AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,24

sur 2089 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ce livre me faisait vraiment envie et je remercie Babelio et les éditions Casterman de m'avoir permis de le découvrir et de participer au club de lecture virtuelle pour en discuter. J'ai trouvé ça super intéressant.

Chaque année dans le village, toutes les jeunes filles ayant seize ans sont envoyées en année de Grâce. Durant douze mois, elles se retrouvent isolées dans un camp en pleine forêt, livrées à elles-mêmes afin d'éliminer leur magie. Au village, il est interdit de parler de cette année de Grâce, le mystère plane donc sur les évènements qui s'y passent. Ce que l'on sait, c'est que les adolescentes qui en reviennent, lorsqu'elles en reviennent, sont complètements transformées.

J'ai trouvé l'écriture de l'auteure très abordable, j'ai plongé dans le récit sans problème.
Il n'y a aucune notion de lieu ou de temps, ce qui nous laisse libre d'imaginer différents scénarios sur la localisation du village et sur l'époque à laquelle se déroule l'histoire. L'auteur nous explique cependant le fonctionnement de cette société et j'ai donc pris pour acquis la situation présentée pour suivre les aventures de l'héroïne, Tierney.

Bien que la trame du récit est globalement assez prévisible, je ne me suis pas ennuyée lors de ma lecture. Sous le couvert de les débarrasser de leur ¨magie¨, l'expérience de survie qui est imposée à ces filles est brutale et très violente. Elle leur est surtout imposée dans le but de les briser avant leur retour dans la société.

Les thématiques abordées sont très intéressantes pour un public adolescent, en particulier les comportements de manipulation présents tout au long de l'histoire et à différents ¨degrés¨. Ce récit est vraiment un très bon outil pour débattre de certains sujets et je suis d'ailleurs assez mitigée sur cette mise en lumière du féminisme prôné ici. Il est vrai que le statut des femmes dans la société est véritablement affreux, mais ce qui m'a le plus révoltée c'est le comportement des adultes, aussi bien hommes que femmes qui sous prétexte que se sont les règles, n'hésitent pas maltraiter et tuer leur congénères, y compris leur propres enfants.
Durant les 3/4 de l'histoire, Tierney se démarque des autres personnages par son caractère et son comportement. Elle voudrait travailler plutôt que de devenir une épouse, elle essaie d'établir une relation de solidarité entre les filles en année de Grace plutôt que de maintenir la méfiance et l'individualisme. Elle a notamment un comportement assez protecteur envers les plus influençables et les plus faibles.
Et pourtant, lors de son retour au village après l'exil, elle m'a donné le sentiment de renoncement total alors que 5 minutes auparavant elle était encore prête à s'opposer à l'ensemble des villageois !
Je n'ai pas très bien compris ce revirement de comportement et cela m'a déçue. J'ai quand même été agréablement surprise par ces petits gestes découverts à la fin de l'histoire et qui laisse supposer que le combat continue dans l'ombre et qu'une évolution des mentalités est possible.

J'ai beaucoup aimé l'utilisation des fleurs pour communiquer et j'aurai apprécié que cet élément original soit plus exploité.

Je ne sais pas expliquer pourquoi, mais je ne me suis pas vraiment attachée aux différents personnages. Je retiens tout de même Gertrude pour qui je me suis beaucoup inquiétée, et Kriesten que j'ai détestée tout le long du livre mais je trouve qu'elle a été très bien travaillée.

Un petit mot enfin sur la couverture.
Contrairement à l'édition américaine que je trouve assez girly, la couverture française reflète très bien la dualité entre la féminité, la GRÂCE, et l'univers sombre dans lequel elles vont évoluer durant une ANNEE.
Commenter  J’apprécie          70
Une dystopie sombre et intelligente, ça vous tente? Une ville avec ses notables (tous des hommes bien sûr), les épouses dévouées et ses travailleuses fidèles, envoie chaque année les jeunes filles à l'extérieur de ses murs les jeunes filles pour l'année de grâce. Un an dans un camp au milieu des bois, cerné par les braconniers, où les jeunes filles doivent se débarrasser de leur magie, celle avec laquelle elle pourrait séduire les hommes.
L'héroïne, Tierney, à qui son père a prodigué des enseignements "masculins" va essayer d'améliorer la vie du camp. Mais face à la tradition, la soif de pouvoir et l'étrangeté du lieu, pourra-t-elle faire évoluer les choses?
Ce récit passionnant est sans doute inspiré sans doute de la servante écarlate ou de Hunger Games mais il y a toutefois une véritable originalité dans le traitement et dans les rebondissements.
Commenter  J’apprécie          70
En refermant ce livre je ne savais pas dire si jamais véritablement aimé ou si la part de noirceur du roman m'avait trop dérangé.. Une chose est sûre, ce roman m'a bousculé, heurté et ce n'est pas le genre de récit que l'on oublie facilement. Évocateur et frappant, ce roman, j'en suis persuadée, me marquera un long moment. On ressent la profondeur de l'histoire, les messages renvoyés par l'auteure et le questionnement sur
la place de la femme.

Tout à la fois innovant, poignant et horrifiant, ce récit est fait pour provoquer le lecteur, le pousser à la réaction. Face à tous les événements qui s'y déroulent, il est impossible de reste passif.. Certains passages sont durs, choquants par la violence des descriptions, par l'horreur de ce que les femmes subissent au sein de ce comté.. Je pense notamment à certaines scènes où les braconniers les pourchassent et avec lesquelles j'ai eu beaucoup de mal.. voir trop !

Originale et menée d'une plume fluide et percutante, cette intrigue devient vite addictive ! On a envie d'en savoir plus sur les secrets du Comté, sur la vraie magie des femmes et le sort qu'il leur est réservé.. On suit Tierney, une jeune fille qui part pour son "Année de Grâce". Jugées comme dangereuses et pleines de malices, les filles de 16 ans doivent partir une année durant dans un campement en pleine nature où elles vont vivre de terribles épreuves pour se purger de leur magie afin de retourner au sein de la communauté et devenir des épouses ou des travailleuses.

Tierney m'a beaucoup plu. Elle étouffe au sein du carcan de cette communauté, et ne souhaite que plus de liberté, de voix pour se faire entendre ! Courageuse, téméraire et intelligente, on ne peut qu'admirer sa combativité et sa volonté. Les épreuves qu'elle endure sont particulièrement dures et la fin laisse présumer que tout ceci est loin d'être terminé ! Mais au coeur de toute cette noirceur, une petite lueur d'espoir semble permise..
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          10
Nous entrons dans ce roman en découvrant peu à peu la société dans laquelle vit Tierney, l'héroïne de ce roman. Une société dominée par les hommes, dans laquelle les femmes subissent toutes sortes d'interdictions et ne sont là que pour gérer le foyer, faire des enfants et plus simplement servir la société anesthésiant leur pensée, du moins en apparence. Il leur est même interdit de rêver. Au coeur de ce système clairement patriarcale, l'année de grâce : lorsque les jeunes filles ont 16 ans, certaines se destinent au mariage (ce sont les hommes qui choisissent lesquelles évidemment), d'autres non. Mais toutes devront passer en amont un an en autonomie en forêt, pour se débarrasser de leur « magie » qui est censée commencer à s'exprimer à cette période de leur vie. Et comme si cette situation ne suffisait pas, ces jeunes filles sont pendant leur année de grâce à la merci des « braconniers » qui les pourchassent pour les tuer car leur peau et leurs organes sont au coeur d'un marché noir. Et cette année, c'est l'année de grâce de Tierney.

J'ai été tout d'abord assez désarçonnée par le début de cette lecture. Si les thèmes abordés -dystopie, survie, féminisme- me disaient énormément, j'ai eu du mal, au début, à rentrer totalement dans le roman. Il y avait comme une distance, et je pense que c'est parce que j'étais dans l'appréhension et l'attente, comme Tierney, de comprendre vraiment en quoi consistait cette année de grâce…. Et je m'attendais au pire. Puis l'année de grâce arrive, et j'ai été happée par ce qu'il s'y déroule. Malgré l'horreur de certains évènements, j'ai aimé suivre Tierney dans son émancipation et sa prise de conscience du mensonge et de l'injustice entourant le système dans lequel elle vit. L'histoire d'amour tragique apporte également son lot d'émotions.

Pendant la lecture je n'ai pas pu ne pas penser au roman La servante écarlate. Si tous deux nous amènent à réfléchir au thème de la domination homme-femme, encore si présente dans notre société, c'est peut-être parce que l'intrigue est moins réaliste dans L'année de grâce que j'ai été moins marquée par cette lecture. Je trouve néanmoins le final très beau : s'il ne nous laisse pas imaginer une abolition immédiate de ce patriarcat, il nous donne tout de même un message d'espoir par une sororité assumée et libératoire.
Commenter  J’apprécie          10
L'année de grâce est le phénomène de cette rentrée littéraire. Présenté comme le digne successeur de la servante écarlate, Sa Majesté des mouches ou Hunger Games, le roman fait couler beaucoup d'encre.

Nous y suivons Tierney, 16 ans, qui vit dans la petite communauté de Garner County et s'apprête à partir effectuer son année de grâce. Toutes les filles de son âge vont partir pour un an dans un camp éloigné, en pleine forêt, où elles vont devoir survivre seules. le but de l'opération : faire dissiper leur « magie », ce pouvoir qu'ont les jeunes filles de faire tourner les têtes des hommes. Personne ne sait ce qu'il s'y passe. Personne n'a le droit d'en parler. Mais celles qui en reviennent ne sont souvent plus les mêmes qu'en partant…

La nature humaine dans toute sa variété (de la compassion à la cruauté) est au coeur du roman. Livrées à elles-mêmes, les jeunes filles conserveront-elles le vernis civilisé avec lequel elles ont grandi ?

En tant que femme, ce roman m'a fait froid dans le dos. L'environnement dans lequel vit Tierney est extrêmement misogyne. Les femmes ne sont que la possession de leur mari. Elles ont juste le droit de se taire et d'obéir. Les jeunes filles sont données en mariage sans leur consentement. Sous couvert du péché d'Eve, elles doivent partir vivre cette expérience horrible de l'année de grâce. Si elles tentent de s'échapper, leurs petites soeurs seront punies.

Pourtant, il n'est jamais indiqué comment on en est arrivé là. le contexte historique n'est pas présenté. Comment cette communauté s'est-elle formée ? Qui a eu l'idée de cette année de grâce ? de mon point de vue, cela m'a vraiment manqué pour m'intégrer dans le roman.

J'ai aussi eu du mal avec les personnages, Tierney en tête. Pour le coup, la comparaison avec Hunger Games se tient, tant Tierney ressemble à Katniss : indépendante, débrouillarde, mais très froide. Il est de fait assez compliqué de s'attacher à elle.

Avec la fin proposée ici, on ne peut qu'appeler à une suite. L'autrice n'a pas exclu cette possibilité et ce serait bienvenu. En effet, il reste tellement de questions non-résolues qu'un autre roman paraît indispensable.

En résumé, L'année de grâce est un roman d'aventure, pour lequel il faut avoir le coeur bien accroché, entre l'ambiance malsaine et certains détails plutôt gores. Il est, pourtant, à lire pour que personne ne se soumette jamais à un environnement aussi oppressant.
Lien : http://dorisbouquine.canalbl..
Commenter  J’apprécie          50
J'ai été happée tout de suite par le style de l'autrice et par le personnage principale. Une dystopie qui dénonce très clairement le monde patriarcale dans lequel nous vivons. Dans ce livre, toute la haine des hommes et leur besoin d'asservir l'autre sexe est révélé rudement : les femmes en sorcières puissantes et tentatrices qu'il faut briser.
Au début du récit, l'autrice dénonce l'absence de sororité, la jalousie savamment entretenu par les hommes : les secrets, les mystères, les tenir éloignées loin du pouvoir et de la connaissance (interdiction d'aller à l'école après 10 ans pour les filles) Les briser.
Cette société qui n'a pas vraiment de nom ni de nationalité, dont les frontières ne s'étendent pas au delà d'une ville fait vivre ses femmes dans la peur et la menace constante, la culpabilité aussi. Au moindre faux pas, l'exclusion ou la mort. Parfois sans faux pas aussi, juste parce que ces messieurs avaient un message à faire passer ou un besoin à assouvir.
Dans cette vie de misère, une année clé : celle des 16 ans où les jeunes filles sont envoyées entre elles pour 1 an, seules et avec la menace constante des braconniers qui veulent les tuer pour revendre leur peau. 1 an durant lequel elles doivent se débarrasser de leur "magie" 1 an pour briser leur volonté et leur rêve de liberté. A leur retour elles appartiendront aux hommes qui les ont choisi en mariage ou iront travailler durement pour le reste de leur vie, interdites à jamais de rassemblement, de volonté propre. Asservies, soumises.
Je réalise, en lisant, à quel point la parole s'est libérée, à quel point les femmes ont décidé de parler, de faire passer le message par tous les moyens et même à travers des fictions aussi limpides. Et je me demande : les hommes se rendent-ils compte de leur aveu de faiblesse à chaque fois qu'ils nous oppriment, le fameux sexe fort, incapable de se dominer.
L'autrice, par le biais de son personnage, dépeint très bien cette rage de voir les hommes choisir à notre place, nous dire qui nous sommes, qui nous devons être ou aimer.
Au début de "l'épreuve" il y a une lenteur, un manque d'action qui ne permet pas de comparer ce livre à la saga Hunger Game mais ce n'est pas forcément un tort dans la mesure où c'est une longue réflexion sur le pouvoir et la place des femmes.
Le début de leur isolement démontre toute la puissance de l'obscurantisme, ce que le manque de connaissances peut avoir comme impact sur les esprits (elles prennent le brame du cerf pour les manifestations d'un fantôme, s'imaginent que le soleil qui se couche plus tôt c'est la conséquence des pouvoirs de l'une d'entre elle (c'est juste l'hiver).
On leur refuse toute jouissance, tout le long de leur vie, on leur refuse tout droit au plaisir. le sexe est un devoir et le plaisir en est proscrit. S'il est solitaire il est même sale.
C'est un livre sur l'émancipation, sur l'espoir d'une libération des femmes, un appel à la sororité et au courage. Ensemble nous sommes fortes et, surtout, nous ne sommes pas seules dans ce combat, il est des hommes qui ne demandent pas mieux que de partager ce monde avec nous. C'est un livre que je conseillerai à toutes les jeunes femmes, les ados, toutes les femmes en devenir en fait.
Merci à Babelio et aux éditions Casterman pour le plaisir de cette découverte.
Commenter  J’apprécie          20
Difficile de passer à côté de ce titre qui n'est même pas encore paru tellement les éditions Casterman le mettent en avant ! Si au départ je n'étais pas spécialement attirée par ce roman, la représentante des éditions m'a largement convaincu de le lire. Je ne suis pas une fan de dystopie ado, on en a mangé à toutes les sauces pendant des années du coup je suis partie assez méfiante en commençant cette lecture.

Tierney vit dans une communauté (on ne sait ni le lieu ni la date) où les hommes ont le tout pouvoir sur les femmes. Leur vie entière leur est imposée et elles n'ont aucun choix à faire. Dans cette communauté patriarcale, nous suivons Tieney qui a 16 ans, et qui va devoir comme toutes les filles de son âge partir un an au milieu de la forêt dans une sorte de camp afin de faire disparaitre toute magie qu'elle aurait en elle. C'est une manière d'isoler les jeunes filles pour les briser et les asservir afin qu'elles reviennent en bonnes épouses soumises. Ce que personne ne sait, c'est ce qu'il se passe réellement pendant cette fameuse année de grâce.

J'ai commencé peu motivée cette lecture car le début était assez long et prévisible. Rien de nouveau sous les tropiques. Mais au fil de ma lecture je me suis laissée prendre par l'histoire qui se révèle assez addictive en plus d'être malsaine. Ce roman a une ambiance vraiment très sombre, voir même glauque par moment. On n'est jamais vraiment à l'aise tout comme l'héroïne!

L'histoire va être axée sur la survie de ces jeunes filles mais aussi sur les croyances qu'on leur a imposé. Cette soi disant magie qui ensorcelle les hommes et rend les jeunes filles dangereuses et désirables, existe-t-elle vraiment où est-elle le fruit de l'imagination des hommes?

J'ai bien aimé l'héroïne Tierney : courageuse et altruiste. Elle est particulièrement lucide sur la situation des femmes au sein de cette communauté (même un peu trop je pense). Elle est révoltée et en même temps pleine d'espoir malgré la noirceur des évènements.

Je regrette juste le côté un peu manichéen de cette société : d'un côté les pauvres femmes opprimées, et de l'autre les hommes méchants et machistes. S'il y a un ou deux personnages masculins pas complétement sexiste, tous les autres hommes passent vraiment pour des ordures et je trouve ce manque de nuance dommage.

En bref : J'ai passé un très bon moment de lecture avec cette dystopie féministe et sensible. L'atmosphère très sombre et lugubre du roman m'a plu ainsi que le message porteur d'espoir. Ce n'est pas un coup de coeur néanmoins car je trouve que le roman manque d'originalité mais il a le mérite de faire réfléchir et de se dévorer pratiquement d'une traite.
Lien : https://repairedeslivres.wor..
Commenter  J’apprécie          50
Dans un univers qui mélange intelligemment Hunger Games avec La Servance Ecarlate, Kim Liggett nous propose avec L'année de Grâce un roman captivant et plein de surprise. Tierney va entrer dans son année de grâce. Alors que la jeune fille vit dans un univers où les femmes n'ont aucun droit de parole et où toute leur vie leur est imposée, les jeunes adolescentes sont envoyées en pleine nature, en proie à des braconniers qui veulent leurs morts ainsi qu'à une vie rudimentaire et sans aucune aide en vue de faire dissiper leur « magie », trop tentatrice et effrayante pour les hommes.

Très belle surprise pour moi. Pourtant j'ai eu peur au début, en incitant sur différents points l'autrice peut nous donner l'impression d'enfoncer des portes ouvertes mais c'est pour mieux nous surprendre ! En étant consciente des codes du genre et du très grands nombres de sorties de ses dernières années, l'autrice joue avec son lecteur et arrive à nous captiver en nous proposant un récit intelligent et pleins de rebondissement inattendus. Les personnages sont fouillés et plein de nuances. Même Tierney peut-être difficile à appréhender et toutes ses décisions ne sont pas des plus innocentes. Comme on peut s'y attendre en lisant le résumé, L'année de Grâce est un récit dystopique qui prône la liberté et offre des messages forts de féminisme dans un univers sombre et cruel. Une fois l'intrigue lancée, il a été difficile pour moi de lâcher le roman !

L'année de Grâce nous prouve que la dystopie n'a pas encore dit son dernier mot et qu'elle a encore beaucoup de choses à nous offrir. Plutôt lassée par mes dernières lectures du genre, Kim Liggett m'a clairement réconcilié avec le genre. Une autrice à suivre donc !
Commenter  J’apprécie          426



Lecteurs (4180) Voir plus




{* *}