AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur L'assassin de la rue Voltaire (59)

Il n'était ni méchant ni malintentionné. Il n'était qu'un imbécile, mais il l'était bien.
Commenter  J’apprécie          60
Bigre, je n'ai pas peur de vous avouer que, pour ma part, il m'est déjà arrivé de me demander si je n'étais pas le protagoniste de quelque roman à rebondissements !
Commenter  J’apprécie          50
- Cela va vous faire une lecture considérable !
- Tant mieux ! Le papier est souvent plus loquace que les hommes. Et la lecture, monsieur, est la confiserie de l'âme.
- A qui le dites-vous ! A qui le dites-vous ! répéta le souffleur, radieux, tout en sortant les registres par paquets pour les poser sur l'une des tables de la bibliothèque.
Commenter  J’apprécie          44
- Cela va vous faire une lecture considérable!
- Tant mieux! Le papier est souvent plus loquace que les hommes. Et la lecture, Monsieur, est la confiserie de l'âme!
Commenter  J’apprécie          40
Saperlotte ! Qui donc a pu écrire pareille diatribe ? Quel expert érudit, fin amateur de théâtre, fût-il de France ou d'Angleterre ? Un journaliste ? Non.
Commenter  J’apprécie          40
Le papier est souvent plus loquace que les hommes. Et la lecture, monsieur, est la confiserie de l'âme.
Commenter  J’apprécie          40
Le visage figé dans une expression de pure terreur, elle semblait fixer le plafond depuis les abîmes de l'au-delà.
Commenter  J’apprécie          40
La lecture est la confiserie de l'âme. Gabriel JOLY
Commenter  J’apprécie          40
L'homme voudra bien que la femme possède assez de jugement pour l'écouter, mais point qu'elle s'élève trop, jusqu'à espérer rivaliser avec lui et montrer égalité de talent ; tandis que l'homme exigera pour son propre compte un tribut journalier d'admiration.
Commenter  J’apprécie          40
L’air mutin, les yeux ardents, ils parcouraient le pavé en haillons, du matin jusqu’au soir, la figure barbouillée de suie. La nuit, ils prenaient refuge sur les bateaux de la Seine, sous les arches des ponts ou les piliers des halles, dans les caves ou les carrières, et souvent dans des quartiers comme celui-ci, où régnait la pire truanderie. Les plus chanceux trouvaient un emploi, comme porteurs d’eau ou de bois ou comme décrotteurs, et alors ils travaillaient chaque jour de l’année jusqu’à l’épuisement. Les autres devaient se contenter de mendier, et le manque les poussait inévitablement à chaparder.
Commenter  J’apprécie          30






    Lecteurs (1094) Voir plus



    Quiz Voir plus

    l'apothicaire

    Comment s'appelle le héros du livre?

    Andras Saint-Loup
    André Saint-Loup
    Andréas Saint-Loup

    10 questions
    130 lecteurs ont répondu
    Thème : L'Apothicaire de Henri LoevenbruckCréer un quiz sur ce livre

    {* *}