AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Danser, encore (27)

Marco lui lança un regard assassin auquel elle répondit par une grimace.
p50
Commenter  J’apprécie          00
A aucun moment il n'avait prononcé le verbe «aimer», mais ses actes et ses paroles le signifiaient.
Commenter  J’apprécie          00
Lorsqu'il éteignit la lumière, tout le monde se mit à chanter. Nathan souffla la flamme, émerveillé, avant de fondre sur le paquet que son grand-père brandissait. Un peu en recul sur le canapé, Alexandre prit le temps d'observer la scène. Depuis quelques années, il avait contracté cette habitude. Au moins la maladie de son fils lui avait-elle appris l'immédiateté de la vie, son caractère insaisissable , le fait que chaque seconde s'échappait dans le temps, et que rien , finalement, n'était plus concret que le présent. Jamais il ne revivrait cette minute là, entouré des gens qu'il aimait profondément, qui composaient son bonheur, sa raison d'être et ses tourments. Ce moment était unique, et mentalement, il s'ingéniait à le photographier.
Commenter  J’apprécie          00
Mais, ensuite, il faut continuer. En gardant à l'esprit que tout est éphémère. Laisse-moi t'épargner le suspens : tu as perdu ton frère et tu perdras les autres aussi. Ou alors, ce sont eux qui te perdront. Ce n'est qu'une question de temps. C'est la seule vérité qu'on sache et qui nous oblige à vivre dans le présent. Alors vis, nom de Dieu. Vis de ton mieux. Profite. Fais ce que tu veux.
Commenter  J’apprécie          00
L'illusion serait de ne s'y croire jamais seul [à l'hôpital], alors que, paradoxalement, on y est très isolé.
Chaque patient est cloîtré dans une chambre dont il ne sort presque jamais. Le personnel soignant circule, mais n'est pas là pour faire la conversation. (...)
On se salue à la machine à café, on esquisse un sourire, puis on revient à ce qui préoccupe. Chacun est concentré sur sa douleur
Commenter  J’apprécie          00
- Je me dis que mes enfants sont à moi, mais ne m'appartiennent pas.
Ce sont des individus indépendants. Je ne sais pas quelle existence ils auront.
En ce qui me concerne, j'ai juste le devoir de les élever.
Et de les aimer.
Si c'était à refaire, je referais tout pareil. Sans rien changer.
Commenter  J’apprécie          00
Voir son enfant souffrir est le plus insoutenable des martyrs.
Commenter  J’apprécie          00






    Lecteurs (756) Voir plus




    {* *}