Le sort ne fait pas de différence entre les gens. On est tous égaux face au hasard.
Les rêves te font avancer et grandissent avec toi. Ils t’élèvent. Par contre, tu dois perdre tes illusions au plus vite. Les illusions t’empêchent de voir la vie telle qu’elle est et conduisent immanquablement à l’échec.
Quand on est jeune, on a peur de ce qui commence. On ne sait pas. Quand on est vieux, on a peur de ce qui risque de finir. On sait bien assez de choses mais on n’a plus l’occasion de s’en servir.
Dans la langue française, nous avons un truc que vous n’avez pas : c’est le tutoiement. C’est très pratique. Les gens que vous n’aimez pas trop, vous leur dites « vous » et ça reste poli. Par contre, ceux que vous aimez bien, votre famille, vos amis, vous pouvez leur dire « tu ». C’est comme un petit cadeau, un signe distinctif qui montre votre proximité.
Les hommes fonctionnent à peu près tous de manière identique. Nous avons beau paraître très différents et avoir des vies qui ne se ressemblent pas, ce sont les mêmes moteurs qui nous animent. Nous passons notre vie à gérer nos envies, au mieux nos devoirs, en fonction de nos moyens.
Tout apprécier à chaque seconde, parce que tout peut s’effondrer à chaque seconde.
Nul n’échappe au désordre qui affecte notre univers imparfait.
La vie est trop courte pour vivre au milieu de choses qui ne sont pas belles !
Les choses utiles se vendent sans problème et que ce sont les futilités que génère notre époque qui ont besoin d’être fourguées par tous les moyens.
Ce n’est pas l’intelligence qui fait la valeur d’un homme, c’est la façon dont il l’emploie.