J'avais adoré
Ces jours qui disparaissent de l'auteur,
Timothé le Boucher et conseille toujours de le lire.
Le ressenti, la prise de plaisir ont été moindre avec
le patient.
Oui l'histoire est soutenu par un bon rythme malgré les 290 pages
Oui le suspens est présent et nous entrons dans le sujet dès le début : le massacre de la famille Grimmaud dont seuls sont sortis "vivant", la fille avec un couteau ensanglanté à la main et l'un de ses frère, Pierre, retrouvé gravement blessé et qui va se réveillé après un coma de 6 ans.
Qu'est ce qui a changé durant toutes ces années : sa soeur est morte, elle s'est suicidée en prison, l'inspecteur en charge de l'enquête va arrivée à la retraite, Pierre est devenu un jeune adulte, Anna Kieffer psychiatre qui s'était occupée de se soeur demande à suivre Pierre.
Pourquoi.... nous l'apprendrons à mi-parcours...
Dans cette sorte de huis-clos, qui se passe principalement dans un hôpital, nous allons suivre Pierre dans son retour à la vie mais surtout découvrir un personnage très particulier, sensible, attirant, gentil, perturbé mais perturbant.
Vrai thriller psychologique où une relation particulière va se nouer entre
le patient et son médecin.
Mais oui assez classique comme histoire
J'ai aimé le dessin, toujours aussi reconnaissable de le Boucher. J'ai apprécié la couverture.
Je reste un peu moins convaincu par l'album, probablement car je ne peux m'empécher de penser au précédent.
Alors soit vous êtes fan de l'artiste, et alors tentez votre chance, soit vous voulez découvrir
Timothé le Boucher alors pas indispensable.