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sur 2554 notes
Les Bienveillantes / Jonathan LITTELL
Difficile de faire une critique de ce roman. Difficile même de dire que c'est un roman.
Dire que c'est de la littérature ? Je n'en suis pas sûre.
Dire que ça m'a plu ? Je ne sais pas.
Dire que c'est une lecture ardue, complexe, est assez faible, à tous points de vue.
Ce dont on est sûr, c'est que c'est un pavé de quasiment 1400 pages, et qu'après une 1ère centaine de pages, au vu de la difficulté de lecture, j'ai décidé de le vivre comme un défi personnel, et de ne surtout pas lâcher malgré la forte tentation de le faire à plusieurs reprises. Défi relevé, mais voilà bien un livre que je vais avoir du mal à partager. Mais beaucoup de choses à dire malgré tout.

C'est un roman à plusieurs niveaux, et je ne suis pas sûre d'être suffisamment armée intellectuellement pour apprécier pleinement tous ces niveaux de lecture. Je tente malgré tout d'en faire un résumé très personnel des sentiments que ce roman m'a procurés.

L'histoire se situe pendant la Seconde Guerre Mondiale (il y a quelques allers-retours dans le temps, mais très peu), vue du côté allemand. On a souvent vu, lu, entendu beaucoup de choses sur la Shoah, et sur les horreurs qui se sont déroulées pendant cette période. Mais il y a là davantage, en particulier le point de vue du narrateur, et tout un très long 1er chapitre très détaillé sur le front de guerre allemand en Russie, en Ukraine, l'embourbement, les massacres perpétrés, et la bataille de Stalingrad.

Le narrateur du roman, Maximilian Aue, est allemand. C'est un haut-gradé SS, donc nazi. Il serait exagéré de dire qu'il est un « héros » : peu sympathique, très détaché, il est impossible de s'attacher à lui. On ne sait pas grand-chose de lui, mis à part qu'il est homosexuel, qu'il aime sa soeur d'un amour incestueux, et qu'il est un nazi persuadé de la toute-puissance de l'Allemagne. S'il montre, de temps en temps, un peu d'humanité en faisant savoir qu'il n'est pas d'accord avec les conditions infligées et le sort donné aux prisonniers dans les camps, il n'en reste pas moins convaincu par la doctrine nationale-socialiste d'Hitler.
Sa narration est comme un compte-rendu indifférent, totalement désaffecté, impassible, même lorsqu'il décrit des massacres, les camps de concentration, etc. Ça en fait une lecture très déroutante.
On en apprend un peu plus sur ses sentiments dans les 2 dernières parties du livre, mais il faut avoir déjà lu quasiment 1000 pages.
Mais même lorsqu'on en apprend un peu plus sur lui, Maximilian Aue est un personnage tellement autocentré, antipathique, voire même psychotique qu'on ne peut ressentir aucune affection, aucun attachement envers lui.

Je pense que ce roman m'a fortement perturbée par ce détachement, cette insensibilité constante de Maximilian Aue, comme un témoin, un observateur loin de la tourmente sauf lorsqu'il est directement concerné. L'idéologie nazie y est pourtant omniprésente, les crimes perpétrés au nom de cette idéologie y sont décrits dans toutes les pages du roman, mais comme il écrit ses rapports et comptes-rendus à sa hiérarchie nazie, il écrit son histoire, il décrit l'Histoire, sans aucun sentiment, sans affect. L'horreur dont il est témoin le rend néanmoins souvent malade, physiquement, et les descriptions de ses maladies sont tellement pénibles à lire que ça le rend encore moins sympathique.
Les seuls sentiments qu'on peut lui attribuer sont ceux de son amour incestueux porté sa soeur, et de la haine qu'il voue à sa mère. du coup, là encore, ce sont des sentiments dont on a du mal à être solidaire, et qu'on a du mal à partager avec un « héros » de roman.
Peut-être Jonathan Littell a-t-il justement voulu en faire seulement un narrateur qui se situe très loin de l'horreur, pour ne justement pas sombrer lui-même et nous avec dans cette folie ?
C'est cependant un roman très documenté, très détaillé, comme un livre d'histoire, dans lequel il y intègre des personnages de fiction.
Un bon roman, c'est des émotions. Or là, je n'ai pas vibré, pas du tout même. C'est aussi pour moi, et c'est très personnel, des personnages auxquels on s'attache, pas forcément parfaits, ni extraordinaires, mais qui ont une personnalité (qu'elle soit attachante, ou non, et même si on ne partage pas leurs choix, leur façon de vivre). Or ici ce n'est pas du tout le cas non plus pour toutes les raisons énoncées plus haut.
Un bon roman c'est une histoire qu'on n'a pas envie de finir, qu'on a envie de garder en soi longtemps. Mais là, j'avais vraiment besoin de passer à autre chose, de me détacher de cette histoire.
Un bon roman c'est aussi le style. Jonathan Littell écrit très bien, mais c'est une écriture tellement détachée de tout sentiment qu'elle ne m'a pas du tout faite vibrer.
Donc je ne peux pas dire que Les Bienveillantes est un bon roman pour moi. C'est un point de vue très subjectif, très personnel. Je suis sûrement passée à côté.
Et curieusement, je pense que c'est une lecture que je n'oublierai pas de sitôt, comme une parenthèse étrange, un moment de lecture à part. Ce roman est inhabituel. Et si je lui donne une note « moyenne » aujourd'hui, c'est parce que je ne sais pas quoi mettre, parce qu'il est inclassable.
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Goncourt bien merité pour se livre qui nous plonge pendant la seconde guerre mondiale sur le front de l"est dans la peau d'un officier nazi. Livre prenant du debut à la fin avec tout un questionnement sur la culpabilite et le "bien fondé " des actions menées. Je recommande se livre pour qui s'interesse à la seconde guerre mondiale
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Enfin fini !

Un livre qui me laisse un goût amer, une sensation très inconfortable. Il prétend décrire les horreurs de la seconde guerre mondiale, du point de vue d'un officier de la SS au plus proche de "l'action". Ce faisant, il donne un aperçu très détaillé de l'architecture de la SS, particulièrement de la partie de cette organisation chargée de la “gestion”, comprendre assassinat systématique, de toutes les catégories de personnes considérées comme nuisibles au reich, essentiellement les juifs.

Sur un plan géographique, le récit suit le narrateur, depuis son incorporation dans la police de sûreté allemande, jusqu'à la prise de Berlin par les russes. le narrateur voyage ainsi en France, juste après la victoire allemande de 1940, puis en Ukraine, à Stalingrad, dans les camps de la mort avec des navettes entre ces différents endroits et Berlin. Ces pérégrinations permettent à l'auteur, avec un luxe de détails qui tirent le récit en longueur même si pas tous inintéressants, d'exposer crument les techniques d'éradication de la ss et leurs perfectionnements au cours de la guerre. L'auteur montre également tout l'étendue des luttes intestines grévant la ss, loin de l'image d'un corps parfaitement structuré sous les ordres d'Hittler.
Le livre dresse en outre une analyse pointue de la situation économique de l'allemagne durant cette période, avec l'avènement d'un Speer, et sa volonté d'employer à des fins “utiles”, sur le plan économique, les juifs, volonté qui se heurte à l'inertie, voire aux résistances, des superviseurs des camps de la mort et des chefs de ces derniers.
Little tente aussi d'éclaircir la justification des nazis sur la solution finale. Il montre ainsi qu'il est difficile d'en identifier une seule, mais l'une d'entre elles m'a marqué : le narrateur justifie la solution finale par le fait que les juifs constituaient une concurrence aux aryens, en ce qu'il ne peut y avoir “qu'un seul peuple élu”.
Au-delà de toutes ces considérations, sur le plan de la fiction du roman et de l'aspect psychologique du personnage principal, je suis très partagé… L'auteur choisit comme premier rôle un juriste intellectuel totalement névrosé, frustré par ses désirs inassouvis envers sa soeur, ce qui l'amènera à ne se satisfaire que de rapports homosexuels (?), traumatisé par son séjour à Stalingrad (si ce n'est déjà avant par son vécu en Ukraine), le conduisant au marricide pendant l'une de ses permissions, avec en sous-entendu le fait qu'il soit potentiellement schizophrène ? Pendant tout le récit, le Dr Aue aspire à trouver une cohérence dans un système qui en est dépourvu…
Ce personnage détonne à côté des descriptions très réalistes du régime auquel il participe. L'auteur souhaite peut-être signifier que seul un être aussi fou que le Dr Aue peut s'accommoder de telles atrocités en les justifiant par une nécessité ,tout abstraite, issue de son esprit ?

En conclusion, ce roman constitue une somme assez riche en détails politiques, économiques, philosophiques et s'inscrit pour moi dans une perspective naturaliste. Il rend compte sous de multiples facettes du régime nazi, remplissant une fonction historique pas inintéressante avec des épisodes connus mais décrits sous un nouveau jour pour moi. Il ‘s'agit cependant d'un livre que j'ai trouvé franchement nauséabond, outre la thématique traitée, sans doute en partie à cause de son personnage principal, qui, bien qu'atteint physiquement et psychologiquement par les événements, persiste dans sa voie sans réels mouvements de révolte. Un livre donc que je ne regrette pas d'avoir lu (“les regrets sont pour les enfants”), singulièrement pour son aspect historique, mais que je ne recommanderai pas.
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Je n'avais pas lu Les Bienveillantes à sa sortie et son succès en librairie en 2006. Je suis restée longtemps sans m'occuper de ce roman. Puis, une copine me l'a prêté et donc j'ai décidé de le lire.

Max Aue est un jeune allemand de 25 ans , francophone et francophile, issu d'une bonne famille et qui adhère totalement aux idéaux nazis et au régime mis en place par le IIIème Reich. A cet égard, il devient officier SS et participe notamment à la Shoah par balles à l'est de l'Europe (ne sera-t-il pas sur place lors du massacre de Babi Yar). Puis il connaît la gestion des camps d'extermination, fait un passage en cabinet ministériel. Au moment de la chute de Berlin et de l'arrivée de l'armée rouge, sa francophonie plus qu'avérée lui permet de se réfugier en France et d'entamer l'après-guerre.

Max cache des secrets, des fantasmes et des opinions peu avouables. Il est homosexuel conjurant ainsi le fait qu'il ne peut pas posséder la seule femme dont il a réellement envie, sa soeur Una. Il deteste son beau-père français. Il n'a pas meilleurs sentiments vis-à-vis de sa mère. Il a un ami Thomas pour qui il n'aura aucune pitié. Il répugne carrément l'idée d'épouser une femme qui l'aime, Hélène. Après la guerre, il épouse une femme dont il ne fait aucun cas. Il a des jumeaux qu'il n'aime pas.

Le tout agrémenté d'une véritable et profonde adhésion aux idées nazies, lui retirant toute bonne conscience ou mauvaise conscience.

Max Aue est un anti-héros hors normes, un anti-héros comme on en crée une fois tous les .... On le déteste et pourtant on veut connaître le pourquoi du comment. On a envie de lire son propos, son histoire, ses idées et idéaux. C'est cela qui est terrible...

Les bienveillantes sont un très bon roman qui joue avec la mythologie pour la replacer au coeur de la 2nde guerre mondiale au travers Max. Les 900 pages peuvent effrayer mais il se lit facilement. Il y a un soin apporté à reconstituer les différents organes nazis et la bureaucratie qui les portent. Max Aue a de l 'épaisseur. Il ne cherche pas à se justifier, il assume ce qu'il a fait. A la limite, cher.e lecteur.rice, il s'en fout de ce que tu penses. Il y a cru et il y croit encore. Cet aspect du personnage est très intéressant et parfaitement maîtrisé par l'auteur.

Néanmoins, je ne mettrai pas 5 étoiles car j'ai été gênée, agacée ou déçue par certains aspects. Quelques-uns en vrac :
- les fantasmes et pratiques sexuels : Max est envahi de fantasmes et de comportements sexuels qui à la longue ont fini par me saouler. L'auteur n'y va pas avec le dos de la cuillère en matière d'inceste et d'homosexualité;
- le parcours de Max: cela relève d'un tour du monde en 900 pages de l'horreur, du sang et de la fureur;
- les histoires de famille : j'aime les secrets et les histoires de famille. Au cas présent, par moments cela devient lourdingue;
- Cela délaye notamment vers la fin.

Roman à lire
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Rien ne vaut les mémoires ou les journaux des acteurs nazis de cette tragédie
Ainsi nous nous trouvons vraiment à l'intérieur de leur psyché et de l'Histoire
La lourdeur romanesque et la longueur de ce texte, au demeurant extrêmement bien écrit, dont le contenu n'apporte rien de nouveau sous le soleil, m'empêchent de lui donner plus qu'une étoile
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Après 1mois et demi,je termine ce roman sous le choc, partagée entre la satisfaction d'être parvenue au bout,malgré la difficulté des passages historiques liés à la solution finale ,decrits sans fards et dans toute leur cruauté. D'autre part le parcours du personnage principal, n'est pas facile à suivre,tant celui ci est complexe ,de part sa pathologie psychotique et sous l'emprise de ses délires de persécution qui l'amènent lors de ses crises à un vrai dédoublement de personnalité et à agir dans une sémi conscience, voire à se transformer en assassin.
Malgré tout il parvient à se faufiler et se sortir indemne des différentes situations de guerre, liées au conflit allemand, dans lequel il est impliqué en tant que militaire SS. Mais encore plus ubuesque, les passages liés à l'enquête menée par les policiers de la kripo qui le poursuivent,tout au long de l'avancée de laguerre,dans des lieux tous plus improbables les uns que les autres, persuadés de son implication dans le meurtre de sa mère et son beau pere. de même l'episode de remise de médaille dans le bunker de Hitler et l'attitude soudaine d'agressivité de Max vis à vis du führer nous laissent pantois. Ce contraste entre une trame historique,très recherchée , documentée et les épisodes fantaisistes ,voire surrealistes qui s'intercalent ,nous laissent un peu partagés, incrédules, interrogatifs.
Malgré tout, le contexte historique bien décrit ,nous permet de mieux comprendre les origines du conflit actuel, russo,ukrainien. A lire pour ceux qui le peuvent,et qui ont le temps de le parcourir.
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C'est l'histoire de Maximilien Aue qui est juriste. C'est un allemand et il travail à la SS. Ce personnage nous raconte sa vie dans l'armée allemande pendant la seconde guerre mondiale. Aue a eu plusieurs fonctions. Il a fait beaucoup de rapports et a été sur le terrain. Il a beaucoup voyagé. Il a été à Stalingrad où il a été blessé.
J'ai bien aimé le livre. L'auteur nous plonge dans la seconde guerre mondiale mais du côté allemand. le livre est dur. On est immergé dans l'horreur. On voit comment les allemands ont décidé d'exterminer les juifs. Au fur et à mesure, on voit l'évolution des techniques pour tuer les juifs. On suit Maximilien au sein de l'armée et son évolution à des grades supérieurs. Les liens qu'il a avec son ami Thomas sont intéressants et il est d'une aide précieuse. On voit que Aue a des relations difficiles avec sa famille. Jonathan Littell décrit bien se qui c'est passé pendant la guerre. La difficulté des allemands pour vivre à Berlin ou de l'armée allemande à Stalingrad. Heureusement qu'il y a des moments où l'on peut s'évader de cette horreur lors de soirées ou de week-end que nous raconte L'auteur. Ça fait du bien. le livre parle de seconde guerre mondiale et d'extermination.
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]Ouf, j'ai enfin terminé ce livre
... Que m en reste t il ? Une nausée ! Je suis déçue, car il ne m a rien appris. Je pensais que ce livre pourrait m aider à comprendre ce qu'il se passe dans la tête d un nazi lambda, mais hélas, non. Ce qui m a le plus agacé :les invraisemblances [/masquer]comment peut on être présent lors de tous les
événements capitaux de cette époque ? le personnage principal est, lui aussi, peu crédible, tant il cumule toutes les pathologies... Les narrations de ses rêves, qui n'en finissent pas, et qui sont tellement indigestes. Et pour finir, l utilisation de tous les grades finissant par fuhrer à longueur de page. J avoue que je ne comprends pas comment ce livre a remporté tous ces prix... J ai beaucoup plus appris sur le sujet en lisant "des hommes ordinaires"
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Un bouquin horriblement instructif !

« Frères humains, laissez-moi vous raconter comment ça s'est passé ».
C'est ainsi que le narrateur, interpelle le lecteur.
Les 1400 pages qui suivent nous mènent au coeur-même de l'horreur engendrée par la 2ème guerre mondiale, du point de vue de l'Obersturmbannführer (lieutenant-colonel) Maximilian Aue
Précisons qu'à aucun moment on ne se sent en empathie, même pas avec les plus modérés des soldats du IIIème Reich, ce n'est d'ailleurs pas ce que recherche le narrateur.
Mais au moins sommes-nous témoins des débats qui faisaient rage dans le camp allemand, très loin d'être homogène.
Le job de Maximilian Aue est d'analyser la situation sur les divers terrains de bataille en terme d'efficacité, de logistique, de moral des troupes et d'en faire rapport à ses supérieurs.
Dans les camps de concentration par exemple, il dénoncera la manière de traiter les prisonniers voués à l'extermination : il plaide pour augmenter les rations alimentaires de ceux qui peuvent être utilisés comme force de travail, ce qui l'oppose vivement à une majorité de cadres arguant qu'il n'y a pas de budget pour nourrir cette masse à détruire.
La question de l'extermination divise en haut lieu.
Des phrases terribles sont prononcées, telles : « il ne faut pas céder à la tentation d'être humain » ou « protéger des juifs, c'est une atteinte directe à la volonté du führer »
D'un autre côté, un officier est abattu par un chirurgien pour avoir sauvagement tué un nouveau-né juif que le chirurgien avait réussi à mettre au monde alors que la maman était déjà morte.
Abattre un supérieur est normalement synonyme d'exécution immédiate et pourtant les soldats et officiers présents ont laissé s'enfuir le chirurgien….
Le narrateur, largement plus fin et cultivé que la moyenne, fait montre de beaucoup plus de lucidité et de raison que la plupart des autres personnages du roman.
Il est cependant régulièrement en proie à de sévères troubles psychiques liés autant à une situation familiale malsaine qu'aux horreurs dont il est témoin sur le terrain de guerre.
Une balle qui s'est logée dans son crâne sans le tuer n'arrangera pas l'affaire.
Dans ces moments de crise, il est capable de faits les plus abjects.
Bref, un personnage que l'on ne verserait pas spontanément dans la catégorie de « frères humains ».

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Une amie m'a offert ce livre et par cela même je me suis
imposé de le lire.
Conclusion : ENNUYEUX, FASTUDIEUX, INCIPIDE
avec tous ces officiers allemands qui portent des titres
pompeux qui se terminent par "Führer".
J'ai eu l'impression de lire un livre d'histoire sur l'armée
allemande.
On voit que les Académiciens n'ont pas connu la guerre !
L'auteur ne pouvait choisir que ce sujet pour son premier
roman et pour cause.
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