doivent s'en retourner dans leurs tombes...

Lien : http://playlistsociety3.blog..
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Au moment de commenter ce livre, un scrupule me retient. Quelle est l'utilité de ma petite opinion face à un tel tsunami de succès? Et que vais-je apporter de plus
1) Aux lecteurs qui ont aimé
2) A ceux, qui, comme moi, sont restés à la porte?

Cependant je pense que l'admiration peut s'autoriser à rester muette, alors que la critique négative doit être un tout petit peu explicitée.
Ce que je n'ai pas aimé dans ce polar maxi format, outre le style (c'est peut être la traduction, mais peut-être pas), c'est justement son gigantisme. sa violence étalée sur tant de pages, son côté indécis: pamphlet, dénonciation, investigation, polar, porno, ouvrage féministe, OVNI punk?Il semble jouer sur tous les tableaux pour rafler la mise.Enfin
au risque de choquer, je dirai que pour moi un bon polar est un polar transportable. Je cherche désormais où ranger les trois volumes XL stupidement achetés parce que le prix était imbattable, sachant qu'il y a peu de chance que je les relise...
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N°383– Décembre 2009
LES HOMMES QUI N'AIMAIENT PAS LES FEMMES – Stieg LARSSON Actes Sud.

Chaque année, depuis 44 ans un homme reçoit anonymement des fleurs séchées pour son anniversaire et téléphone à un policier à la retraite pour l'en informer.

Le journaliste économique Mikael Blomkvist est condamné pour avoir diffamé un financier Hans-Erik Wennerstrom. Cette condamnation met en évidence des lacunes dans ses investigations. Il devra donc aller en prison à cause de cette décision de justice. A ce moment, un industriel suédois très connu, Henrik Vanger, lui confie la rédaction de l'histoire de cette puissante famille. En réalité, ce qu'on attend du journaliste, c'est l'élucidation d'un meurtre perpétré il y a plus de quarante ans, celui de la petite-nièce d'Henrik, Harriet Vanger, alors âgée de 16 ans. Pour corser le tout, Henrik reçoit chaque année des fleurs séchées et, comme dans toutes les familles, celle-ci qui est nombreuse cache des secrets. Blomkvist accepte donc, d'autant que Vanger se propose de fournir au journaliste des informations complémentaires sur Wennerstrom.
Lisebth Salander, jeune femme de 24 ans un peu gothique a la caractéristique de vivre en dehors de la société qui ne l'intéresse d'ailleurs pas. Un lourd passé psychiatrique l'a fait mettre en tutelle Elle a aussi un don, celui de découvrir par le biais du piratage informatique et d'une étonnante mémoire des données cachées et, bien entendu elle finit par être engagée par Blomkvist et par l'aider efficacement. Ainsi, tous ces personnages finissent par se croiser et les ingrédients d'un véritable polar sont dors et déjà en place et les rebondissements ne manqueront pas de se produire. Il y a aussi des personnages secondaires qui gravitent autours de ceux qui font ce récit, Erika Berger, co-fondatrice avec Mikael Blomkvit du journal Millénium et qui vit avec lui une liaison épisodique, dans l'indifférence du mari de cette dernière, Nils Bjurman, tuteur de Lisebth Sanders, un sadique et un obsédé sexuel qui se sert d'elle...

Le récit a quelque chose de manichéen, les hommes étant les méchants et les femmes les gentils. L'histoire qui est racontée n'est pas vraiment une fiction mais se rattache à la réalité historique suédoise et va révéler des secrets de véritables familles pas toujours avouables. Cette enquête part d'une mystérieuse photo prise le jour de la mort d'Harriet Vanger, fait référence à des crimes anciens particulièrement horribles et rituels perpétrés en Suède avec, comme boussoles des citation de la Bible et une conclusion provisoire tirée par nos enquêteurs« C'est simplement un fumier ordinaire qui hait les femmes ». Tout s'explique à la fin mais ne comptez pas sur moi pour vous la dévoiler!.

C'est vrai que c'est un peu long, parfois même laborieux, surtout au début. Personnellement, je ne goûte pas trop ce genre de « pavé »(650 pages!) et ce d'autant moins que le véritable intérêt du livre n'apparaît que vers la moitié du récit, ce qui me paraît un peu discutable, d'autant que la première partie du livre est parsemée de détails dont on n'aurait parfaitement pu se passer pour la compréhension générale. Comme j'ai déjà eu l'occasion de l'écrire dans cette chronique, j'aime les écrivains qui s'attachent leur lecteur dès le début du texte et je n'ai pas eu cette impression ici. Cela paraît être un parti-pris de l'auteur de promener un peu son lecteur et de faire s'imbriquer, petit à petit, les pièces du puzzle. Cela pourrait être bien, mais j'ai peu apprécié. Pourtant, l'écriture, dans sa version traduite en français, est simple et le style facile à lire.
Pour autant, et malgré le grand succès qu'il a connu en Suède et en France, ce roman qui est le premier d'une trilogie, ne m'encourage guère à poursuivre avec cet auteur que, je l'avoue, je ne connaissais pas avant.

©Hervé GAUTIER – Décembre 2009.http://hervegautier.e-monsite.com
Lien : http://hervegautier.e-monsit..
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J'ai lu ce livre dans le cadre d'un challenge sur livraddict, il s'agit du livradeux.
BeautifulVelma devait me choisir un livre parmi quelques propositions et elle m'a choisi celui-ci.

C'est l'histoire de Mikael (je ne donne que les prénoms les noms me sortent par les trous de nez !), un journaliste qui un jour va faire article sur Wennerström qui le conduira direct au tribunal pour diffamation.
Il devra faire quelques mois de prison et décide donc de quitter le journal Millénium. Il sera contacté par Henrik Vanger pour enquêter sur la disparition d'Harriet Vanger il y a plusieurs décennies.
En enquêtant sur la disparition d'Harriet il va prendre connaissances de secrets qui n'auraient jamais dû remonter à la surface.

Alors au départ ce livre à rejoint ma PAL car j'en ai entendu beaucoup de bien, étant une FAN de polar je n'ai pas hésité longtemps avant de me procurer ce premier tome.
Malgré tout, je reste perplexe quand à ce livre, je ne suis jamais réellement rentrée dans l'histoire, je le lisais avec une réticence incroyable.
La politique et l'économie sont trop présents et m'ont ennuyé fortement. Une histoire trop complexe à mon goût.
Pas évident maintenant de me faire une opinons sur ce livre. J'ai trouvé qu'il était trop long et lourd, ce n'est pas pour moi une référence en polar loin de là !
Les noms des personnages sont quasi imprononçable ... les lieux également et puis il y a tellement de détails qui entrent en jeu que finalement je n'ai jamais vraiment su où j'en étais.
Bref, je ne regrette cependant pas de l'avoir lu, au moins je sais que je ne poursuivrais pas mes achats avec les prochains tomes !

Lien : http://nathlectures.blogspot..
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Franchement comment ce livre a pu se vendre avec autan d'exemplaire. Faut il croire que les gens aime bien s'ennuyer en lisant. L'idée est bonne mais l'histoire, le récit ne vaux rien. J'ai l'impression que le journaliste s'occupait de sa petite vie plutôt que de son enquête en attendent que ces problème se tassent. Total je n'ai lu que la moitie de premier tome tellement l'ennui étais présent.
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Comme pour un certain nombre de lecteurs ici, le succès de ce livre est pour moi un épais mystère... écrit dans un style affligeant de banalité, manichéen jusqu'à la caricature (sosie de l'auteur, le héros est le seul individu pur dans une société qui se partage entre les capitalistes cupides et les fascistes misogynes - souvent les mêmes), usant de force détails inutiles dont on se demande s'ils sont destinés à autre chose qu'à remplir les pages ("il alluma son portable Sony avec disque dur de 10 Go qu'il avait acheté chez Schmoll, 1 rue des Fascistes Misogynes à Stockholm..."), sans rythme (la "révélation" de l'identité du méchant, pour ceux qui ne l'avaient pas devinée, intervient bien trop vite et le livre se traîne ensuite pour conclure toutes les fausses pistes accumulées depuis le début), ce livre ne m'a donné aucune envie de lire les tomes 2 ou 3.
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Vous reprendrez bien un krisprolls mon cher Derrick ...

Comme tout le monde ou presque je me suis laissé attirer par les avenantes vapeurs de sauna de cette trilogie venue du froid. J'ai même failli acheter les trois tomes d'un coup pour ne pas être obligé de sortir du lit pour un urgent ravitaillement. La mariée était belle, en effet, dans une version suédoise de la famille Ewing.

Le personnage principal du livre, journaliste, va peiner pendant tout livre à démêler les noeuds brouillons de cette intrigue mal ficelée dont on élucidera les étapes systématiquement cent pages avant lui. Il sera aidé en cela par la jeune Lisbeth Salander, sorte de harpie gothique aussi crédible dans ce livre que Benoît XVI dans le personnage de James Bond. le summum de l'oeuvre est l'intrigue politico-économique parallèle qui sert à freiner encore plus la trame principale, et n'a aucun rapport avec cette dernière. Tout cela va si vite que c'est comme si Derrick prenait du lexomil, comme si Yvette Horner s'incrustait dans une soirée de David Guetta. Tout cela est d'un laborieux rarement atteint et d'une lourdeur encore accentuée par des scènes trashes peintes à la bombe.

J'ai acheté ce livre en supermarché. Pour le même prix et aux rayons voisins j'aurais pu acquérir cinq navets, huit pommes de terres, dix carottes, deux poireaux et bien du céleri ainsi qu'un bon kilo de boeuf à braiser avec lesquels j'aurais concocté un excellent pot-au-feu pour mes amis.

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Un style à la hache suédoise, c'est tout dire ! C'est froid, sans réellement de profondeur, l'intrigue est tellement téléphonée que ça en devient grotesque : je me suis vraiment forcé pour le finir, cela dit je comprends que certains puissent aimer.
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C'est ça un polar ? C'est tellement pauvre au niveau littéraire ! À tel point que je ne l'ai pas terminé. Et pourquoi tout ce tapage médiatique autour de ce bouquin ? L'auteur est mort après l'avoir envoyé à sa maison d'édition ? J'en suis désolé pour lui, d'autant plus qu'il était encore jeune mais malheureusement ce drame ne fait pas de lui un bon auteur.
Par contre le film de David Fincher se laisse regarder.
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C'est long, c'est lent au final pour une histoire abracadabrantesque cousue souvent de fil blanc sortie de je ne sais où. Des scènes dérangeantes de viols et de torture animale qui ne servent absolument pas à l'histoire. Bref, je ne voulais pas l'abandonner, je voulais comprendre le succès, je n'ai pas compris, tant pis...
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