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Bien que j'avais apprécié "La poupée sanglante", il y a quand même quelques éléments auxquels je n'avais pas accroché et le final m'avait également laissé un peu sur ma faim. J'étais donc curieux de découvrir sa suite "La machine à assassiner" en espérant combler un peu cette frustration que j'ai pu ressentir.
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Très vite, je me suis laissé prendre au jeu. J'ai même trouvé cette suite plus efficace que son prédécesseur en termes de rythme, de suspense et de tension. L'ensemble est plus fluide, plus dynamique et c'est ce qui fait que j'ai adoré cette chasse à la poupée.
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Malheureusement, le final m'a une nouvelle fois déçu. Dans l'exercice, on retrouve la même recette que "La poupée sanglante", cette dernière se trouvant délaissée au profit du comte qu'on avait un peu abandonné, chose qui ne m'avait pas dérangé plus que cela.
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Dans l'ensemble, "La machine à assassiner" reste quand même un très bon livre, très plaisant à lire. Ce fut pour moi une bonne découverte, je regrette juste le fait d'avoir décroché sur la fin, un reproche assez reçurent chez moi jusqu'à présent sur les livres de Gaston Leroux que j'ai pu lire.
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Après avoir fini le fantôme de l'opéra que j'avais adoré, j'ai eu envie de découvrir la poupée sanglante que j'ai beaucoup aimé, mais je ne peux pas en dire autant pour sa suite que j'ai trouvé parfois long et insipide.

Le rythme est vraiment trop hachuré à mes yeux et certains chapitres m'ont vraiment perdu, j'aurais préféré continuer de suivre uniquement les personnages déjà vus dans le premier roman plutôt que d'insérer des personnages random ou des inspecteurs de police qui enquête sur des faits que nous connaissons déjà.

Malgré tout, il y a des idées vraiment très sympas et l'histoire m'a légèrement fait penser au mythe de Frankenstein.
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Personne ne va s'étonner que ça soit un tome 2 et que je n'ai pas relu le tome 1 avant ! Cependant ils sont suffisamment indépendants pour que ça ne soit pas un problème pour la lecture.

Entre roman d'aventures et roman policier, il se dirige résolument vers le fantastique parce qu'il n'y a pas d'autre manière de nommer des romans tels Frankenstein !

Un peu d'amour pour assaisonner, quelques poursuites, des comportements étranges, l'histoire commence (ou se poursuit) sur l'Île Saint Louis et va s'égarer en province ! le plus de ce roman, les descriptions du Paris nocturne et vaguement menaçant apportent beaucoup à l'histoire.

Histoire qui parfois devient abracadabrante mais ne m'a néanmoins pas enlevé le plaisir de la lecture ! J'aime beaucoup lire ou relire tous ces écrits de fin 19ème et début 20ème, ils apportent un air d'ingénuité qui manque à notre époque !

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Gaston Leroux (1868-1927) est un romancier français. Gaston-Alfred-Louis Leroux grandit en Normandie et après avoir obtenu le baccalauréat de lettres au lycée de Caen, il s'installe à Paris en octobre 1886 où il s'inscrit à la faculté de droit. Devenu avocat en 1890, il exerce cette profession jusqu'en 1893. Pour arrondir ses fins de mois, il écrit des comptes rendus de procès pour le journal L'Écho de Paris. A partir de 1901, devenu grand reporter, il effectue de nombreux voyages en France et à l'étranger, notamment en Espagne et au Maroc. Sa renommée s'appuie sur la série des romans avec Joseph Rouletabille ou ses chefs-d'oeuvre comme le Mystère de la chambre jaune (1907), le Parfum de la dame en noir (1908) et le Fantôme de l'Opéra (1910).
La Machine à assassiner est la suite de la Poupée sanglante, tous deux romans de 1923. Si les deux ne font qu'un, à mon grand étonnement ces deux ouvrages sont diamétralement opposés ou, si le terme est exagéré, complètement différents l'un de l'autre. Et ce billet ne pouvant traiter de manière isolée ce second volet sans le comparer au premier, je préviens ceux qui seraient tentés de lire ce diptyque que je risque de déflorer le mystère…
L'intrigue de la Poupée sanglante se résumait grosso modo à l'enchevêtrement de trois mystérieuses affaires : un personnage étrange nommé Gabriel, tenu au secret chez un horloger de l'île Saint-Louis à Paris et finalement assassiné ( ?) par l'orfèvre et son neveu Jacques Cotentin étudiant en anatomie, au grand désespoir de Christine, sa fille ; un relieur d'art, Bénédict Masson, voisin de ceux-ci, amoureux transi de Christine et guillotiné en fin d'ouvrage, reconnu coupable d'assassinat de jeunes femmes dans sa résidence secondaire en grande banlieue ; d'un comte qui semble immortel grâce à la vie qu'il suce en sa femme… Ce premier volet s'achevait en nous laissant en plan, rien de ces mystères n'était certifié avéré et peut-être n'était-ce que notre imagination qui courait à sa guise ? Tout était étrange, le fantastique rôdait dans toutes les pages, le suspense était haletant et l'épilogue incertain attisait une frustration qui faisait de cette Poupée sanglante (titre inapproprié alors) un excellent roman.
Une suite s'imposait, La Machine à assassiner était là pour répondre à toutes nos interrogations. Et oui, nous avons une explication « logique » à ces trois affaires liées – de ce genre de logique qu'on accepte pour ce type de roman, bien entendu. Réponses qui auront leurs origines dans les progrès de la science et les fantasmes induits chers aux écrivains et, pour ajouter une touche d'extravagance exotique comme on l'appréciait à cette époque, l'entrée en scène, bien que modeste, des Thugs !
Alors en quoi cet ouvrage est-il si différent du premier ? le premier, c'était comme assister à un merveilleux spectacle de prestidigitation qui vous laisse pantois et ravi, le second c'est d'apprendre comment l'artiste à procédé ! La Machine à assassiner est un vrai polar un peu désuet. Gabriel, « la chose », a enlevé Christine et perpétuerait de nouveaux crimes à l'identique de ceux de Bénédict Masson (déjà guillotiné), la police lui court après et de leur côté, Jacques et l'horloger, qui savent tout, tente de récupérer Gabriel les premiers… le mystère n'est plus aussi prégnant, la tonalité générale est même à la rigolade ( ?) : des scènes burlesques, des dialogues avec un directeur de la police qui m'ont faire penser à de Funès dans Fantômas etc. Les portraits/croquis de personnages secondaires tous issus des classes populaires (retraités, petits commerçants…) sont très amusants et l'épilogue se clôt sur une note d'humour.
Aussi suis-je bien ennuyé pour conclure. Autant j'ai adoré le premier tome, autant je suis un peu/beaucoup désappointé avec celui-ci : La Machine à assassiner n'est pas un mauvais roman mais il est tellement différent de l'autre, plus vieilli aussi tout en étant plus amusant que je ne sais quoi penser de l'ensemble ?
PS : j'ai parlé de diptyque – mot qui m'est venu tout seul sous la plume – pour évoquer ces ouvrages, or en recherchant la définition exacte de ce mot dans le Larousse, je lis : « Oeuvre composée de deux parties qui s'opposent ou se mettent en valeur par contraste. » Tout est dit.
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Paris, début du 20è siècle. Au coeur de l'île St Louis vit Bénédict Masson, un relieur intelligent et sensible malheureusement doté d'un physique repoussant. Il se meurt d'amour pour sa voisine la belle Christine, fille de l'horloger et fiancée au brillant savant Jacques Cotentin . Un soir, il entend une violente dispute entre Christine et son père. C'est que Christine est amoureuse d'un bien étrange personnage nommé Gabriel, mutique et froid, qu'elle cache dans sa chambre (!) et cette situation pour le moins curieuse intrigue fortement Benedict. En voulant savoir le fin mot de l'affaire, Benedict va se trouvé emporté dans une aventure terrible et fantastique qui risque de lui faire perdre la raison...voire la tête!
Paru dans un premier temps en feuilleton dans le quotidien "Le Matin" durant l'année 1923, "La poupée sanglante" et sa suite "la machine à assassiner" figurent parmi les derniers romans du prolifique Gaston Leroux. On retrouve d'ailleurs avec plaisir les descriptions typiques d'un Paris nocturne, inquiétant et gothique, qui plongent le lecteur dans une atmosphère inquiétante dès les premières lignes. Benedict, le disgracieux relieur amoureux et sensible (enfin...on le soupçonne tout de même d'être un redoutable tueur en série!) n'est pas non plus sans rappeler Erik, le Fantôme de l'Opéra. Il est d'ailleurs évident que Leroux s'est surtout attaché à ce personnage tourmenté au point de traiter les autres avec une certaine désinvolture. La légèreté avec laquelle il évoque l'évanescente Christine ( qui atteint des sommets de nunucherie dans le tome 2) ou son fiancé le savant Jacques Cotentin (qui, tout savant qu'il soit, s'avère être surtout un bel empôté) surprend au début. Et cette distance un brin moqueuse, si elle apporte de nombreuses notes d'humour, se retourne finalement quelque peu contre le roman et l'ambiance inquiétante s'en trouve légèrement gâchée, plus précisément dans le tome 2 où les rebondissements et explications abracadabrantes s'enchaînent. Néanmoins on passe un très bon moment à la lecture de ce "Frankenstein" français même si, et ça c'est très subjectif, on aurait préféré un autre traitement de l'histoire.
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Suite de la Poupée Sanglante, cette deuxième partie reprend l'histoire là où nous l'avions laissé, sous forme de récit journalistique. Ainsi le roman est peuplé de citation reprenant simplement les dires des personnages qui apparaissent au fil de la lecture, accompagné par la plume du journaliste qui détaille les faits pour le lecteur. On découvre ainsi les faits et gestes de la poupée sanglante à travers des yeux extérieurs, montrant la terreur qu'engendra cette découverte.

Contrairement au premier roman, le fantastique est moins présent car les explications scientifiques affluent, mais on retrouve malgré tout cette dualité science/croyances qui sépare la populace lambda du scientifique érudit.

Les références sont toujours présente: Dracula, Frankenstein, Pygmalion, mais le mythe est dépoussiéré pour répondre à une attente du début du 20ème siècle.
Le seul point négatif est qu'il reste quelques questions en suspens à la fin du livre, mais Leroux parvient à nouveau à nous entraîner à la suite d'un monstre, démontrant que l'habit ne fait pas le moine à travers l'effroyable pouvoir de la presse et des croyances populaires.
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Après m'être plongée dans les aventures de Bénédict Masson (La poupée sanglante) au mois de juin, il me tardait de poursuivre avec le deuxième et dernier tome de la saga. Si j'avais peur d'être déçue (ceci m'arrive très souvent lorsque je lis des romans qui présentent une suite), ça n'a pas du tout été le cas cette fois-ci. Avec La machine à assassiner, nous retrouvons en effet la même noirceur, la même atmosphère prenante et fantastique que dans La poupée sanglante. La plume de Gaston Leroux possède un petit côté suranné, mais c'est justement ce qui me plaît énormément. J'ai maintenant très envie de découvrir le fantôme de l'opéra ou encore le personnage de Rouletabille. En bref, ce roman à ambiance est à nouveau une réussite. Je remercie mon amie Rose Prune de m'avoir accompagnée dans cette lecture.

Avec ce second tome, j'ai pris plaisir à retrouver les personnages de la poupée sanglante. Norbert, l'horloger. Sa fille, la jolie Christine. Jacques Cotentin, le savant amoureux fou de la jeune femme. Mais aussi… le terrible et malheureux Bénédict Masson ! Je ne pense pas vous spoiler en ayant dévoilé la quatrième de couverture du roman. Si nous y apprenons effectivement que le relieur d'art a été accusé de meurtre, et même davantage… nous le retrouvons ici sous une forme on ne peut plus inattendue… Après avoir revisité le mythe du vampirisme, Gaston Leroux lève ici le voile sur un questionnement plutôt intéressant : la dichotomie entre le corps et l'esprit. Ce simple thème pose ici toute l'intrigue sentimentale fortement reliée au personnage de Christine. J'ai particulièrement apprécié cet aspect, tout comme j'ai adoré l'écriture de Gaston Leroux qui mêle à nouveau avec brio registre fantastique, intrigue policière et histoire d'amour (dans une certaine mesure).

Dès le départ, le lecteur retrouve ainsi Christine en proie à l'horreur. La jeune femme a été sauvagement enlevé par Gabriel, sorte de monstre automate (en référence à Frankenstein) crée par Jacques Cotentin. le fiancé effaré et Norbert, père de Christine, se lancent alors aux trousses de notre kidnappeur. Alors même qu'à Paris, le pire se produit : une série de meurtres (commençant par de simples sensations de piqûre !) semble frapper toutes les couches de la population. Dès lors, les langues se délient. Et si Bénédict Masson, accusé d'avoir commis de nombreux meurtres, était finalement innocent ? Et si tout simplement notre relieur était revenu hanter l'île Saint-Louis ? Des papiers écrits de sa main ont en effet été retrouvés il y a peu…

Au risque de me répéter, j'ai une nouvelle fois été happée par l'intrigue. Je trouve que Gaston Leroux a tout simplement réussi à créer toute une galerie de personnages absolument inoubliables. Mais ce roman est bien plus que ça… L'ambiance y est en effet si particulière. Nous frissonnons, nous réfléchissons (car le mythe Frankenstein, un monstre entièrement crée par une main humaine, offre finalement tout un support de réflexion). Mais nous nous attachons aussi aux personnages. Si j'avais beaucoup aimé suivre la relation Christine-Bénédicte Masson dans le premier tome, je vous avoue avoir ressenti davantage d'empathie pour le personnage de Jacques Cotentin cette fois-ci. Si entre les deux tomes, je pense tout de même avoir préféré de peu La poupée sanglante, ce roman est également un très bon cru. Il me tarde de poursuivre ma rencontre avec la plume de Gaston Leroux.
Lien : https://labibliothequedebene..
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Bénédicte Masson est mort, criant son innocence, guillotiné, pour le meurtre des jeunes femmes disparues qui étaient en stage avec lui. Mais des faits étranges continuent de se produire, et les plus folles rumeurs courent les rues de Paris. Des jeunes femmes continuent à disparaitre à proximité de la demeure secondaire de l'ancien relieur. La comtesse de Coultray est au plus mal, malgré l'assiduité des soins prodigués par le médecin hindou de son mari, mari qui se rapproche sensiblement de la belle et inquiétante danseuse La Dorga. M. Gaillard et le prosecteur Quentin, son futur gendre, sont affolés : d'après eux, la "machine à assassiner" qui sème la terreur dans les rues de Paris serait le fruit de leur invention, et se serait enfuie avec leur fille et fiancée, la belle Christine.

Qu'il est difficile de faire un résumé de cette suite de "La poupée sanglante" sans dévoiler la fin du premier opus ! Ce second tome emprunte toujours, comme le premier, à différents registres littéraires : l'histoire d'amour (bien que moins présente), le roman policier et le fantastique. A ce propos, j'ai beaucoup aimé la façon dont Gaston Leroux revisitait les mythes des vampires et de Frankenstein pour mettre en lumière une question fondamentalement humaine : le corps et l'âme. Car c'est finalement en ces termes que ce pose l'intrigue sentimentale de ce diptyque : Christine est attirée par la finesse et la poésie de l'esprit de Bénédicte, mais est répugnée par son physique ; elle est attirée par l'intelligence de son fiancé Jacques, mais il manque justement du romantisme poétique et passionné de Bénédicte ; elle est captivée par "Gabriel" l'automate, l'homme parfait, à qui il ne manque… qu'une âme. Quant à Bénédicte, dont la tête guillotinée a été greffée sous le visage sans défaut de Gabriel, peut-il prétendre à l'amour de Christine ? Peut-il rencontrer le bonheur et la sérénité ?
Ces réponses, ainsi que les énigmes posées dans le premier volume (la comtesse de Coultray est-elle folle ? Bénédicte est-il un assassin ?) trouveront réponse dans ce roman qui propose, comparativement au premier, plus d'action et plus d'humour (grinçant). La première partie notamment tient beaucoup de la peinture ironique d'une certaine société, dans laquelle les hommes et les femmes ne sont pas vraiment dépeints à leur avantage ! La dernière partie se situe plus dans l'action, et inclut de façon heureuse course poursuite, suspense et retournements de situation.
Même si j'ai trouvé "La machine à assassiner" un chouia inférieur à "La poupée sanglante", l'ensemble propose un très agréable moment de divertissement !
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Suite de la poupée sanglante, ce roman n'en a pas les attraits. On n'y retrouve pas l'atmosphère de mystère qui règne dans la poupée sanglante, ni le caractère intrigant des personnages. Il n'y a pas non plus d'unité de ton. On reste dans des rebondissements un peu artificiels, comme on peut en avoir dans certains feuilletons. Cela est néanmoins une lecture agréable et relativement captivante.
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La machine à assassiner est donc la suite de la Poupée Sanglante.

J'ai un peu moins aimé ce tome, mais il reste sympa.
Le livre a un gros défaut : on sent le côté feuilleton. Les points de vue et les angles de narrations changent beaucoup, ce qui est parfois bizarre.
Attention : évitez de lire la préface qui dévoile toute l'intrigue du roman. C'est un peu chiant de tout savoir à l'avance, surtout que l'on revient sur des faits de la Poupée Sanglante.
Comme pour le tome précédent, Leroux joue avec le fantastique. On se demande toujours si ce fantastique est présent ou s'il y a une explication logique. C'est moins présent que dans la Poupée.

Les personnages sont toujours aussi sympa et on voit avec plaisir évoluer Christine vers des choses plutôt positives, même si elle reste assez passive. L'ensemble est bien travaillé et l'on sent que certains personnages sont des critiques ou des caricatures de certains personnages « réels ».
Leroux connait bien « le peuple » et ses craintes, ainsi que la vie de Paris. Ceci dit, comme dans la Poupée Sanglante, il y a probablement des choses qui nous échappent, car elles sont le reflet d'événements de son époque.

Une suite qui reste agréable à lire.
J'avoue avoir été très contente de découvrir ce diptyque de Leroux qui chevauche le mythe des vampires et celui de « Frankenstein ».

Lien : http://xian-moriarty.over-bl..
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