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3,33

sur 70 notes
Gigi, soixante-dix ans, vient de mourir brutalement, par un beau matin de septembre 2014 à Rome. Elvira sa fille découvre alors un manuscrit qui raconte sa dernière passion secrète pour Clara, quarante-six ans, journaliste belge et critique de cinéma, rencontrée lors d'une interview quatre ans auparavant, lui-même étant un cinéaste engagé. Ajoutons que les deux amoureux sont mariés, parents, sans aucune intention de quitter leurs conjoints respectifs.

Vous obtenez la trâme assez classique d'un roman d'amour clandestin sur fond de dolce vita : Italie, cinéma, humour, rencontres et voyages au gré des envies et des emplois du temps de chacun, sans difficultés matérielles évidemment.
Très agréable certes, un brin « too much » peut-être…

Qu'importe, ce court roman possède un charme fou.
Il flotte dans ces pages un parfum d'optimisme, de liberté et de volupté rare. Joie relate magnifiquement la plénitude amoureuse. Plénitude dûe à la maturité des amants bien sûr, illustration que « L'amour s'impose à tous les âges » ( du côté de chez Eugène Onéguine d'Alexandre Pouchkine ), mais aussi à leur confiance mutuelle, avant tout respectueuse des vies de chacun.

« Nous n'espérions rien. Nous ne craignions rien. Nous étions libres. » clame Clara. Quoi de mieux en effet pour résumer l'essence de cet amour en marge que d'adapter la célèbre et magnifique épitaphe gravée sur la tombe de Nikos Kazantzakis, auteur crétois épris de liberté.

Grand merci à Sabine Wespieser et Babelio pour la découverte de ce premier roman de Clara Magnani qui a manifestement choisi l'anonymat d'un pseudo. Homme ou femme, je m'interroge. Une chose est sûre : l'auteur réussit à faire partager sa vision de la joie d'amour, notion si chère à Robert Misrahi, le philosophe spécialiste de Spinoza et de la...joie.
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Ce petit livre court, sensible, émouvant, tendre, relate de belle manière, une relation amoureuse tardive, où la tendresse, le rire , la connivence convergent en une plénitude amoureuse entre Gigi; cinéaste Italien de soixante - dix ans qui connait une nouvelle jeunesse , un amour qu'il n'attendait plus , (il le goûte intensément )et Clara, journaliste Belge de quarante-six ans , mariée, mère de deux jumeaux .

Un amour clandestin doublé d'un "amour vieux "?
Pas du tout!
C'est "Leur mature love", le code secret pour se joindre et qui désigne cet amour plein qu'ils vivent tous deux de façon parallèle .

Un premier roman porté tour à tour par Elvira; la fille de Gigi, qui trouve un manuscrit après la crise cardiaque fatale et brutale de son père, Gigi lui-même, et Clara, qui entame " un journal d'absence " .

Pudeur, tendresse, amour de la culture, plénitude donnent du sel , un parfum d'optimisme , de liberté, de volupté rare , d'authenticité, de légèreté à cet ouvrage qui nous fait partager la sérénité des amoureux due à la maturité des amants.


Un "amour en marge", un amour caché, une vision de la joie d'aimer à travers deux êtres cultivés, lucides et des instants "volés" entre Vienne, Bruxelles et Rome!
Une dolce vita clandestine, une apogée fusionnelle -sensuelle -passionnelle, souriante-, secrète, pétrie d'affinités culturelles et d'insouciance.

Une première oeuvre optimiste, réussie, qui rend un discret, bel et bienveillant hommage à ces amour conjuguées qui nous plonge dans un océan d'émotions .
"Nous aimions tant la vie, coeurs et corps confondus " .
Une belle d'histoire d'amour !
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Gigi meurt subitement d'une crise cardiaque dans son appartement à Rome.
Sa fille, Elvira trouve un manuscrit qu'il écrivait à quatre mains avec une femme plus jeune que lui avec qui il vivait une histoire d'amour clandestine car tous deux avaient une vie bien établie qu'ils ne voulaient pas abandonner.
Elvira va rencontrer cette femme qui s'appelle Clara et lui proposer de terminer le livre qu'ils avaient commencé à deux.
Clara est journaliste belge, spécialisée dans les rubriques de cinéma et a interviewé Gigi en tant que cinéaste renommé.
C'est à ce moment qu'a commencé leur histoire.
Gigi se confiait à elle en lui racontant son enfance et sa personne.
Ils vivaient ensemble des moments d'une grande intimité et se rencontraient souvent dans des endroits très différents allant de la Belgique, à la Sardaigne, à la Grèce et j'en passe.
Le roman est divisé en trois parties : la première racontée par Elvira, la fille; la deuxième par Gigi et la troisième par Clara.
Clara Magnani est un nom d'emprunt. Nous ne connaissons pas l'identité de l'auteur(e) du roman.
Si je dois jouer aux devinettes, je parierais pour un homme et non une femme.
La sensibilité est plutôt masculine mais je m'aventure dans un terrain scabreux, il me semble.
Je ne vais quand même pas me transformer en Miss Marple en lisant maintenant.
J'ai apprécié le roman tout en étant un peu freinée par les anecdotes, les diversions qui enlevaient du fond au récit et un côté intense à l'histoire entre Clara et Gigi.

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Joie c'est d'abord un petit mystère. L'histoire d'une liaison cachée. Si bien cachée que l'éditrice elle-même assure tout ignorer de la femme – ou de l'homme ? – qui se dissimule derrière Clara Magnani, pseudonyme avéré mais également personnage essentiel du roman.

Alors, une femme ? un homme ? un homme ET une femme peut-être ? (chante chabada et tu sors) car cette mise en abyme est structurée comme un dialogue, un échange quasi épistolaire entre nos deux amants, Clara donc, et Giangiacomo, dit Gigi (tu dis l'amoroso et tu sors aussi).

La mort soudaine de Gigi aura fortuitement dévoilé ce livre intime qu'ils s'étaient promis d'écrire ensemble, chacun y esquissant sa version d'une liaison qu'ils conjuguaient en secret depuis quatre « années lumière ».

Ils sont beaux, aisés, cultivés, à l'apogée de leur maturité. Entre Vienne, Bruxelles ou Rome, leurs instants volés ont un parfum d'insouciance et de dolce vita clandestine, souvent exprimée en locutions complices mêlant l'italien, le français ou l'anglais. Dont cette «joie» en titre, «pure bliss», «gioia», composante universelle de leurs affinités, joie fougueuse des sens plus que jamais en éveil, joie des émulations intellectuelles, joie intense de cette glorieuse maturité qui à la fois transcende et apaise, ne gardant que le meilleur du lien amoureux.

Et si c'était vrai ? (comme dirait l'autre)
Choix personnel ou marketing, premier roman peut-être, peu importe. Fictif ou pas, et bien qu'un chouïa trop élitiste par moments, ce témoignage à deux voix n'en exprime pas moins adroitement la passion et la souriante sérénité de sentiments authentiques, figurant un discret et bienveillant hommage à ces «amours conjuguées» toujours à réinventer. Et puis de toute façon, la joie… c'est que du bonheur (comme dirait l'autre).


Lien : http://minimalyks.tumblr.com/
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Quand Clara Magnani nous parle d'adultère, c'est avec tendresse et beaucoup de bienveillance. L'histoire d'un amour qui bouleverse une vie bien rangée et de deux êtres qui s'aimeront tout en tentant de préserver leurs proches.

Joie, le premier roman de Clara Magnani

Gigi, cinéaste septuagénaire, est retrouvé mort sur sa terrasse. Un décès soudain et une mort telle qu'il l'avait toujours souhaitée : rapide et indolore. En faisant le tri dans les affaires personnelles de Gigi, sa fille Elvira trouve un manuscrit. Ce qu'elle croyait être un scénario est en fait le récit de l'histoire d'amour entre son père et Clara, une journaliste belge de 20 ans sa cadette. Leur histoire, ils devaient l'écrire à quatre mains. Clara, tiendra sa promesse et racontera à son tour sa vision du « mature love ». Plus qu'un simple récit sur une histoire d'adultère, c'est une autre vision de l'amour, un amour profond, bien que caché, et qui n'entrave en rien, la vie maritale.

Mon avis :

Qui es-tu Clara Magnani ?

Clara Magnani, à la fois auteur et héroïne de ce premier roman paru aux éditions Sabine Wespieser. Il n'en faut pas plus pour que des rumeurs sur l'auteur de Joie apparaissent. À l'instar d'Elena Ferrante, l'auteur de la saga napolitaine qui rencontre un franc succès, le mystère plane sur l'identité qui se cache derrière ce pseudonyme. Une seule ou plusieurs personnes ont-elles écrit ce roman ? Une idée qui nous ramènerait à cette histoire vue par 3 personnages, Gigi, Clara et Elvira.

Joie est-il réellement un premier roman ?

Joie est un premier roman d'une grande maturité. le thème de l'adultère y est décrit d'une façon très originale et très saine qui se résumerait à aimer sans blesser. Ensuite, le texte fait de nombreuses références à la politique, à l'histoire, à la musique classique, au cinéma... Et c'est justement cette maturité dans la structure du livre, l'analyse des sentiments et les nombreuses références culturelles qui me font penser que ce premier roman n'en est peut-être pas un.

Cette histoire d'amour a été abordée d'une matière très sage et emprunte d'une grande maturité. Il faut avoir « vécu », aimer, se tromper, et savoir pardonner pour parvenir à un tel niveau d'indulgence sur un acte presque toujours condamné : l'adultère.

Ce roman m'a-t-il mis en joie ?

Mon avis sur ce roman est assez ambigu. Je l'ai trouvé très bon, abouti et enrichissant tant au niveau culturel qu'émotionnel. J'ai aimé le personnage de Clara. Quand elle raconte l'histoire qu'elle a vécu avec Gigi, on ressent un amour profond pour cet homme, avec lequel elle aura partagé durant 4 années des moments de vrai bonheur. Elle nous fait vivre cette complicité qui l'unissait à son amant italien. On retrouve chez elle, une certaine dose de féminisme, ce droit à être pleinement femme, à vivre sa vie passionnément et à refuser d'étouffer ses sentiments personnels par devoir pour son mari. Toutefois, on ressent aussi ce besoin de ne pas faire de mal, de préserver le secret et surtout d'accepter l'idée que ce qu'elle fait, son mari le fait peut-être aussi et que leurs histoires extra conjugales seraient peut-être le ciment de leur couple, ce qui les pousserait à être plus attentifs l'un à l'autre.

Si j'ai aimé le sujet, la façon de le traiter, Clara, l'ambiance des lieux (Rome, Sardaigne...), ma lecture a été quelque peu alourdie par ces innombrables moments où les amoureux font état de leur Culture. Même si leurs métiers respectifs se prêtent très bien à ces conversations, ces références m'ont ennuyée.

Cependant, j'ai beaucoup aimé ce premier roman de Clara Magnani. C'est une lecture qui pousse à la réflexion sur un thème que l'on a souvent tendance à catégoriser comme plaisir coupable. L'adultère façon « mature love » tel que décrit dans « Joie » est une vision profondément humaine de la trahison amoureuse doublée d'une analyse profonde sur la façon de respecter ses envies et d'assouvir ses désirs tout en préservant et respectant l'amoureux officiel.
Lien : http://que-lire.over-blog.co..
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La dernière Masse critique de Babelio et l'éditrice Sabine Wespieser (que je remercie) m'ont permis de découvrir cette jeune romancière mystérieuse qu'est Clara Magnani. En effet, nous ne savons rien de cette auteure si ce n'est qu'elle vit à Bruxelles, et elle a pris pour patronyme le nom de l'héroïne de ce roman, qui est son premier opus. Celui-ci se décompose en trois parties qui tournent autour d'un même récit: celui de l'histoire d'amour adultère née sur le tard (la quarantaine pour elle, la soixantaine pour lui) unissant Gigi et Clara.
La première à prendre la parole est donc Elvira, la fille de Gigi. Celui-ci a été retrouvé mort d'un arrêt cardiaque: il était "en train de lire lorsque son coeur s'est arrêté" (quelle belle façon de partir, me direz-vous, n'est-ce pas?). En organisant les obsèques et en rangeant les affaires personnelles du défunt, un cinéaste italien de la trempe de Rossellini, voilà qu'elle découvre un manuscrit destiné à une mystérieuse Clara... Titillée par la curiosité - tout à fait compréhensible de la part d'un enfant qui découvre une histoire d'adultère concernant l'un de ses parents - Elvira va chercher à en apprendre un peu plus sur cette femme dont elle ignorait qu'elle avait été tant aimée de son défunt père.
La deuxième partie du livre va donc concerner celui-ci puisqu'Elvira va se lancer dans la lecture du manuscrit destiné à Clara. La plume de Gigi y est vivace. L'histoire d'amour y est narrée avec une plume qui se veut aussi joyeuse que ne l'est le personnage. On passe très vite sur l'"innamoramento" pour raconter le bonheur de la complicité amoureuse: "Les histoires d'amour, on en parle au début et à la fin. Mais on ne raconte jamais le milieu. C'est pourtant très beau, cette poésie du milieu. Ce sentiment de plein. Tout est là. Tout va bien" dira plus loin Clara, dans la troisième partie. Celle-ci concerne le manuscrit qu'elle-même s'était engagée à écrire à l'attention de Gigi. Leur projet était de réunir les deux textes, mais la mort en a décidé autrement. La femme amoureuse, journaliste à la RTBF, n'aura pas eu le temps de profiter de ces derniers moments de complicité programmés autour d'une création littéraire commune...
Une histoire d'amour, certes adultère, qui arrive alors que ces deux êtres ne s'y attendaient plus, comme un pied-de-nez à ceux qui prétendent que l'on ne peut plus tomber amoureux passé un certain âge... Une joie, un espoir.

J'ai beaucoup aimé l'écriture des deux premières parties. La troisième, nettement moins. le personnage de Clara m'est apparu moins poétique, plus tiède que celui de Gigi.
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Si vous aimez l'Italie, le cinéma et les histoires d'amour , ce livre est peut-être pour vous.

À Rome, Gigi meurt d'une crise cardiaque, sa fille Elvira vient alors le retrouver et découvre un étrange manuscrit relatant une histoire d'amour. Cette histoire, c'est l'histoire d'amour de Gigi et de Clara.
Elvira va chercher à connaitre et comprendre cette relation cachée depuis des années. Et c'est à travers la voix de Gigi et de Clara que l'on entrera au coeur de cette passion qui n'était plus attendue.

La plume de Clara Magnani est assez belle, assez classique. On passe un bon moment auprès de Gigi qui est un homme solaire et romantique. Mais , je ne sais pourquoi, ça ne m'a pas plus interpelée que cela.
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Ce roman est une agréable surprise. Il s'agit d'un premier roman maîtrisé. Il aborde les thèmes de la vie sentimentale à un âge mûr, la fidélité, l'infidélité, la mort.

Aucune nostalgie ici, juste la magie de 2 êtres qui vivent une félicité et sont conscients que c'est la dernière fois surtout pour Giangiacomo.

C'est Elvira, la fille de celui-ci qui découvre le parcours de cette love mature en tombant sur 2 manuscrits de Clara et Giangiacomo. Car Giangiacomo vient de mourir..

Ici nul jugement, juste la joie, le bonheur des instants passés ensemble. C'est d'ailleurs le titre du livre : joie.

L'Ambiance du livre tourne autour de la culture italienne et sarde, bref méditerranéenne. Clara, elle, est belge et l'on ressent cette différence de culture et de rapport aux corps entre les deux personnages. Eux s'en amusent ! Gioia !

C'est un très bon roman, du début à la fin, je le recommande.

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J'aurai aimé pouvoir dire du bien de ce mystérieux premier roman, mais je me suis fort ennuyé en lisant ce qui m'est apparu comme un catalogue de lieux communs dans une banale histoire d'amour.
Ca démarre mollement avec Elvira, qui vient de perdre son père. En fouillant son bureau de son appartement romain, elle découvre un manuscrit relatant sa liaison avec une femme prénommée Clara. le choc ! On ne connaît finalement pas très bien ses proches ! Petite futée, Elvira, fouille la boîte mail de son père, retrouve les coordonnées de la mystérieuse maîtresse, la contacte et lui remet le fameux manuscrit.
La suite du roman se divisera en deux parties : le texte écrit par l'homme, Gigi ( oui comme "Gigi L'amoroso" !) puis la réponse de Clara, au fil des jours, comme un journal d'absence de l'homme qu'elle a tant aimé ( " Nous nous sommes tant aimé" ?).
Que dire ? Gigi, réalisateur intello et sûr de lui, presque la caricature du cinéaste italien imprégné de politique, entretient malgré son âge certain ( presque septuagénaire) son image de séducteur sûr de lui. Dès qu'il voit Clara, journaliste belge, belle quarantenaire, c'est le coup de foudre et n'a de cesse de la glisser dans son lit. Elle résiste. Finalement, ce sont les draps de lin d'un hôtel à Vienne qui enregistreront leur première étreinte amoureuse. Durant quatre années, ils se retrouveront en pointillé et s'aimeront comme on voudrait tous s'aimer, librement ( et sans contraintes matérielles, pas dans un Formule 1, ni dans un gîte deux épis !). La partie écrite par l'homme, censée nous montrer sa patience et son amour, m'est apparue comme le portrait assez fat d'un homme vaniteux, renforcé par une accumulation assez encyclopédique de tout ce que l'Italie recèle comme artistes célèbres.
C'est déjà un peu lassé que j'ai abordé la dernière partie, racontée par Clara, endeuillée. Evidemment, la femme se pose plus de questions, psychologise un peu plus. Elle met le doigt sur ce qui apparaît comme pas bien. Oh que c'est vilain l'adultère ! Oui mais, on s'est vraiment aimé ! Oh et cette différence d'âge entre nous, est-ce bien raisonnable ? Oui, mais on s'aimait et moi, les matures, j'aime ça ! Mais est-ce possible d'aimer plusieurs hommes à la fois ? ( Clara est mariée avec un dénommé Ron, pudique comme un gars du Nord...) Oui, bien sûr, car on peut de la même façon aimer plein d'enfants, se réchauffer sous un même soleil.
La fin sur le blog
Lien : http://sansconnivence.blogsp..
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Est-ce que cela arrive souvent vivre une histoire d'amour,lui 70 ans, elle proche de la cinquantaine ? Mariés tous les deux et décidés à le rester! En tout cas c'est une histoire bien agréable, je dirais même bienfaisante car ce fut un plaisir de lecture. Mais qui es-tu Clara, écriras-tu encore?
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