Il était né pour le deuil, ma reine, et cette ombra a pesé chacun des jours qu'il a vécu.
Je vous en prie, poursuivit elle. Il est mon fils, mon premier fils, et mon dernier. Laissez le partir et, je le jure, nous oublierons cela..., nous oublierons tout ce que vous venez de faire. Je le jure par les anciens dieux comme par les nouveaux, nous..., nous n'en tirerons pas vengeance....