J'adore ce titre. Ne serait-ce que parce que chaque fois que je m'éloigne de la mer, je prends la plume. J'étais curieuse de savoir ce que ces poétesses brésiliennes esseulées loin du fracas enivrant des vagues avaient à me raconter. J'ai été sidérée. Par la beauté de leurs textes, les synesthésies, la douceur, la violence, les chocs. Mais surtout, indéniablement, par leur simplicité. Ça a chamboulé mon idée de la poésie. Pas de fioriture. On va directement à l'essentiel : le mot.
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