La douleur n’était pas physique ; c’était une souffrance de l’âme, impossible à décrire. J’eus l’impression que quelque chose de monstrueux germait au plus profond de mon être.
Ces souvenirs me mettaient à la torture, mais je ne faisais rien pour les repousser. Je comprenais que la souffrance me distrayait d’un mal plus dangereux : le découragement.