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3,36

sur 177 notes
Alors qu'elle part relever son courrier chez sa voisine à son retour de vacances, Anna Maria Giusti, la retrouve morte à son domicile. C'est le commissaire Brunetti qui va se charger de l'enquête car lui ne croit pas à l'hypothèse qu'elle a heurté sa tête sur un radiateur lors de sa crise cardiaque. Il va découvrir que cette dame cachait bien des secrets.
C'est toujours un plaisir de retrouve le commissaire Brunetti. Comme toujours, simple pas dans le cliché du commissaire alcoolique…. En plus de l'intrigue policière, Donna Leon aborde des thèmes comme la solitude des personnes agées. On ressent quand même une certaine longueur dans l'enquête qui montre bien l'essoufflement du personnage de Brunetti.
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Entre deux lectures sérieuses, après un roman difficile, un polar vénitien pour chanter?
Les promenades à pied ou en vaporetto avec Guido Brunetti sont toujours un plaisir, la cuisine parfumée De Paola aussi.

Une dame est trouvée morte par la voisine. Autopsie. Elle était visiteuse dans une maison de retraite. Brunetti y passe des heures ; ce n'est pas le décor le plus glamour, ni le rythme le plus haletant. L'intrigue, piano piano, ronronne. La dame était certainement une personne vertueuse, elle hébergeait des femmes battues. Peut être l'une d'elles.... Peu d'action. Je poursuis ma lecture dans la même torpeur qui me cloue devant Louis La Brocante à la télé. Personnages sympathiques, j'ai envie de connaître la suite, d'ailleurs, il y a des tableaux disparus....

Dans le dernier quart du récit, cela se précise. Visite chez un galeriste. Venise, ville d'art, jolie description d'un tableau de Sainte Catherine. Les petits vieux de la maison de retraite prennent de la consistance. Il fallait juste être patiente!

Une balade agréable dans Venise mais pas un cru exceptionnel!
Lien : http://miriampanigel.blog.le..
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Excellent ! comme toujours ;-)
Les "Donna Leon" je ne m'en lasse pas !
Les aventures du commissaire Brunetti sont excellentes, et me permettent de voyager à Venise, en dehors des rues bien touristiques.
On découvre, comme j'ai déjà pu l'écrire, Venise olfactivement, gustativement, tout en prenant le temps de poursuivre un meurtrier ! que demander de plus ;-)
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bien au début puis je me suis laissée....
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Je me parjure ! J'ai écrit ici-même que je ne lirais pas d'enquête de Brunetti une troisième fois, tellement je n'avais pas aimé mes deux premiers essais. Et puis ce week-end j'étais en visite chez mon fils et, privée de mes bouquins, j'ai commencé à lire celui-ci. J'ai toujours eu l'impression de parcourir un guide touristique de Venise. Cependant, j'ai éprouvé moins d'ennui que d'habitude, j'ai même aimé l'histoire. Mais ! Je ne suis toujours pas devenue une fan de Donna Leon... Cette fois, l'inspecteur Brunetti est appelé par une femme qui a découvert sa voisine, morte dans son propre appartement. Je me suis certes demandé pourquoi la police ? Mais sinon, il n'y aurait pas eu de livre ! ha ha ha ! Brunetti "flaire" que la mort de cette vieille dame cache toute une histoire. Qui est racontée ici. Je déplore une fin en queue de poisson. C'est du Donna Leon, quoi !
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À Venise, une femme âgée est retrouvée morte et le commissaire Brunetti est sceptique quant au diagnostic de mort naturelle.

Dans le magnifique décor de la ville des vaporettos, c'est le début d'une enquête tranquille, sans poursuites effrénées ni coups de feu, mais avec quelques pointes d'humour, souvent dirigées vers les aberrations de la politique ou de la bureaucratie italienne.

Comme dans plusieurs de ses polars, Donna Leon inclut des questions sociales. Dans celui-ci, on pourrait le deviner, il s'agit du sort de personnes âgées, diminuées, souffrantes, et aussi du problème la violence faite aux femmes.

On pourra aussi y trouver des réflexions aussi sur l'honnêteté, la famille, sur l'amour qui dure malgré le passage des ans ainsi que sur la condescendance parfois méprisante des bienfaiteurs envers les personnes qu'ils aident

Un polar calme avec un petit verre de champagne en contemplant les eaux de la lagune, à moins qu'on préfère regarder vers les montagnes...
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Donna LEON : Deux veuves pour un testament.
Une intrigue policière réussie et au-delà,
*Un voyage (un de plus , guidé par cette romancière) pas à pas, dans ce Venise qu'elle adore, avec une précision topographique qui m'a permis de me situer, de trouver des photos, de rêver de voyager…
*Une approche de ces subtiles tensions entre les italiens du Nord et du Sud, avec les préjugés, les sujets de heurts, les préjugés, tournant ici, parfois, à l'avantage, non dénué d'humour, de celui qui est l'objet de préjugés.
*Une évocation subtile au-delà de la trame policière, de la vieillesse, de la dépendance, du bénévolat… de l'avenir de Venise, et de ses habitants… s'il en est un.
J'ai beaucoup aimé m'y plonger, j'ai eu faim avec Brunetti, je me suis rassasiée avec lui, j'ai réfléchi avec lui et j'ai apprécié l'originalité de la résolution finale.
Un bon Donna Léon !
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Superbe BRUNETTI, une fin comme seul lui sait nous y conduire au travers ses déplacements dans cette ville magnifique.
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Voilà quelques bons mois que je n'avais plus pénétré dans l'univers de Donna Leon . Avec la vingtième enquête du commissaire Brunetti , on retrouve Venise , ses ruelles , ses canaux , ses palais mais hélas , toujours cette même lenteur que j'ai du mal à supporter . Il faut des pages et des pages et beaucoup de transgressions avant d'entrer dans le vif du sujet.
Anna Maria rentrant de vacances trouve sa voisine la signora Altavilla morte dans son appartement qui n'est pas fermé à clé. Cette femme qui vivait seule était bénévole dans plusieurs associations : en maison de retraite pour tenir compagnie aux personnes esseulées et pour une association qui protégeait les femmes battues en leur trouvant un refuge afin de les éloigner de leur compagnon violent.
C'est donc au commissaire de débrouiller l'affaire et de décider de la suite à donner car le médecin légiste a conclu à une mort naturelle par crise cardiaque.
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La signora Altavilla gît sur le sol de son appartement. le médecin légiste assure qu'elle est morte d'une crise cardiaque. Cependant, le commissaire Brunetti n'est pas convaincu. Quelqu'un aurait-il pu provoquer sciemment cette crise ? Brunetti va alors s'immiscer dans la vie de la vieille dame dans une enquête qui n'en est pas tout à fait une.
J'ai moins aimé cet épisode des enquêtes du commissaire Brunetti que les autres. J'ai trouvé que l'écriture manquait de nerf.
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