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sur 81 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Au milieu du concert de louanges qui entoure le roman du café, ma critique est un peu plus réservée sur l'intérêt de ce roman-documentaire.
Découvrir le monde du café à travers une fiction, pourquoi pas ?
Malheureusement, l'histoire du jeune Julien, passionné par le café, il a grandi dans la brûlerie de son grand-père, ressemble à un médiocre scénario de téléfilm pour TF1 ou M6 avec de grandes tirades des personnages dignes d'un documentaire sur Arte. Un copié-collé d'informations semées tous azimuts, le roman du café aurait mérité un projet plus abouti comme une saga familiale plus subtile avec une intrigue prenante et riche d'enseignement.
Pourtant, Pascal Marmet s'est inspiré d'une large bibliographie et son amour pour le café est sincère et communicatif. Les descriptions des bouquets aromatiques sont très réussies et Pascal Marmet aborde tous les aspects du sujet, histoire, économie, botanique, dégustation et met l'accent sur les enjeux majeurs du café à l'échelle de la planète.
Je remercie chaleureusement Pascal Marmet et Babelio pour la découverte de ce roman qui donne envie de consommer différemment son café.
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La confiance, c'est important. Tout le monde vous le dira. Et moi je dis qu'il faut pouvoir faire confiance au quatrième de couverture. Ils sont importants les quatrième de couverture, c'est pour cette raison que je passe mon temps à vous les recopier, ce n'est pas parce que je m'ennuie ou pour faire du remplissage. Bien sûr, vous savez tout comme moi qu'il faut toujours les lire avec un brin de recul, ils sont là pour attirer et faire vendre le bouquin, donc parfois, ils en font un peu trop, ils se font un peu mousser. On peut le leur pardonner. Par contre, le mensonge éhonté, non! Et là, dans ce cas précis, après avoir lu le livre, j'ai quand même l'impression qu'on s'est un peu foutu de ma gueule. D'ailleurs, fâchée, j'ai mis du rouge, comme vous avez pu le constater ci-dessus. Les éléments en rouge, je ne les ai pas retrouvés dans le bouquin ou alors de manière tellement diluée que je me demande bien pourquoi ils ont été mis en avant (comme l'esclavage par exemple).

Mais voyons ensemble ce que nous raconte ce Roman du café....


Le livre commence par une note de l'auteur, ce que je considère toujours comme une surprise agréable (que ce soit en préface ou en postface d'ailleurs). Ensuite l'histoire commence et d'emblée je tombe sur un détail qui me hérisse, ces quelques mots: "ce matin au ciel cappuccino". J'ai eu beau me concentrer, pas moyen d'imaginer. Et plus loin: "ce matin couleur crème glacée". Alors là... wawww, j'ai juste cru devenir folle vu le kaléidoscope de couleurs qui s'est imposé à moi. Un matin vert pistache? Rouge fraise? Rose framboise? Jaune citron? Bleu menthe? D'accord, d'accord, j'arrête. Vous aurez compris l'idée je crois.

On est là pour se documenter, donc je suis heureuse d'apprendre qu'on vend 12000 tasses de café par seconde en France et que le café est le deuxième produit le plus échangé après le pétrole! D'autres éléments mis en avant me semblent intéressants et faire appel à la réflexion. Ainsi, il est fait mention des fameuses capsules à la mode qui standardisent le café et ne sont en fait qu'une des innombrables conséquences de la société de surconsommation et pas un progrès. Saviez-vous que le prix est multiplié par sept en dosette? C'est ce que nous dit le livre. Pas sûr que votre portefeuille apprécie. le moins cher est évidemment de moudre son grain soi-même (et en lisant ça, je me rappelle que mes grands-parents possédaient un petit moulin à moudre le café, mais ils s'en servaient comme bibelot, ils ne l'utilisaient déjà plus quand j'étais enfant!).




Toujours dans cette possibilité de mise en perspective, on y apprend que sous Louis XIV, le souverain se méfiait du café, s'inquiétant que le bas peuple qui fréquentait assidûment les bistrots s'échauffe la cervelle et conspire contre l'ordre établi. Autre lieu, autre temps, le café a été interdit car il mettait l'économie du houblon en péril... Autant de faits que l'on peut transposer à notre époque pour d'autres denrées, en fouillant un peu... Plus loin dans le roman, l'auteur fera également allusion aux spéculations à l'oeuvre sur le marché du café - ce qui est valable pour tous les marchés. J'ai trouvé tous ces éléments intéressants et pertinents, ce sont même des éléments qu'il est important de mettre en avant. En ce sens, j'aurais aimé qu'ils soient plus développés et pas seulement évoqués.

Pour l'anecdote, j'ai bien aimé le petit passage sur la cafetière italienne qui était bien amené je trouve (p65). Ce procédé a été inventé dans les années 50 et l'auteur explique comment utiliser la jolie petite cafetière.




Mis à part ça, je dois dire que j'ai trouvé beaucoup de bémols à ce roman. Outre toutes ces promesses du quatrième de couverture non tenues, j'y ai noté pas mal de poncifs sous le prétexte d'employer un vocabulaire soutenu (du moins c'est mon impression). le roman tout entier n'est malheureusement qu'un prétexte pour parler du café ou alors le café tout entier n'est qu'un prétexte pour écrire un roman. Allez savoir, c'est un tel fourre-tout! J'aurais préféré un livre docu plutôt, un essai ou quelque chose du genre mais pas un récit romancé qui sert de prétexte à nous conter l'histoire du café. Ou alors il aurait fallu trouver un juste équilibre entre le deux. Malheureusement, ce n'est pas le cas et, du coup, l'ensemble perd de son attrait et laisse un goût de trop peu. Je suis donc restée sur ma faim avec une frustration latente de mes petits neurones.

Je vous avais dit qu'elle resservirait!
Ce n'est pas uniquement ce qui m'a dérangée, malheureusement. Par exemple, les adresses citées existent vraiment, ce qui me donne une nouvelle fois l'impression de me retrouver dans un catalogue publicitaire. Encore si ce n'était que pour citer des hauts lieux, mais non, en témoigne cet extrait p69: "on pourrait se faire des Starbucks, Illy, lavazza, etc." Heureusement, j'ai envie de dire, p70, l'auteur évoque la suprématie de Nespresso et les dégâts qu'occasionne toute multinationale sur le "petit" qu'il soit vendeur, producteur ou torréfacteur.... On peut même lire: "... ce qui n'est pas le cas chez les consortiums qui bafouillent délibérément l'origine précise et la fraîcheur comme la peste bubonique". Mais paradoxalement, Nespresso revient souvent et le héros ne tarit pas d'éloge à son sujet. de quoi y perdre son latin et la cohérence de l'ensemble. Et donc, quand je relis ce fameux quatrième de couverture qui m'annonce que les industriels ne sont pas épargnés, ça me fait bien rire... jaune!


Mais là où j'ai vraiment grillé un câble, c'est en lisant ce dialogue:
- ....je prendrais bien une boîte de chocolat fins et des nougats.... c'est du bio?
- C'est tout comme puisque nos fournisseurs travaillent dans le respect du produit vrai.

Quelle ineptie! Il faut savoir qu'un produit bio est un produit naturel qui n'a pas été traité chimiquement et qui doit officiellement répondre à certains critères, à un cahier des charges strict et qui est donc normalement contrôlé et avalisé comme tel. On peut donc se permettre d'avoir une certaine confiance (même relative) dans les produits labellisés bio. Quid du respect du produit vrai? Où trouve-t-on une définition de ce que c'est? Ca veut dire quoi? Quelles sont les assurances? Aucune. le danger ici est de déduire que quelqu'un qui proclame avoir le respect du produit vrai va y appliquer les valeurs et critères du bio... hors les deux ne vont pas forcément de paire. Donc cette phrase dans le livre revient à faire un raccourci et un amalgame, voire, je trouve, à prendre le bio par-dessus la jambe, à lui enlever de sa légitimité et limite à le dénigrer entre les lignes.


A la fin du roman, l'auteur a prévu une partie "annexes". On y trouve, entre autres, un précis sur l'histoire du café du 11e siècle à nos jours et même au-delà puisque l'auteur s'essaye aux prévisions sur base d'une étude. Là, on peut lire: "21e siècle: prise de conscience des agissements de l'homme sur son environnement. L'énergie fossile disparaîtra avant la fin du siècle." Et plus loin, sur base de ladite étude prévisionnelle, l'auteur prévoit la disparition du café vers 2080 pour cause de réchauffement climatique. Tout d'abord, il y a amalgame: l'énergie fossile ne va pas disparaître, mais il deviendra trop compliqué de l'exploiter (mais là n'est pas le sujet), de plus, il semble oublier ou ne pas se rendre compte que la pénurie d'énergie fossile risque de rendre très difficile le transport du précieux café et donc de le raréfier dans nos tasses et de le rendre hors de prix! Encore un fois cette impression de manque de profondeur, de fourre-tout d'idées non creusées...


Sachez qu'après le roman du parfum et le roman du café, Pascal Marmet va nous concocter un opus sur le thé.

Retrouvez l'intégralité de mon article sur mesmotsenblog.blogspot.be
Lien : http://mesmotsenblog.blogspo..
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Je ne suis pas une consommatrice de café, je n'en bois plus depuis trente ans mais comme j'aime bien les légendes et les récits autour du thé, j'avais envie de lire ce livre pour découvrir ceux qui gravitent autour du petit grain rouge -ou noir c'est selon le moment.

Je fus bien déçue par ce roman du café qui n'a rien d'un roman. Je crois que j'aurais préféré une forme carrément plus documentaire pour aborder le monde du café, son histoire et son renouveau, plutôt que ce salmigondis d'informations délivré dans un enrobage prétendument romanesque qui n'a aucun souffle et dont les personnages sont sans consistance.

Il semble que l'auteur n'ait pas su choisir entre deux formes pour nous faire partager sa passion du café et sa connaissance de l'univers de celui-ci ou peut-être est-ce les contraintes de cette collection que je connais mal qui l'en ont empêché.
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C'est à la terrasse d'un café d'une petite gare de Toscane - mais sans café serré - que je referme ce roman. J'avais ouvert ce livre avec curiosité, un sourire malicieux aux lèvres, moi qui n'aime pas le café, moi, la buveuse passionnée de thé.

J'ai été sensible à la description amoureuse du café que nous livre l'auteur et ravie de découvrir quelques grandes dates de la conquête du monde par ce breuvage dont j'apprécie tout de même l'odeur des grains fraîchement moulus.

Cet ouvrage a au moins un mérite. A sa lecture, je me suis convaincue qu'il me fallait absolument goûter encore et encore ce mystérieux liquide noir; saperlipopette, je ne voudrais pas passer à côté de toutes ces saveurs et plaisirs mentionnés! Cela sera un café récolté dans les excréments d'une civette pour moi, s'il vous plaît.

Grande amatrice de vins, j'ai aimé retrouver un vocabulaire proche de l'oenologie et le personnage de Julien me fut assez sympathique: " C'est ainsi que mes études se sont limitées au brevet des collèges et à un doctorat en arabica-robusta avec mon grand-père comme directeur de thèse. (...) D'emblée j'ai su que ma destinée se limiterait à cette antichambre du paradis, à ce grain noir au langage proche du vin où tout n'était que robe, terroir ou millésime. A dix-huit ans, j'avais, en nez, un bac +18 en caféologie. Ce qui fut dit fut fait: je suis devenu histograin, caféologue, expressomane et kawathérapeute". (p. 26)

Je retiens avec plaisir que le fait de ne pas assouvir les besoins en café de sa femme pouvait être un motif de divorce dans l'Empire ottoman ( Notons au passage le trop grand nombre d'approximations historiques).

En revanche, aucun plaisir d'un point de vue littéraire. Trop souvent le sentiment de lire un dictionnaire à travers les propos de Julien... et cela même lorsque son acolyte d'amie journaliste découvre le Costa Rica. J'avais alors l'impression de feuilleter une brochure touristique!

Enfin, j'ai trouvé que les photos n'apportaient rien et tout particulièrement celles de l'auteur buvant un café.

La cantate du café de Bach: https://www.youtube.com/watch?v=YC5KpmK6oOs

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Offert par l'éditeur dans le cadre de Masse Critique. Lu dans les transports en commun lyonnais, sans déplaisir, mais sans engouement non plus.

Et le verdict sera rude ; j'aurais infiniment préféré un essai documenté sur le même sujet, à cette fiction pataude, d'un style un peu lourd (mention spéciale pour les métaphores poussives) et qui n'amène pas grand chose au lecteur que je suis.

Un livre le cul entre deux chaises, qui se termine assez rapidement. L'aspect documentaire en justifie cependant la lecture, un peu de culture générale ne fait jamais de mal. Un livre qui s'intégrera sans problème à une "bibliothèque des toilette", coincé entre un Desproges et "Le dictionnaire du diable" de Ambrose Bierce.
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L'idée de départ était intéressante : raconter le café non pas de façon documentaire, mais de façon romancée. Pas toujours facile, l'hybridation ! le résultat n'est satisfaisant ni du côté roman (« intrigue » plate, personnages sans réelle existence) ni du côté documentaire (les informations sont délayées au fil de dialogues artificiels).
Il faut atteindre les dernières pages, celles qui sont purement documentaires, pour y lire d'intéressantes informations sur l'histoire du café, ses vertus thérapeutiques, ses différentes variétés… Tout ça pour ça. Un peu dommage. Je mets une note d'estime, 2 étoiles, car l'intention était sympathique et l'exercice difficile. Une petite mention spéciale pour l'inventivité de l'auteur dans les mots destinés à nommer son penchant : histograin, caféologue, expressomane et kawathérapeuthe.
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Voici un roman qui s'aborde, à mon avis, de deux manières :
- soit l'on est amateur de café, et curieux à son sujet au point de vouloir (presque!) tout savoir, depuis sa "naissance" jusqu'a sa dégustation. Dans ce cas, ce livre est une véritable mine d'or, un vrai trésor, Un documentaire avec un joli fil conducteur : l'histoire de Julien, sous forme de voyage initiatique.
- soit l'on est en quête d'un roman aux belles tournures, avec une belle intrigue et une écriture enlevée. Alors là : déception assurée.

Pour ma part, j'ai découvert ce roman dans le cadre d'une opération "Masse Critique" de Babelio, ce qui, pour moi, est aussi un engagement : lire l'ouvrage reçu jusqu'au bout, quoi qu'il arrive.
Je ne suis pas spécialement amateur de café. Autant dire que ce roman est très loin de m'avoir emballée. Un bon point, pourtant, pour l'auteur : voilà plus d'un an que nous remettions l'achat d'une cafetière digne de ce nom, à la maison. M'est venue, avec ma lecture, l'envie de boire un bon café... ;)
Mais un mauvais point pour lui : la première chose que je me suis dite, en ouvrant l'enveloppe rédigée de la main-même de l'auteur (pas de doute, c'était son adresse, au dos) et en découvrant le roman, dedans : "Oh, pas de dédicace ? Dommage..."

Autres critiques, cette fois sur la mise en page :
- à mon avis, les photos présentées dans l'ouvrage n'apportent rien, d'autant que celle où figure le portrait de l'auteur (en grand !) est exactement la même que celle de la 4e de couv'.
- il y a une faute de frappe p.212, 2ème ligne (bon, je sais, je chipote, mais c'est le genre de "trucs" qui m'agacent un peu...)
- 3 poèmes, dont deux quasi identiques ! Quel intérêt ?
J'ai en revanche beaucoup aimé, à chaque début de chapitre, découvrir des citations d'auteurs de tous styles et de toutes époques, sur le thème du café.
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Un livre qui vous donne envie de boire du café, même si ce n'est pas votre tasse de thé d'habitude ! J'ai lu ce Roman du café avec plaisir. J'ai appris pas mal de choses intéressantes sur l'origine du café, la plante et ses "cerises", comment certaines plantes ont été transportées par bateau - et jalousement gardées - pour être plantées et se multiplier sous des cieux favorables.
Le début du roman est un peu brouillon et a du mal à démarrer. La trame de l'histoire n'est pas très crédible. On sent que l'auteur a voulu introduire des éléments de l'histoire du café et a dû broder autour pour donner une consistance.
En deuxième partie des informations intéressantes sont fournies sur l'histoire du café, quelques trucs et recettes.
J'ai lu ce livre avec plaisir mais il sent un peu trop la commande sur le sujet et un manque de spontanéité.
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Et si je vous disais que je déteste le café mais que ce roman me tentait quand même ? Après tout, la curiosité est toujours la plus forte ! À la lecture de la quatrième de couverture, on ne sait pas vraiment si on va avoir affaire à de la fiction ou à l'histoire du café. Les deux, mon capitaine ! J'ai tout particulièrement aimé la préface de l'auteur, qui raconte comment l'inspiration du personne principal (un jeune aveugle mordu de café) lui est venue : une situation bien cocasse dont il a su tirer parti.

Nous retrouvons donc Julien, orphelin qui a toujours travaillé dans la brûlerie de son grand-père, et sa meilleure amie Johanna. du jour au lendemain, leur petite vie bien réglée va basculer, au point d'acheter un billet low-cost vers le Brésil (et le trajet diabolique qui va avec), à la découverte de la pratique.

Julien connaît l'histoire du grain par coeur, et il ne manque pas d'en raconter la moindre parcelle à son amie. Quitte à parler comme un livre, à mon grand regret. J'aurais aimé plus de naturel dans sa manière de conter, même si c'était très intéressant - surtout pour une novice comme moi.

De plus, autant le roman peut être long au début, autant la partie tant attendue au Brésil m'a semblé être survolée, et la fin précipitée. Pourtant, les chapitres du point de vue du grand-père étaient une très bonne idée et ajoutaient un peu de piment. Quant aux nombreuses annexes de la fin, je n'ai pas eu le courage de les lire : j'avais eu ma dose de café ! Je dois bien avouer, pourtant, que toutes ces dégustations m'ont presque donné envie !

En conclusion, à mi-chemin entre le roman et le documentaire, on n'arrive finalement à profiter d'aucun des deux aspects. Un point positif pour terminer, quand même : un personnage principal en situation de handicap, c'est assez rare pour être noté !
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