Je n'aurais jamais assez de l'éternité pour le peindre ni pour le connaître. Des siècles et des siècles seraient trop brefs pour tout ce que je voulais faire, tout ce que je voulais découvrir avec lui. Pour tout l'amour que je voulais lui donner.
Le titre du tableau brilla devant mes yeux : La Nuit triomphante et les Etoiles éternelles.
Je n'aurais jamais assez de l'éternité pour le peindre ni pour le connaître. Des siècles et des siècles seraient trop brefs pour tout ce que je voulais faire, tout ce que je voulais découvrir avec lui.
Pour tout l'amour que je voulais lui donner.
- Les trois plus redoutables guerriers illyriens font une bataille de boules de neige...
Les yeux de Mor pétillaient d'une joie malicieuse.
- Depuis qu'ils sont hauts comme ça, précisa-t-elle.
- Ils ont plus de cinq cents ans...
- Tu veux le décompte de leurs victoires ?
- Vous vous êtes donnés bien du mal pour que ce soit aussi affreux que possible.
- Ta remarque nous blesse profondément.
p140
– Je t'aime, souffla-t-il. Plus que la vie, plus que mes terres, plus que ma couronne.
Et quand nous nous effondrames sur le tapis - en évitant de peu les tableaux brisés -, incapable de remuer d'un millimètre, la vision de mon cadeau persistait, aussi éblouissante qu'une étoile.
Ce magnifique petit garçon aux yeux bleus et aux cheveux noirs que le graveur d'os m'avait autrefois montré...
Cette promesse du futur.
“To the stars who listen, Feyre.
To the dreams that are answered, Rhys.”
Après que nous l'avons tuée, alors que j'étais incapable d'avouer combien je me sentais mal, c'est à toi seul que je me suis confiée. J'ai toujours pu te parler. Je crois que mon cœur savait que tu m'appartenais longtemps avant que je l'aie compris.
Tu es née pendant la nuit la plus longue de l'année. Ce qui signifie que tu étais de tout temps destinée à être assise à mon côté.
Aux étoiles qui entendent les vœux, Feyre.