AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,28

sur 10970 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Je suis bien embêtée............
J'attendais de lire ce livre depuis un bon moment
Et c'est fait et ............je ne sais pas
Pas déplaisant mais j'attendais autre chose
Dans ma tête je le compare ( un peu ) à celui de Delia Owens
( écrevisses /oiseau moqueur ) je pensais lire un peu le même genre d'histoire passionnante
Scout est bien gentille mais le livre n'aboutit pas
La fin ne me convient pas
Il reste tellement de choses à dire , à exploiter
Impression de survoler une histoire qui aurait pû être exceptionnelle
Et puis l'auteure ............un livre ..............et rien ......
Enfin si , j'ai pris " va et poste une sentinelle " ( écrit avant l'oiseau moqueur) où l'on retrouve Scout adulte
Tout ça me semble bien décousu .........




Commenter  J’apprécie          82
En quelques mots :

Une énorme déception pour ce roman dont j'attendais beaucoup. Une vision étriquée d'une petite fille devant un événement qui la dépasse. Une enfance gâtée pour comblée le manque d'une mère, mais qui conduit à une enfant capricieuse et fort désagréable.

En beaucoup plus de mots :

Classique de la littérature américaine (saviez-vous qu'il est au programme scolaire aux Etats-Unis ?), détenteur du Prix Pulitzer 1961, encensé par la critique de la presse en général, ce roman est devenu un incontournable.

Relégué au fond de ma bibliothèque depuis 2015, je sors enfin ce roman dit "le plus aimé des lecteurs du monde entier". Rien que ça, et encore une fois, ça n'a pas été mon cas.

Je m'attendais à un roman puissant, poignant, émouvant, sans doute exceptionnel surtout après avoir lu le synopsis.

Histoire se déroulant après le krach de 1929, j'attendais de ce livre une vision de l'ensemble de la communauté face à la crise financière : la pauvreté, les expulsions, les sans-abris marchants le long des routes à la recherche d'un avenir meilleur, la terre sèche et la poussière volante, des terres agricoles abandonnées, des ouvriers en quêtes d'emploi à la journée pour nourrir leur famille brisée, ... Quelle est ma déception !!!

C'est l'histoire de deux enfants pourris gâtés par leur père qui compense la mort de sa femme qui les a quitté trop tôt. Malgré des valeurs d'égalité, de droit de l'Homme, de courage et de dépassement des préjugés, cet homme va être dépassé par les événements dans une petite ville du Sud des Etats-Unis. c'est le personnage que j'ai sous doute le plus apprécié dans ce roman.

Ce n'est pas du tout le cas de ses enfants : Atticus l'ainé et Scout (surnom de Jean-Louise) la cadette sont particulièrement affreux.

Atticus fait sa crise d'adolescence qui, je m'en suis rendue compte, n'est pas très différente de notre époque, et pire Scout qui à l'âge de 9 ans, se permet tant de chose.

Ce livre est assez déroutant dans la façon dont il est écrit. L'histoire est exclusivement racontée par la jeune Scout mais comme si c'était elle des années plus tard qui faisait un retour en arrière avec des réflexions d'adulte empreintes d'une grande maturité et surtout un véritable recul sur les événements qui se sont produits, alors qu'il n'en est rien, et l'autrice nous fait croire que c'est ce qui se passe au temps réel, ce que j'ai trouvé très désagréable.

Nous allons donc suivre cette famille sui se veut "modèle" de part leur statut, le père étant avocat, dans le style les quatre filles du Dc March, mais sans humilité, comme si tout était acquis et sans remise en question.

Une enfance qui a perdu son âme, dans un état d'esprit polémique et belliqueux ou chaque remontrance du père conduit tout simplement à rien.

Scout est le Tom Sawyer féminisé qui n'aime pas l'école mais sans symbole de la liberté et sans audace. Sans doute trop anticonformiste pour moi, elle aurait pu se rattraper par son courage qui n'était pas à la hauteur de mes attentes.

Finalement, ce qui fait l'intérêt du roman est le fait que le père soit commis d'office pour défendre un homme noir accusé de viol sur une jeune fille blanche. Malheureusement, ceci n'est qu'un trop court passage dans l'ensemble du roman. Balayé comme étant "presque" une affaire comme une autre, puisque l'affaire n'est vu qu'à travers les yeux de cette enfant. Ses réflexions ne sont ici (à l'inverse de ce que j'ai dit précédemment) pas assez abouties et il m'a manqué l'approche vue par les autres personnages. Comme si cela aurait été trop difficile à l'auteure de s'engager dans cette voie préférant une certaine facilité. Il m'a manqué un liant et je n'ai pas été prise par l'histoire.

Lien : https://exulire.blogspot.com..
Commenter  J’apprécie          81
Ce roman m'a laissé une impression fort mitigée. Dès les premières lignes, j'ai vraiment apprécié ce procédé littéraire qui consistait à choisir comme narrateur une enfant surdouée, partie prenante du récit ; c'est drôle et original. Les thèmes abordés du racisme, celui du sous-développement à tous points de vue de la société arriérée des petits blancs du Sud (en 2020 c'est encore le terreau sur lequel un certain président en quête de réélection cultive ses thèses populistes), celui de la morale baptiste et du poids de la religion dans cette société sudiste où le souvenir de la défaite de la guerre de Sécession n'est jamais très loin, tout cela est intéressant sur le plan romanesque.
Mais assez rapidement je me suis senti comme pris en otage par l'aspect moralisateur du récit. Tous les clichés sont réunis pour faire ressembler ce texte à celui d'un scénario des studios Disney pour l'édification (des masses) des petits Américains. Ce n'est peut-être pas choquant pour un Américain moyen, mais pour l'Européen moyen que je suis, ça n'est pas passé. Pas envie de lire une leçon de morale en (très) gros sabots quand j'ouvre un roman……
Commenter  J’apprécie          82
« Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur » d'Harper Lee est le regard de Scout sur son quotidien, sa vie, ses aventures, ses histoires, ses petites déceptions et ses grandes joies. Maycomb en Alabama parait une petite ville paisible, mais terre de riches aventures pour cette petite fille. Si vous pensiez arriver dans un récit concernant le procès mené par son père Atticus Finch, concernant une affaire avec un « Nègre » dans les années 30 et ses répercutions, passez votre chemin.
(chronique complète : https://livrement.com/2016/06/03/ne-tirez-pas-sur-loiseau-moqueur-harper-lee/)
Lien : https://livrement.com/2016/0..
Commenter  J’apprécie          80
Grosse déception pour ce livre-culte... Déjà, c'est sensé être une histoire de racisme or il faut attendre la page 96 (soit quasiment un tiers du roman) pour que soit évoqué « un Noir du nom de Tom Robinson »... On se demande d'ailleurs quel est le lien avec le récit de cette première partie, qui tourne autour du quotidien des deux enfants (en réalité il n'y en a aucun). du coup les premiers chapitres semblent bien longuets, entre le mystérieux voisin (Boo Radley), le chien enragé, Noël chez Tatie et l'incendie de la maison voisine... Certes ces épisodes en apparence anodins ont une vague signification cachée (redorer l'image du père, donner une leçon de courage) mais la succession des menus événements de la petite ville de Maycomb (et ses préjugés) n'est guère palpitante. Quant à l'héroïne, ses airs de garçon manqué qui aime la bagarre, les gros mots et vagabonder avec son grand frère, ne la rendent pas plus attachante que ça.

Les seuls passages intéressants concernent le père, Atticus, l'avocat « ami des nègres ». Parce qu'il assure la défense d'un homme noir dans un litige qui l'oppose à une Blanche, Atticus s'attire, sur lui et ses enfants, la médisance de certains voisins et même de ses proches : il est « la honte de sa famille ». Comme il élève seul ses enfants depuis la mort de sa femme, les reproches remontent à la surface : il éduquerait Scout et Jem « comme des sauvages »... Ces moments-là regorgent d'échanges pertinents entre l'avocat et ses détracteurs, mais aussi entre lui et sa fille qui cherche à comprendre. Malheureusement ces parties sont bien trop ponctuelles et trop brèves... et j'ai fini par abandonner ma lecture à la moitié du livre.
Commenter  J’apprécie          72
C'est un livre très lent, beaucoup de descriptions très voir trop précises, on finit par se sentir bien dans l'histoire, avec les personnages, mais qu'est-ce que je me suis ennuyé, il ne se passe à mon sens rien de vraiment intéressant à suivre, allez je n'ai pas réussi à lire plus de la moitié du livre, l'ennui l'a emporté !
Commenter  J’apprécie          67
J'ai pourtant essayé d'aller jusqu'au bout de ce livre, mais arrivée aux trois quarts du livre j'ai décidé d'abandonner. Je n'ai pas accroché au style de l'auteur malgré une intrigue originale : le procès d'un homme de couleur du point de vue d'une fillette. J'ai malheureusement trouvé les chapitres longs et avec peu d'intérêt mais cela reste totalement subjectif. Ce livre étant un "monument" dans la littérature classique je ne m'attendais pas du tout à cela après avoir lu le résumé.
N'ayant pas terminé le livre je ne peux donc pas juger l'oeuvre complète.
Commenter  J’apprécie          61
Ce livra ne m' a pas bouleversé comme tant d'autres lecteurs de babelio....
Le plaidoyer contre les préjugés est noyé dans un texte long, narrée par une gamine rebelle, bagarreuse et agaçante.
Cependant, au vu de l'actualité récente, de tels livres sont encore utiles pour nous ouvrir les yeux sur les amalgames rapides, le racisme et les préjugés en tout genre.
Commenter  J’apprécie          60
J'ai trouvé qu'il y avait quelque chose de diablement menteur dans la quatrième couverture de ce roman. Oui, il se passe pendant la douloureuse période de ségrégation raciale aux USA, mais finalement ce n'est qu'une excuse pour attirer le lecteur, moi en l'occurrence. Que fut grande mon insatisfaction et au plus haut point mon mécontentement d'en prendre conscience finalement au beau milieu du roman, pour rapidement conclure ce sujet en 20 pages. Je n'ai pas compris l'intérêt d'en parler aussi fébrilement. Comme je demande aussi vraiment quelles émotions peuvent traverser un lecteur par ce roman qui au final n'a ni intrigue, ni rebondissement, ni évolution de personnages, tout n'est qu'un amas d'individus dans une routine des plus banales voire même lassante. Il faut plus que se forcer pour être assidu et tenir le roman en entier.
Commenter  J’apprécie          50
Hum... j'ai trouvé le style faussement naïf assez artificiel et je reste assez peu réceptif à ce type de littérature à grands et bons sentiments.
Commenter  J’apprécie          50




Lecteurs (28023) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz ne tirez pas sur l'oiseau moqueur

Comment s'appelle la narratrice ?

Alexandra
Miss Maudie
Scout

10 questions
798 lecteurs ont répondu
Thème : Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur de Harper LeeCréer un quiz sur ce livre

{* *}