AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,28

sur 10934 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Scout est la petite fille que j'aurais voulu être: impertinente, bagarreuse, culottée.
Elle traine dans le quartier, passe son temps à lire et à grimper aux arbres, mange des gâteaux en discutant avec la voisine et va écouter l'office du dimanche à l'église des Noirs.
Elle déteste l'école et les robes à smocks, répond du tac au tac à Tante Alexandra qui lui reproche son éternelle salopette maculée de poussière et ses fréquentations.
Pour Noël, son père Atticus lui offre une carabine. Lui même pense qu'avoir une arme est une incitation à se faire tirer dessus, et il lui demande de ne jamais tirer sur l'oiseau-moqueur.
Parce que tuer cet oiseau-là serait "un péché".
Scout sait pourquoi, elle est elle aussi un drôle d'oiseau qu'on ne met pas en cage, qui observe et cherche à comprendre, picore des miettes et va se percher plus loin.
Scout appelle son frère sale morphodite, elle n'aime pas qu'on l'appelle Jean Louise, ni qu'on traite son père de sale copain des nègres.
Elle pleure de rage devant la bêtise et l'injustice, mais elle comprend qu'on peut aussi se battre avec des mots.
Alors elle décide d'écrire un livre.
Commenter  J’apprécie          16811
« Dans une petite ville d'Alabama, au moment de la Grande Dépression, Atticus Finch élève seul ses deux enfants, Jem et Scout. Homme intègre et rigoureux, cet avocat est commis d'office pour défendre un Noir accusé d'avoir violé une Blanche. »

Ce résumé figure en quatrième de couverture du roman de Harper Lee : Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur. Comme l'écrit Isabelle Hausser dans la postface, ce titre permet de comprendre le succès de ce livre publié pour la première fois en 1960, succès au point de recevoir le Pulitzer l'année suivante. Il paraît même que Truman Capote, jaloux, a affirmé avoir rédigé la majeure partie du roman…

J'ai dévoré ces 450 pages, tellement je me suis sentie immergée dans cette famille (américaine des années 1930) atypique et attachante, où domine la figure d'un père qui est un vrai humaniste, qui élève ses enfants certes comme deux petits sauvageons (c'est tante Alexandra qui le dit…), mais en leur montrant sans cesse ce qui est juste, qu'il faut savoir dépasser l'illusion des apparences pour approcher de la réalité des gens. Et tous les personnages secondaires sont parfaitement construits et dessinent un tableau d'une grande cohérence.

Ce délicieux roman est un hymne à la justice et à la tolérance.

De cet ouvrage (le seul) d'Harper Lee , magistral par sa poésie, son ampleur et sa lucidité, un film a été tiré, en 1962: le méconnu "Du silence et des ombres" de Robert Mulligan qui reçut trois oscars dont un attribué à Gregory Peck (rôle d'Atticus).

Un très beau livre que je vous conseille vivement.
Commenter  J’apprécie          922
Au moment de commencer ma lecture, je craignais un peu d'être déçue. Ce livre a tellement été encensé que j'ai pensé que sa réputation était peut-être exagérée. Dès le début du livre, j'ai été rassurée.

Ce roman, beau plaidoyer contre l'intolérance, appelle à se détacher de ses préjugés, invite à la compassion et à l'empathie pour son prochain.
Le fait que l'histoire soit vue à travers le regard d'une petite fille, regard encore naïf et innocent (mais pas niais), donne une dimension pédagogique au récit, la petite fille, Scout, prenant le rôle de Candide et son père, Atticus, celui de professeur. Scout, petite fille très attachante, curieuse, fonçeuse, ne cesse de poser des questions, de réfléchir sur le monde qui l'entoure, pointant du doigt l'hypocrisie et l'absurdité de certaines situations. Ce regard vivifiant permet au roman d'éviter tout didactisme pesant et ainsi de conserver une fraîcheur.

L'intelligence de Harper Lee est d'éviter tout manichéisme, tout simplisme et surtout de ne jamais se départir de son humanité.
L'auteure commence par nous dépeindre la communauté de Maycomb, ses communautés, ses habitudes, ses rumeurs, ses blessures.

La seconde partie, celle du procès, est passionnante, édifiante. Là aussi, Harper Lee évite toute facilité.
Si le destin de Tom Robinson, injustement accusé d'un crime, fait ressentir une profonde compassion pour cet homme et provoque la colère face à l'injustice dont il est victime, l'auteure a la subtilité de ne pas faire de son accusatrice une harpie rongée par la haine. Si Mayella est raciste, ce n'est pas par idéologie mais par habitude (comme bon nombre de ses concitoyens), parce que dans cette société il ne peut en être autrement. Et sa pitoyable vie faite de violence et de misère, dénuée de tout espoir suscite la pitié, voire même la compassion.

On voit dans ce récit un monde traditionaliste enfermé dans ses préjugés et son archaïsme par réaction au monde autour d'eux qui évolue, qui change (à l'image des convictions naissantes de Scout et de son frère). Et c'est bien la peur, encore d'avantage que la haine, qui les fait résister au progrès.

Le thème de la transmission des valeurs est habilement traité à travers le personnage du père, Atticus. Celui-ci n'impose jamais ses convictions. Il laisse ses enfants comprendre par eux-mêmes. Il fait confiance en leur réflexion, en leur coeur. Il est un guide plus qu'un maître à penser. Il leur transmet des valeurs simples, la grandeur de la compassion, le courage de ne pas céder à la colère, la nécessité de se mettre à la place de l'autre pour le comprendre.

Si la seconde partie est passionnante (malgré un dénouement plutôt expédié), j'avoue que contrairement à la plupart des autres lecteurs, j'ai une petite préférence pour la 1ère partie, cette chronique de l'enfance qui distille beaucoup d'émotion sans jamais tomber dans la mièvrerie.
Le roman a beau être très ancré dans un contexte particulier, un Etat rural des années 30 avec toutes ses spécificités (ségrégation, disparités sociales, stéréotypes sur ce que doit être une "dame"), Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur a une portée universelle, justement dans ce portrait très réussi de l'enfance.
Commenter  J’apprécie          837
Ce roman regorge de secrets qui ne seront jamais révélés, même à la fin : Pourquoi Atticus a-t-il cessé de tirer ? Quelle était la personnalité de la mère des enfants ? Pourquoi ne sait-on rien du mari de Miss Maudie ? Pourquoi les enfants appellent-ils leur père par leur prénom ? Les questions sont innombrables et les réponses manquent.

Dans une petite ville d'Alabama, à l'époque de la Grande Dépression, Atticus Finch élève seul ses deux enfants, Jem et Scout. Avocat intègre et rigoureux, il est commis d'office pour défendre un Noir accusé d'avoir violé une Blanche.

Harper Lee décrit simplement des actes, des gestes, des sentiments souvent complexes ou troubles. Elle laisse entendre, elle suggère plus qu'elle ne montre.
Le récit ne sombre pas dans le mélo, il est porté du début à la fin par l'humour et l'intelligence de Scout, la Narratrice. Une petite fille qui nous raconte trois ans de son enfance, elle le fait avec ses mots, avec les limites de son âge.

Même s'il n'y paraît pas, cet ouvrage est bel et bien construit autour de la métaphore de l'oiseau moqueur. Oiseau à une dimension mythique pour certains peuples américains, il serait l'inventeur du langage ; pour d'autres, c'est lui qui aurait appris aux autres oiseaux à chanter (l'oiseau moqueur peut chanter trente-neuf chants différents et imiter un grand nombre de sons).

Par ailleurs, même s'il peut sembler que « Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur » traite d'un sujet dépassé depuis la disparition de la ségrégation, des signes contradictoires laissent penser que ce roman reste éminemment actuel.
La morale de cette histoire est que le mal et le bien se confondent souvent et qu'il faut se garder de juger hâtivement ou de punir en appliquant rigidement la loi.

Romancière si talentueuse, Harper Lee est parvenue à écrire cette oeuvre, d'une infinie drôlerie, qui est un enchantement d'où son succès universel….

PS – Cette critique vous semblera sûrement familière voir du déjà lu. L'explication est que l'utilisation d'un IPhone au réveil peut s'avérer fâcheux ! En voulant supprimer MON commentaire mal rédigé, j'ai annulé ma critique par inadvertance (une chance que j'avais conservé mon brouillon). Grrr… satané téléphone.
Commenter  J’apprécie          7527
Et voilà, je viens de refermer ce livre.
Ce n'est pas évident de laisser une critique (il y en a déjà plus de 500 !).
Que dire qu'y n'a pas encore été dit ?!
Pour faire court, j'ai bien aimé ce roman. Nous sommes vraiment dans l'ambiance du sud des Etats-Unis, dans les années 40. Les noirs ne sont certes plus esclaves, mais sont-ils libres pour autant ?
Toute l'histoire est basée principalement sur les thèmes de l'égalité, sur les droits des hommes, sur la justice, sur le comportement que chacun doit avoir en société (homme, femme, enfants, blancs ou noirs...).
Ce livre, c'est l'histoire de l'apprentissage de la vie de 2 enfants (Jem et Scout).
Comment agir et grandir dans cette société américaine qui s'ouvre, certes, mais qui reste aussi ancrée dans ses préjugés.
Une belle histoire.
Commenter  J’apprécie          757
Grand classique de la littérature antiségrégationniste, « Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur » est un roman qui a marqué le monde entier par son approche très pédagogique du racisme et de la ségrégation.
En Alabama, dans les années 30, Atticus Finch, avocat intègre et rigoureux qui élève seul ses deux enfants, est commis d'office pour défendre un Noir accusé d'avoir violé une Blanche.
Dans un sud engoncé dans ses réflexes racistes, atavisme issu d'un passé esclavagiste, le récit de ces évènements vu par les yeux d'une petite fille dénuée de tous préjugés marque forcément les consciences, d'autant plus que l'issue d'un tel procès à cette époque et en Alabama, est scellée dès le début…
Roman d'apprentissage qui décrit l'éveil à la conscience d'une petite fille, roman de la ségrégation qui décrypte la peur, la bêtise et la bonne conscience étriquée portée en étendard, « Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur » fait partie de ces livres qu'il faut avoir lus pour pouvoir comprendre une ambiance et une époque, admirablement décrits par Harper Lee et qu'on a tendance à oublier un peu vite.
On pourra faire le rapprochement avec le plus récent « La couleur des sentiments » mais surtout avec un excellent livre de Lillian Eugenia Smith, « Strange fruit », qui bien qu'écrit par une femme blanche issue de la bourgeoisie, fut premier manifeste littéraire pour l'égalité des Noirs.
S'adressant sans doute à un public plus large, et en particulier aux adolescents, Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, aurait été désigné comme l'un des trois plus grand romans du 20e siècle… !
Commenter  J’apprécie          752
1930, Maycomb, Alabama. Je m'arrête là, tout est dit, dans la date et le lieu. Tu peux ressortir les cagoules blanches, mais n'aies pas peur, le méchant nègre est en taule, le salopard, et sera bientôt pendu. Comme une évidence, il ne peut en être autrement, dans ces années en Alabama. Un bon nègre est un nègre au bout d'une corde. Sweet Home Alabama, disait le gars aux cheveux longs et à la guitare. Pas si douce que ça quand même la vie là-bas quand tu as la peau si foncée que tu passerais incognito dans un tunnel la nuit. Disons qu'à cette époque-là, valait mieux être blanc si tu voulais te faire entendre, car la voix d'un nègre ne porte pas bien loin, sauf pour casser des cailloux sur la voie du chemin de fer. Disons qu'à cette époque-là, un chien errant n'avait peut-être pas plus de droit mais certainement plus de respect. C'est comme ça, c'est la vie en Alabama au temps de la ségrégation raciale.

- Tu lis le Harper Lee, ne tuez pas l'oiseau… un truc dans le genre…
- Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, Madame. Et oui, je lis ça. Pourquoi ?

Et pourquoi que je n'aurais pas le droit de le lire. Parce que tout le monde l'a déjà lu. Parce que cela parle de beaux sentiments, à faire chialer une ménagère épluchant les oignons pour la soupe de ce soir, et qu'il y a de l'âme dans les mots d'Harper Lee. Hein, pourquoi tu es si surpris ? Et parce que depuis que j'ai lu « de Sang-froid » de Truman Capote, j'avais furieusement envie de lire ce roman. Ma patience a tenu bon, j'ai inséré le « Harvest » de Neil Young sur la platine, respiré humblement mon verre de bière au doux parfum de céréales, le soleil s'est couché derrière les silos à grain.

Mais dans ce monde pourri où l'argent et la couleur domine déjà le pouvoir, un homme s'élève, blanc, intègre, sans violence. Il parle, il est avocat. Il est juste et à juste conscience que c'est peine perdue mais il s'en fout un peu. Son métier est celui de plaidoyer, blanc, noir ou chien. Il le fait dans les règles de l'art, parce qu'il croit à la cause, celle de l'égalité des hommes quelques soient leurs couleurs de peau. Il se nomme Atticus Finch et ce gars-là est un homme. Un vrai avec des couilles qui n'hésitera pas à mouiller sa chemise contre l'ensemble de la population de cette minuscule contrée peuplée de sauvages à la peau blanche pour ce qui lui semble juste : l'honneur de l'humanité, le droit à être représenté en justice sans distinction de race.

Je ne te propose pas ce livre. Forcément, tu l'as déjà lu, alors viens goûter ma bière, tu l'as déjà bu, mais elle laisse en bouche un goût moins amer que le roman d'Harper Lee.
Lien : http://leranchsansnom.free.f..
Commenter  J’apprécie          725
Une enfant, Scout la narratrice, nous plonge dans l'Amérique du début des années 1930, en Alabama. La ségrégation raciale, le racisme et la religion sont les thèmes principaux de l'ouvrage.
Le père de Scout, avocat intègre, est commis d'office pour prendre la défense d'un homme noir accusé d'avoir violé une femme blanche.
Les évènements sont perçus au travers du regard de cette fillette, garçon manqué, tout en spontanéité, drôlerie et discernement pour son jeune âge. La légèreté côtoie la gravité des faits et des sujets abordés.
Scout et son frère Jem, personnages attachants, passent de l'enfance à l'adolescence au moment où ils vivent des moments difficiles et intenses. Cette évolution est finement décrite par Harper Lee dont l'écriture tout en suggestion, fluide et travaillée rend la lecture agréable. Elle a bâti son ouvrage sur fond de mythe : "Tuer un oiseau moqueur est un péché".
Cet ouvrage est beaucoup plus profond qu'il n'en paraît au premier abord.
Un petit bémol : la première partie aurait pu être plus courte .....
Commenter  J’apprécie          681
J'avais noté ce titre depuis longtemps et voici qu'un ami amoureux des belles lettres m'a conseillé la lecture de ce roman, l'ayant lui-même lu quatre fois de suite, il y a près de quarante ans! Je vais le remercier chaleureusement pour cette belle découverte. Si "Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur", n'est quand même pas pour moi un coup de coeur, il restera un roman de très bonne facture, pointant du doigt des problèmes cruciaux de la grande Amérique des états du sud. Un livre très bien écrit, plaisant à lire et qui fait réfléchir. Un excellent roman. Une belle découverte.
A noter qu'après un demi siècle de silence Harper Lee vient de publier un nouveau roman "Va et poste une sentinelle"!
Commenter  J’apprécie          643
Comme une douce envie d'étaler un peu d'écriture sur un pauvre bouquin qui n'a rien demandé, sauf d'être lu, je lève donc ma plume azerty à la solitude, qui parfois nous ronge un peu l'envie de sourire à l'été qui s'annonce bandant de gambettes à l'air, chaud et mouillant d'une chaleur à l'odeur de fantasmes… Sous les jupes des filles c'est tellement beau, alors quand elles sourient aux beaux jours, je suis un homme comblé.
Un peu de musique, pour me raisonner, pour apaiser, esquisse le ton Putain de sourire, ouvre grand les yeux, élève moi au-dessus de la mer agitée, laisse les vagues se battrent contre le courant, laisse le vent souffler l'écume, et quand la colère des marrées s'épuise, plonge la tête dans l'eau, écoute ce silence qui t'entoure, dessines-y des bulles avec ta bouche, c'est si trouble, et si froid, on est si bien dans les profondeurs…

- Papa faut pas dire Putain et merde hein ?
- Bah pourquoi tu le dis alors
- Ah non c'est pas beau
- Bah si, si ça fait vraiment chier
- Ah bah d'accorddddd
- Maintenant laisse-moi, je fais de la poésie
- C'est quoi de la poésie ?
- Un truc pour faire pisser les yeux des femmes
- Ah moi je fais plus pipi dans ma couche…
- Fais moi un bisou tiens, ça va m'inspirer

Pourquoi on se torture la gueule ? pourquoi on se névrose, pourquoi on n'avance pas tout bêtement dans l'inconnu, le bonheur en tête d'affiche considérant notre percée héroïque et spermatozoidale comme une putain de chance, toujours heureux, avec légèreté, pourquoi tout est si complexe ? si triste ? pourquoi on est si égoïste ? si individualiste ? et Pourquoi on invente des Dieux façonnés à notre image, sculptés dans notre bêtise ?

- ???? Euh je veux un Kinder surprise
- Hum, j'aurais bien voulu que tu répondes à ces questions, j'ai de l'ambition pour toi mon petit cul d'amour

Ça fait 3 ans que tu m'empêches de dormir, que je te torche le cul, et que je te fais prendre ta douche, et que je t'occupe mon temps libre, tout ça pour un Kinder suprise, je suis deg…

Je les vois tous ces parents si fiers, si bobo, les yeux pleins de pression pour leur progéniture, visant l'excellence d'une réussite absolue, dépensant sans compter leur ambition dévastatrice, cultivant les névroses de leurs enfants, les futurs séances chez le psy, et ceux qui passent à côté de leur innocence, de leur sourire, de leur amour…

Un môme il a juste besoin que tu sois là la nuit pour le rassurer, pour lui faire prendre son bain, pour lui tenir la main, pour que tu lui lises une histoire, une belle histoire, il a juste besoin de rêver, l'imagination et la fertilité du savoir, laisse le se foutre les doigts dans le nez ou se gratter le cul, et tant pis si il n'a pas envie de bouffer, il a le temps de découvrir, faut juste l'accompagner, l'encourager et lui donner une épaule ou se nicher quand il a le genou écorché…

- Bon tu veux le ton Kinder ?
- Vi viii
- Putain mais c'est oui pas Vi
- On dit pas putain
- 6 fois 8
- ????
- Allez tu me gonfles au lit sans bouffer…

Ce bouquin est une référence, donc je ne vais pas m'étaler à raconter de la merde.

A plus les copains

Commenter  J’apprécie          6213




Lecteurs (27916) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz ne tirez pas sur l'oiseau moqueur

Comment s'appelle la narratrice ?

Alexandra
Miss Maudie
Scout

10 questions
798 lecteurs ont répondu
Thème : Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur de Harper LeeCréer un quiz sur ce livre

{* *}