Il y eut d’abord la couleur, celle rude et chaude à la fois de Cortinovu, les gris mêlés de rouges comme un reste de palette fauve des murs du village dont José Cortinovo porte le nom, puis la lumière mouvante, les mutations de nuances, les ombres violettes cernées de touches chromes et cuivrées du vieil Ajaccio. Une adolescence heureuse dans l’éblouissement des paysages de l’Ile de Beauté, l’engagement du jeune corse dans la voie picturale et la recherche de formes... >Voir plus