On ne décide jamais des personnes qu’on aime. Elles s’imposent à nous. Qu’il s’agisse d’un coup de foudre ou d’un attachement plus lent, on ne le provoque pas, on le subit. Personne ne sait ce qui fait naître nos sentiments. Certains disent que tout est chimique, d’autres que cela vient de nos vies d’avant.
Ma petite, je vais vous donner un conseil : ne cherchez jamais à comprendre les hommes, contentez-vous de vous réjouir quand ils font ce que vous voulez !
Pour nous et pour tous les êtres humains. On ne décide jamais des personnes qu'on aime. Elles s'imposent à nous. Qu'il s'agisse d'un coup de foudre ou d'un attachement plus lent, on ne le provoque pas, on le subit. Personne ne sait ce qui fait naître nos sentiments. Certains disent que tout est chimique, d'autres que cela vient de nos vies d'avant.
En grandissant, on apprend à faire semblant, on joue le jeu de la vie, on étouffe son instinct et on cède aux convenances. Si tu y réfléchis un peu, c'est fou le nombre de choses que l'on fait sans y croire, pour faire comme les autres, peut être comme il faut. Quand tu retires le superficiel, il ne reste plus grand-chose.
Lorsque tu crois que tout est perdu, tu ne te mens plus, tu remets les choses à leur vraie place. J'ai eu peur de ne plus jamais vivre, et là, mon regard sur ce que j'ai traversé a changé. Dans ces moments-là, ce que tu regrettes vraiment, ce qui te manques le plus devient évident.....
…. C'est terrible à dire, mais je me suis rendu compte que la plupart des choses que j'ai faite ces dernières années n'avaient aucune importance pour moi. Je me suis souvenue de mon enfance, de mes parents, des quelques proches avec qui j'avais vécu des choses fortes, pourtant, à partir de l'adolescence, tout devenait moins clair, plus ambigu.
« en grandissant, on apprend à faire semblant, on joue le jeu de la vie, on étouffe son instinct et on cède aux convenances. Si tu y réfléchis, c'est fou le nombre de choses que l'on fait sans y croire, pour faire comme les autres, pour être comme il faut. Quand tu retires le superficiel, il ne reste pas grand chose. Durant toute cette période, la seule chose qui m'était personnelle, intime, qui était vraie en moi, c'était ce rêve, notre rêve..... (page 312)
Je ne crois pas que l'on puisse oublier, on apprend seulement à vivre avec le souvenir.
Il passa la nuit à effleurer les cheveux et la nuque de celle qu'il aimait plus que tout et que demain il allait tuer.
Je ne crois pas que l'on puisse oublier, on apprend seulement à vivre avec le souvenir.
Le repaire des âmes.C'est ainsi que les Egyptiens désignaient cette conscience collective.C'est une notion que l'on retrouve depuis les temps les plus reculés dans presque toutes les religions.
Le cerveau serait en fait un émetteur-récepteur dont seule une infime partie serait dédiée à notre fonctionnement physique et à l’apprentissage pratique de notre vie. Tout le reste, l’affectif, le spirituel, ne serait pas traité directement dans notre cerveau, mais au sein d’une sorte de conscience collective, une entité psychique commune à tous les êtres et à laquelle nous serions tous connectés. Chacun pourrait, suivant des affinités qui lui sont propres et qui conditionnent son type de connexion, y puiser et y placer ses sentiments et ses pensées…