Je pensais avoir vu un tas de choses. Pas toujours des plus rassurantes, ni des plus jolies, mais d'une assez grande variété, et c'est déjà ça. Me disais-je. Mais voilà que, sur le tard, je découvre
le mec de l'underground, entré dans les rangs des auteurs de l'équipe la plus déjantée qu'on puisse imaginer. Je parle évidemment de celle de l'éditeur numérique Edicool, patrie de mes rêves humides. Et pas que des miennes, apparemment. Mais voilà que je dois tirer mon chapeau en révérence au Mec qui a non seulement réussi à réaliser son rêve, à savoir se faire éditer – à force de talent ou de coups de poing, peu importe -, mais qui est encore capable d'emmener le lecteur, après l'éditeur, dans les souterrains de la ville, de la vie et de l'âme. Et qui assure en avouant tout haut que, s'il vise l'édition, c'est évidemment dans le seul but de se faire plein de thunes, comme la meuf à Ali Porteur qui, elle, ne sort plus, à l'heure qu'il est, de son jacuzzi rempli de gigues, mais qui s'est encore faite « des couilles en platine ».
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