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Citations sur L'appel de la forêt (L'appel sauvage) (211)

[...] les gens se ruaient en foule vers le nord. Et il leur fallait des chiens, de ces grands chiens robustes aux muscles forts pour travailler, et à l’épaisse fourrure pour se protéger contre le froid.
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La présence dans le Nord de ces deux hommes clairement dépaysés était un
mystère incompréhensible . Buck, les ayant vus remettre de l' argent à l'agent
du gouvernement, devina aussitôt que le métis écossais et ses compagnons
allaient disparaître de sa vie , comme Perrault, François et tant d' autres .
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Buck est un magnifique chien vivant heureux auprès de ses maîtres sous le chaud soleil de Californie . Un soir , un ignoble individu le vole et le vend . On
vient de découvrir de l' or en Alaska. Et il faut des chiens robustes pour tirer les traîneaux, des chiens comme Buck ! Dressé à coups de bâton et des et dans d' horribles souffrances, Buck découvre les solitudes glacées du Klondike
et , plus encore, la dure loi de la lutte pour la survie . Il finira par répondre à
" l' appel de la forêt", rejoignant ses frères, les loups, dont il deviendra le chef
incontesté .
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Et certes, les hommes eux-mêmes avaient bien gagné leur repos, car ils ne
s' étaient arrêtés que deux jours pendant ce voyage de douze cents miles .
Mais l' exode vers le Klondike avait été si considérable que les lettres adressée
aux mineurs formaient des montagnes et le gouvernement n' admettait
aucun retard : il fallait arriver à temps , quitte à remplacer par des équipes
fraîches de chiens de la baie d' Hudson les attelages éreintés .
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Il était plus âgé que les jours qu'il avait vécus, plus vieux que les années pendant lesquelles il avait respiré. Il liait le passé au présent, et l'éternité, derrière lui, palpitait en un rythme puissant auquel il se pliait comme s'y plient les marées et les saisons. Il était assis près du feu de John Thornton, chien à large poitrine, à crocs blancs et à longue fourrure; mais en arrière de lui se trouvaient les ombres de toutes sortes de chiens, demi-loups et loups véritables, pressants et insistants, qui goûtaient la saveur de la viande qu'il mangeait, avaient soif de l'eau qu'il buvait, flairaient le vent avec lui et lui racontaient les bruits de la vie sauvage dans la forêt; qui lui dictaient ses humeurs, dirigeaient ses actions, se couchaient pour dormir avec lui quand il se couchait, rêvaient avec lui et au-delà de lui, et devenaient eux-mêmes la substance de ses rêves.
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Le second chien était un animal d 'un caractère morose et atrabilaire ;il sut
promptement faire comprendre à Curly ,qui multipliait les avances ,sa volonté d 'être
laissé tranquille .Mais lui ,du moins ,ne volait la part de personne .Dave semblait
penser uniquement à manger ,bâiller ,boire et dormir .Rien ne l 'intéressait hors de
lui-même .
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Buck passa le jour entier à errer autour de l’étang, poussant des gémissements lugubres ou des hurlements désolés. La disparition de son maître adoré creusait en son cœur un vide profond, impossible à combler. Seule, la vue de ses victimes portait quelque adoucissement à sa peine. Fier d’avoir tué des Hommes, le plus noble des gibiers, il reniflait curieusement les cadavres, surpris d’avoir triomphé si facilement de ceux qui savaient se rendre redoutables à l’occasion.
Désormais il ne connaîtrait plus la crainte de l’Homme.
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tandis que Buck, mollement étendu au
soleil, retrouvait par degrés sa force perdue en écoutant l’eau
couler, les oiseaux jaser et tous les bruits harmonieux du printemps,
accompagnés du murmure profond de la forêt séculaire
qui bornait l’horizon au loin.
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Ces instincts anciens, qui à des périodes fixes poussent les hommes à se rendre dans les bois et les plaines pour tuer le gibier à l'aide de boulettes de plomb, ces instincts vibraient en Buck, mais combien plus profonds ! Poursuivre une bête sauvage, la tuer de ses propres dents et plonger son museau jusqu'aux yeux dans le sang âcre et chaud, tout cela constituait pour lui une joie intense, quintessence de sa vie même.
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La forme superbe de Buck se détachait en tête de la bande sous la clarté pâle de la lune, mais toujours devant lui bondissait le lapin, semblable à un spectre hivernal.
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    Thème : L'appel de la forêt (L'appel sauvage) de Jack LondonCréer un quiz sur ce livre

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