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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
J'ai été prise dans les filets de l'émotion avec ce livre que j'ai lu en quelques heures.
Quelle chaleur, quelle humanité dans ce petit monde de jeunes colocataires !
J'ai rencontré Claire, Juliette, Tischa, Kader et Monsieur Bréhel, tous différents, mais tous terriblement attachants.
Kader est fou amoureux de Juliette, mais Juliette en aime un autre... un autre qui ne l'aime pas ou plutôt pas comme elle aimerait...
Monsieur Bréhel, le voisin discret est secrètement épris De Claire, cette jolie et délicate violoncelliste qui aime... quelqu'un d'autre.
Ce livre est une histoire de vies croisées, une fiction arrachée à un monde contemporain difficile pour certain, où la violence, l'alcool et la drogue sont souvent les seuls recours ou échappatoires.
J'ai beaucoup aimé l'écriture franche, vraie, fluide et poétique de Frédérique Martin, mais aussi et surtout la bienveillance qui s'en dégage. Je pourrais encore épiloguer sur mon ressenti, mais je préfère vous laisser découvrir ce très beau roman.
Lien : http://uneautrelecture.blogs..
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Juliette, Claire et Khader vivent en colocation. Chacun, pour des raisons différentes, trouve un avantage à partager sa vie avec les autres. Ils se sont ainsi créés une nouvelle famille. Mais la rencontre imprévue De Claire et Tisha va tout bouleverser.

Parce qu'elle n'a rien fait pour la défendre contre cet inconnu qui agressait verbalement Tisha dans le train, Claire lui offre l'hospitalité. Elle regrette de ne pas être intervenue, de ne pas avoir eu le courage d'agir, face à cet homme si menaçant. Tisha accepte l'invitation et les deux jeunes femmes nouent une relation qui va les épanouir mutuellement. L'amour serait-il un remède au mal-être ? Pas certain, pour Khader dont les sentiments ne sont pas réciproques, ou pour Juliette. Ces deux-là ont choisi pour élu de leur coeur un Autre inatteignable.

Malgré les difficultés du quotidien, l'unité de ces quatre jeunes gens est indéniable. Elle est leur bien le plus précieux. Car ensemble, ils sont plus forts. Plus forts que la société, plus solides face à sa violence qui heurte de plein fouet les plus vulnérables : les femmes, les jeunes, les pauvres, les personnes âgées condamnées à la solitude. C'est un sentiment que Monsieur Bréhel, le voisin des colocataires, connait bien. Confrontés à l'absurdité et à la folie du monde, les héros de Sauf quand on les aime ne devront leur salut qu'à l'humanité qui les habite. Auront-ils en eux assez d'espoir et de force pour continuer à se battre, à y croire malgré tout ? Leurs emplois précaires sont un frein à leurs rêves, l'ascenseur social s'est bloqué au mauvais étage, il y aurait de quoi baisser les bras pour moins. de Toulouse à Tunis, entre larmes retenues et sourire doux-amer, le roman distille une petite mélodie qui ne vous quitte plus…

Si j'ai mis autant de temps à vous en parler, c'est parce qu'il m'est difficile d'exprimer à quel point ce roman m'a remué. J'ai été, dès le départ, en totale empathie avec les personnages. Les sujets que le roman aborde me parlent, ma sensibilité va naturellement vers ce genre de thèmes. Mais il ne s'agit pas que de cela. Au-delà d'une histoire bien faite, d'un « scénario » bien ficelé qui nous tient en haleine, il y a le talent d'une auteure que je viens de découvrir. Autant vous le dire, je suis encore sous le choc de cette rencontre. L'écriture de Frédérique Martin est à l'image de ceux qu'elle décrit : d'une fragilité sublime, d'une force vibrante. En fermant les yeux, j'ai presque pu entendre le violoncelle De Claire briser le silence de mon salon. J'ai eu envie que chacun de ces héros ordinaires s'en sortent, qu'ils puissent accomplir leurs rêves. Que la fatalité s'arrête au seuil de leur appartement. J'ai vécu durant deux jours avec eux, comme s'ils étaient mes amis. Ébahie, assommée par la beauté du texte, j'ai avancé dans ma lecture avec un sentiment croissant de tristesse et d'espoir conjugués. Car la leçon à tirer de cette histoire (si tant est qu'il y en ait une) réside dans le message qui traverse tout le livre et que je tairais, vous invitant à vous-même le découvrir.

Un incroyable coup de coeur, de ceux dont on se rappelle longtemps. Un roman à lire de toute urgence, comme on doit boire la vie… jusqu'à la lie !

http://manouselivre.com/sauf-quand-on-les-aime/
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Comment parler de ce roman? Je viens tout juste de le refermer.... je l'ai démarré hier après-midi...J'aurais pu laisser passer du temps pour en parler mais je n'avais pas envie de garder pour moi ça. Besoin vite de dire : Lisez "Sauf quand on les aime".
La première fois que j'ai lu Frédérique Martin j'étais toute naïve et ignorante, cette fois je me suis dit "attention elle va encore te retourner les tripes et tu vas finir en larmes"...
Quand j'ai commencé le roman je me suis dit " oulala ça sent la tragédie grecque, on va droit vers le drame y a rien à faire. c'est la Fatalité dans la ville rose...:D". Et c'est pas dans cette chose qui va se produire que se trouve la surprise, parce qu'on s'en doute depuis le début, ce sont les mots, les réactions des personnages, leur façon de répondre au drame...Cette écriture me chamboule, cette façon de décrire le sentiments, d'aller droit au but, de ne pas avoir peur d'être crue, de toucher là où ça fait mal et malgré tout avec une sorte de retenue...
A la fin même je me suis même dit " Mais il faudrait en faire un film!" Non pas que les bons romans doivent finir en film systématiquement mais dans celui là il y a je trouve par moment quelque chose de très cinématographique.



( et quand même, pensez aux mouchoirs...)
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Parmi les séries dont je ne ratais pas un épisode dans mon jeune temps (...) figurait Friends. Parmi mes romans de prédilection, sans grande prétention, on trouve Ensemble c'est tout. C'est ma lecture-bonbon, plusieurs fois relue, le week end, sous la couette. J'aime ses personnages qui n'ont rien en commun mais qui bâtissent une vie ensemble, au gré des rencontres et des difficultés. C'est donc tout naturellement que mon attention fut attirée par Sauf quand on les aime, autre récit mettant en scène des colocataires, un peu plus jeunes cette fois, guère plus de 20 ans, que rejoint parfois leur vieux voisin.

Là s'arrête la comparaison. Car si le roman d'Anna Gavalda, malgré les coups durs, se révèle n'être qu'une sucrerie (et je ne dis pas ceci négativement), celui-ci ne nous épargne pas une certaine violence, malheureusement d'actualité. Et ce d'entrée de jeu. Dans un train, une jeune fille est agressée verbalement. Tous les passagers, ou presque, se tiennent cois, regardant obstinément leurs pieds ou la vitre. Tous, sauf une femme qui, en s'interposant, permet à Tisha de s'échapper et met au passage en lumière l'absence de réaction des autres. Avec Tisha, on pénètre dans l'appartement De Claire, Juliette et Kader, trois jeunes adultes qui ont emménagé ensemble pour être moins seuls et joindre plus facilement les deux bouts, entre contrats précaires et petits boulots mal payés. de l'autre côté du mur, Mr Bréhel, la soixantaine bien sonnée, écoute leurs conversations et tombe plus ou moins amoureux du violoncelle De Claire. Tous composent comme ils le peuvent avec la solitude, avec leurs sentiments, pas toujours réciproques. Mais tous serrent les rangs lorsque le besoin s'en fait sentir.

Sauf quand on les aime est un roman sur l'amitié, l'amour, la culpabilité. Sur la vie que l'on rêve, celle que l'on subit, celle que l'on se choisit. C'est un roman qui donne parfois une grande claque (à laquelle je ne m'attendais pas du tout) et pique où ça peut faire mal, très mal. Mais c'est aussi un récit empreint d'une grande tendresse. de cette tendresse que l'on éprouve pour les autres alors qu'on se la refuse à soi-même. de cette tendresse que, tous, nous devrions nous accorder. C'est un roman qui montre que la vie est précieuse, qu'il faut en savourer chaque instant, et -comme le dit Trisha- remercier pour tout le bien qui nous arrive.
Il y a dans l'écriture de Frédérique Martin à la fois de la douleur, de la hargne, mais aussi de la douceur, de la tendresse, de la délicatesse. Elle donne l'impression, parfois, de nous comprendre, nous, lectrice (lecteur?), d'avoir compris ce qui nous travaille, ce qui nous chamboule, ce qui nous fait peur. D'avoir écrit pour nous, tant elle nous touche. Elle donne vie à des personnages qui ne peuvent qu'être attachants tant ils sonnent vrai et juste. Mention spéciale, pour ma part, pour Juliette. Celle qui intériorise, qui "se juge indigne d'être aimée" et qui pense que "ce qui est beau n'est pas fait pour durer, il faut sans cesse le ressusciter", celle qui voudrait ne pas faire souffrir comme elle a elle-même souffert.

C'est dur, violent, drôle, tendre, et beau comme la vie.
Seconde lecture de la rentrée littéraire, ce roman est un coup de coeur, sans aucune hésitation.
Il va de soi que je n'en resterai pas là concernant Frédérique Martin, tant sa plume m'a transportée, l'espace de quelques heures.
Lien : http://margueritelit.canalbl..
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Excellent livre à découvrir.
Une rencontre entre deux femmes suite à une agression dans un train.
La jeune femme agressée se joint en coloc a un groupe de 2 filles et un garçon.
Leur vie avec toutes leurs émotions, il se passe plein de choses que je ne veux pas vous dévoiler mais tous les thèmes sont abordés, la relation amoureuse entre deux femmes, l'un des colloc est assassiné en voulant défendre l'une qui se fait violer, tous les sentiments, le deuil, l'amour non reconnu, l'amitié entre des personnes de génération différente, la complicité.
Très bien écrit les mots sont bien choisis il se lit d'une traite, on se croit avec cette petite troupe de 20-25 ans.
Je comparerais le style à REPARER LES VIVANTS de Maylis de KERANGAL sans complexe.
Allez y ne vous privez pas de ce moment super.
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Une histoire poignante, tout commence dans un train alors que Tisha, une jeune fille se fait agresser verbalement sous un silence uni des autres passagers " - Tu n'es qu'une pute, espèce de macaque, une salope descendue de l'arbre. Et moi je suis le messager de Dieu. File-moi ton 06, file-le-moi. " Claire est là aussi, elle a tout vu. A l'arrivée du train, à Toulouse, elle va suivre Tisha et va l'interpeller, comme celle-ci n'a nul par où aller, tout simplement elle l'invite chez elle. Chez elle, c'est une collocation avec deux autres amis très chers : Juliette et Kader. Une belle histoire d'amitié et d'amour dans une société violente à l'égard de tous ceux qui ne sont pas comme ....

Je ne connaissais pas du tout cette auteure, c'est en flânant dans ma médiathèque que ce petit livre m'a attiré, allez savoir pourquoi, la couverture oui, et puis la quatrième de couverture. Eh bien c'est sans regret tellement j'ai été happé par ce livre. Merci à son auteure et aux éditions Belfond.
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ourquoi ai-je plus de mal à rédiger un avis sur un livre que j'ai sincèrement aimé lire plutôt que sur un livre sur lequel j'ai peiné ? Peut-être parce que, si j'approfondis trop mon analyse, je mettrai trop l'accent sur ce que je n'ai pas aimé, au détriment de ce qui m'a plu.
Restons positive, néanmoins. J'ai beaucoup aimé le style de ce roman, qui épouse à la fois le parler d'aujourd'hui (sans caricatures) et se rapproche du poème en prose. J'ai aimé aussi les monologues intérieurs, qui permettent de connaître l'intimité des personnages, plus que leurs gestes eux-mêmes. Celui qui m'a le plus intéressé est monsieur Bréhel, puisqu'il s'agit de son seul moyen d'expression. Ses voisins lui parlent – un peu, l'écoutent – un tout petit peu, mais, au début du récit du moins, il est juste le voisin âgé dont on n'imagine pas vraiment qu'il ait une vie.
Le quatuor de jeunes colocataires appartient à une autre génération que la mienne, et j'ai vraiment l'impression qu'une grande distance nous sépare. Un exemple ? Aucun n'a la situation professionnelle dont il rêvait. Kader a fait des études qui auraient dû lui permettre de décrocher un bon travail, il est intérimaire sur un chantier, Juliette et Claire, amies d'enfance, peinent à payer leur part du loyer et des courses. Ce n'est pas qu'elles ont baissé les bras, ce sont les personnes qui les ont employés qui semblent résignées : rien ne change, personne n'y peut rien, ne faisons rien. Tisha, qui les rejoint, est barmaid.
Cette difficulté à joindre les deux bouts n'est pas le coeur du roman, non plus que leur souci pour se construire un avenir professionnel qui leur convienne. Juliette, Claire, Kader, Tisha sont quatre solitudes qui partagent un même logement. Quatre amis ? Non. Tisha, qui parle sans fard ni circonvolution inutile, a une relation intime avec Claire. Kader aime Juliette qui en aime un autre qui ne l'aime pas. Ce n'est pas une tragédie racinienne, c'est un drame moderne, de personnes qui se posent bien trop de question, qui n'osent pas, qui n'ont plus la même conception de la vie que leurs parents. Il est bien plus facile de vivre en collocation à quatre que d'envisager de vivre à deux. A ce jeu, personne n'est gagnant, et l'appartement n'est plus un cocon protecteur, mais un lieu de souffrance.
Au moins, il n'est pas un lieu de violence, comme la rue ou les transports en commun. Et pourquoi cette violence ? J'ai envie de la faire rimer indifférence. Indifférence quand elle s'exerce contre d'autres – parce qu'on ne la voit pas, ne veut pas la voir, parce qu'on n'a pas envie d'être celui qui est mort en héros, ce temps-là n'existe plus, on meurt « bêtement » en aidant quelqu'un, on meurt victime de sa générosité, ou de son inconscience. Indifférence parce qu'à moins d'être un tueur en série stéréotypé dans un roman policier qui l'est encore plus, on ne naît pas agresseur, on ne se réveille pas le matin en planifiant sa journée et en rêvant de la terminer dans un bain de sang. Il est, un jour, puis un autre, des événements, des faits, qui ont pour conséquence la violence et le passage à l'acte.
Sauf quand on les aime de Frédérique Martin est un roman qui mérite un coup de projecteur en cette rentrée littéraire 2014. J'ai parfois l'impression que tout le monde parle des mêmes livres (moi la première…).
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Un livre trouvé en librairie, au hasard des rayons. Un titre attirant, un résumé plutôt alléchant. On me parlait d'âmes fêlées. Ça, c'est mon truc. Je l'ai adopté, puis l'ai lu. Au début, c'était sympa, sans plus… Et puis boum, explosion d'émotions !

Revenons au début. Je trouvais simplement que l'histoire était sympa, mais méritait d'être étoffée. Je n'aimais pas beaucoup Kader, j'aimais bien Claire, Tisha était relativement inspirante, bien qu'opposée à moi et je me reconnaissais beaucoup en Juliette. Et plus le temps passait, plus je m'attachais à tous les personnages, même si je crois qu'on aurait pu s'attarder un peu plus sur l'histoire de chacun d'entre eux. Car ils ont tous une âme fêlée, mais parfois, je ne comprenais pas bien où était la fêlure. Mais chaque personnage ayant sa propre personnalité, ses opinions, vous en trouverez forcément un qui vous ressemble.

J'ai décelé une part féministe aussi dans ce roman. Les toutes premières pages décrivent une scène d'harcèlement sexuel, sujet plus que jamais d'actualité. Elles démontrent aussi les réactions des gens autour. Ceux qui font quelque chose, ceux qui ne font rien. La honte de n'avoir rien fait, par peur. le poids de la culpabilité. Si j'avais réagi, que se serait-il passé ? Puisque je n'ai rien fait, suis-je également coupable ? Complexes questions, auxquelles il est difficile d'apporter des réponses claires.

Culpabilité présente chez plusieurs personnages, pour de nombreuses raisons. Un sentiment parfaitement décrit par Frédérique Martin. Culpabilité qui empêche nos ailes de pousser. Culpabilité qui nous rattrape sans crier gare.

Sauf quand on les aime met en avant la brutalité et l'injustice de la vie. Certains passages sont durs, mais essentiels. Les mots choisis décrivent l'action. Certains mots, plus « barbares », ne sont jamais couchés sur le papier, mais tout est fait pour que le lecteur comprenne de quoi on lui parle. Malgré tout, en lisant, j'ai eu l'impression de recevoir des coups de poing. Parce que les événements me touchaient. Parce que je ressentais les émotions des personnages. Leur tristesse, leur colère, leurs petites victoires semblaient être miennes.

C'est réellement vers la seconde moitié que tout s'enchaîne. Comme un long début et une courte fin. Ça m'a quelque peu déstabilisée, mais je sais aujourd'hui que je ne me trompe pas lorsque j'affirme qu'il s'agit d'un coup de coeur. Parce que quand tu ne peux pas dormir après avoir terminé un roman, tu sais qu'il s'est passé un truc… C'est parfois inexplicable, comme un coup de foudre. Et dire que tout ça est dû au hasard, et à rien d'autre.
Lien : https://uneviedeslivres.word..
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Loin de laisser indifférent, ce roman heurte, secoue. Il fait mouche.

Plusieurs thèmes d'actualités sont réunis, abordés avec violence et tendresse. Cet ouvrage est à la fois brut, dur, tout en évoquant douceur et sensibilité. Il reflète une société dite moderne, s'inquiète d'une jeunesse en proie à un contexte contemporain difficile, se positionne ancré dans une réalité qui dérange. Complexe, parfois. A travers des situations et évènements universels, il évoque la solidarité dans l'épreuve, la joie qui supplante la souffrance, et vice versa. La vie, quoi.

L'ingéniosité de l'auteure ne réside pas seulement dans la maitrise des mots, mais aussi dans la connaissance et/ou l'intérêt pour les personnes et milieux évoqués. Chaque protagoniste détient son langage, sa posture, son entité. Non édulcoré, chacun est crédible.

J'ai apprécié la contradiction entre la rudesse et la délicatesse de cette histoire, ainsi que la proximité, l'ouverture, l'engagement et la révolte, habilement suggérés. En résumé, je suis enthousiasmée par cette lecture et impatiente d'en lire davantage.

Bonus : en tant que toulousaine, je me suis amusée des références et clins d'oeil propres à ma région.
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Portraits de jeunes gens normaux, biens sous tous rapports, avec leur faiblesses, touché de plein fouet par la vie...
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