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3,75

sur 935 notes
Un livre que j'ai trouvé peut être un peu en dessous que le premier de la trilogie mais il est vrai qu'on est moins surpris. Notre ami Yeruldelgger continue à n'en faire qu'à sa tête et enquête sur la disparition d'une de ses amies chères. Une enquête qui est liée à une autre faite en France, j'ai apprécié cet échange entre les deux pays.
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J'ai trouvé le premier livre bien meilleur.
En effet même si on retrouve avec plaisir les personnages finalement ils sont assez éparpillés dans l'histoire et il manque cette complicité qui m'a beaucoup plu sur le premier livre.
De plus il y a sur le milieu du livre des longueurs cela a manqué de rythme pour moi.
Par contre le final très bien construit et donne malgré tout envie de lire la suite
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Après avoir été totalement séduite par le 1° tome de ces aventures mongoles, j'ai voulu rapidement embarquer de nouveau aux côtés de Yeruldelgger et de son entourage.
Me voici donc de retour en Mongolie avec « Les temps sauvages ».
Si l'on y retrouve les personnages principaux, ceux attachants et ceux détestables…, Ian Manook va cette fois nous faire sortir des steppes mongoles avec un passage des frontières vers la Russie, et même bien au-delà… jusqu'à notre port du Havre !
Toujours aussi bourru, décalé et déterminé, le flic va transgresser toutes les lois et les règles pour partir à la recherche de son protégé Gantulga, délaissant Solongo et Oyun, aux prises avec une enquête à haut risque…
Je ressors de ce tome avec un sentiment mitigé… une intrigue tellement tarabiscotée que je m'y suis perdue… une grande quantité de protagonistes aux noms imprononçables que j'ai eu du mal à resituer… les implications de services secrets multiples qui ont complexifié la trame des faits…
Bref, au final, j'avoue avoir été moins embarquée par ce second tome et je vais attendre un peu pour découvrir la fin de cette trilogie… ce qui ne m'empêchera pas de faire connaissance avec d'autres romans de Ian Manook… ou d'un autre pseudo de cet auteur 😊
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Quelle déception, ce second tome !
Malgré ses défauts, j'avais bien aimé le premier volet de cette trilogie mongole : je m'étais attachée aux personnages, aux paysages, et même à l'intrigue pourtant déjà un peu confuse et tirée en longueur... La seule chose qui m'avait déplu, c'était la violence extrême qui s'abattait sur Oyun, et qui m'avait paru teintée d'un voyeurisme un peu malsain car elle était finalement assez gratuite dans le déroulement de l'histoire.
Mais alors là, ces maladresses narratives prennent une telle ampleur dans "Les temps sauvages", que cela finit par en rendre la lecture lourde et pénible !
L'intrigue, qui suit en parallèle quatre enquêtes, menées à la fois par Yeruldelgger, Oyun et un nouveau venu, Zarza, est emberlificotée et difficile à suivre, d'autant qu'on saute d'un enquêteur à l'autre, à la fois en Mongolie et en France. Il m'est arrivé de devoir revenir en arrière dans ma lecture pour comprendre ce qu'il se passait car j'avais perdu le fil de l'histoire. A force, ça lasse...
Et je ne me suis pas vraiment sentie récompensée de mes efforts, car le fin mot de l'histoire ne m'a pas franchement semblé à la hauteur des différentes pistes soulevées : tout ça pour en finir par une sorte de duel à la western dans la neige des steppes, c'est à la fois absurde et décevant.
Quant à ce que subit Oyun, en termes de violence à connotation sexuelle, on se retrouve à nouveau plongés ici dans une scène aussi invraisemblable que nauséeuse : à croire qu'elle y est abonnée, et c'est déplaisant de penser que c'est ce que l'auteur souhaite.
Bref, je ne crois pas que je vais me lancer dans le dernier volet de cette série... Dommage, car il y avait moyen de creuser ces personnages prometteurs et leur cadre de vie original de manière beaucoup plus subtile et haletante.
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Il y a quelques temps, je l'ai trouvé à disposition dans une boîte à livres…(quelles merveilleuses inventions, tout de même)

Tout d'abord intriguée par le titre à consonances étrangères, je fus d'autant plus intéressée par le synopsis. La Mongolie, un pays si loin, si mystérieux…. j'ai succombé pour les steppes immenses, les grandes villes désillusionnées post-soviétiques où l'espoir n'existe plus, pour les petits villages perdus et oubliés vivant « à la dure » et suivant les moeurs ancestraux, pour un pays que je veux connaître.

Ce roman est un thriller politique et psychologique finement mené. Pendant trois jours j'ai vécu dans une yourte traditionnelle, dans un appartement d'Oulan-Bator mais j'ai aussi voyagé en Chine, en France… tenue en haleine par une action à rebondissements. Si mon intérêt était présent dès la première page, il ne m'a pas quitté jusqu'au dernier mot.

PS: il n'y a aucunement besoin d'avoir lu le tome 1 pour comprendre celui-ci
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Diantre. Que lui arrive t'il, à Yeruldelgger ? Je me souviens avoir lu il y a fort longtemps le tome 1, que j'avais beaucoup aimé. La yourte, la Mongolie, le détective au coeur tendre sous sa carapace... de quoi séduire. Puis j'ai lu le tome 3, qui dans mes souvenirs m'avait bien déçue. Mais à l'époque je n'étais pas adepte de Babelio et ma mémoire se brouille. J'ai entamé avec plaisir ce tome 2, déniché dans un vide-grenier. La magie a semblé au rendez-vous la première moitié. Et puis tout se délite. Déjà le personnage d'Oyun, que je trouve peu crédible. Puis cette façon d'entre mêler les fils de l'intrigue jusqu'à obtenir une pelote d'embrouillaminis où on a bien du mal à se souvenir de qui manipule qui. Sans parler de la violence, gratuite, aux justifications tirées par les cheveux. Sans parler des personnages comme sortis du chapeau d'un magicien à chaque fois que l'histoire prend un nouveau tournant. Dommage.
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J'avais déjà bien apprécié sa première aventure , je n'ai donc pas hésité à poursuivre auprès de Yeruldegger ce second tome en Mongolie.

Beaucoup de rebondissements dans cette enquête, et un imbroglio d'évènements qui surgissent inopinément ; il me fallait bien suivre au risque de m'y perdre un peu.

Mais j'ai aimé redécouvrir la Mongolie, ses traditions et sa cuisine locale, dont l'auteur nous régale, et qu'il connaît sur le bout des doigts.

La Mongolie et ses immensités !
La sagesse Mongol ! (leur seule force) - "Celle de prendre le temps d'être là, dans la steppe, immobiles. Il suffit d'écouter et de regarder pour avoir l'air d'un sage".

Choybalsan
"C'était comme dans les autres rares villes de Mongolie. Des quartiers d'immeubles en béton posés géométriquement n'importe où. Une périphérie de yourtes poussiéreuses encrassées par le gel et les canicules. Des monuments en forme d'arche en souvenir de la glorieuse avancée vers l'est, ou bien de la victoire du grand frère soviétique sur les Japonais. Des blindés russes sur des socles de faux rochers en béton. Des fresques grandiloquentes, des alignements de baraquements, des restes de temples, des semblants d'église, des rails et des aiguillages et une grande zone ferroviaire ouverte à tous les vents. le tout à prudente distance des méandres de l'Herlen que seul osait encore défier un vieux pont en bois".

"La steppe est immense, mais ton regard doit l'envelopper et la parcourir d'en haut comme le vent. Comme la vie".

Des passages passionnants où il est bien difficile de décrocher,

Dépaysement et suspens garantis !



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Cette seconde enquête de l'inspecteur Yeruldelgger nous plonge à nouveau en Mongolie, nous le suivons ainsi que sa collègue Oyun de la capitale Oulan-Bator aux étendues glacées et enneigées des steppes d'Asie centrale en passant par la Russie et Le Havre.
Ce polar avec ses personnages aux noms imprononçables est mené à un train d'enfer. L'auteur ne ménage ni ses protagonistes, ni ses lecteurs. Yeruldelgger , tout comme Oyun ont la peau dure et leur enquête les laisse quasiment mourants tout au long du livre, mais le talent narratif de Ian Manook fonctionne à merveille et en fait un roman addictif où les rebondissements s'enchaînent à un rythme éreintant mais si savoureux que les 523 pages passent inaperçues.
Nous sommes donc en Mongolie, l'inspecteur Yeruldelgger et sa collège Oyun sont chacun appelé sur des scènes de crimes plus qu'étranges. Au fin fond des steppes enneigées et désertes, sous moins trente degrés, Oyun est partie enquêter sur un cavalier retrouvé mort sur son cheval , une femelle yack les recouvrant comme si elle était tombée du ciel. Quant à Yeruldelgger, il est appelé au sujet d'un cadavre retrouvé coincé dans une faille du massif de l'Otgontenger, comme s'il était, lui aussi, tombé du ciel !
A partir de ces deux découvertes, les inspecteurs vont devoir remonter le fil de ces deux enquêtes et vivre maintes aventures avant le dénouement final .
Le génie de l'auteur fait que ce polar aux multiples rebondissements nous tient en haleine par un suspense réactivé à chaque fin de chapitre. de plus, on découvre la Mongolie post Soviétique qui tend vers la modernisation, souvent au détriment des traditions car les nomades qui quittent leur steppe natale pour participer au « rêve occidental » se retrouvent parqués à la périphérie des grandes villes pour y vivre misérablement.
C'est aussi le roman des grands espaces, des coutumes et des croyances mongoles que l'auteur décrit avec soin. Il allie donc une enquête policière aux multiples ramifications et un magnifique plaidoyer pour une Mongolie aux traditions ancestrales qui malheureusement tendent à disparaître face à l'irrésistible attrait de la modernité due à l'ouverture du pays au monde occidental après tant d'années sous le joug soviétique.
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J'ai adoré le premier! Je découvrais ce pays glacial, peuple rude vivant dans des yourtes aux coutumes étranges. le premier était plus violent avec un rythme plus soutenu. Mais le deuxième est également excellent et m'a replongé avec le policier Yeruldelgger dans les steppes de Mongolie, dans un trafic d'enfants, des militaires pourris etc.... Des morts jusqu'au Havre .....Si vous aimez les bons polars n'hésitez pas..
Mireine
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Je me réjouissais, sans doute trop, de retrouver Yeruldegger, ce commissaire mongol, intègre dans une police et un pays corrompus.
Ce livre m'a déçue, malgré quelques passages et personnages appréciés, particulièrement le professeur veillant sur son musée avec son yack blanc, ainsi que Zarza, flic ferroviaire et son partenairede hasard Soulniz, journaliste...
Les femmes continuent à jouer un grand rôle au milieu d'hommes hyper violents. Solongo, la compagne de Yeruldegger, légiste, lance un des fils de l'enquête en reconnaissant, lors d'une autopsie, un personnage du livre précédent ; l'auteur la maintient dans un rôle déterminant, apaisant et ancré dans la culture. L'enquêtrice Oyun, en revanche, apparaît peu crédible dans
son histoire d'amour.
Il m'a semblé que la trame était trop visible dans cette enquête qui va dévoiler un trafic, à la fois d'enfants exploités vers l'Europe, et de marchandises vers l'Asie. le roman s'échappe donc, contrairement au précédent, de la Mongolie...et je crois que ces incursions en France et en Russie sont une des causes de ma déception. hasardeuses
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