Les dédicaces

Que dire... j étais fan mais là, c est la douche froide.
Être caustique n oblige pas à être condescendant.
L ironie n est pas la méchanceté.

Je ne sais pas si l'ego de l auteur est en cause mais ses personnages sont antipathiques à souhait. Alors oui je m interroge, je vais au bout et espere que tout ça a du sens ...

Et rien. le néant... une fin con pour un roman décevant.

Suis consternée.

Vous aimez la méchanceté gratuite qui ne sert aucun propos... foncez ... les auteurs à succès peut être considérés comme des auteurs de gare mangent cher, les auteurs prolifiques aussi, les récompensés encore... et les bloggeurs que dis je les femmes bloggeuses littéraires sont attaquées non sur la profondeur ou le vide des critiques mais de façon bien plus vile.

On pourrait espérer que l auteur dénonce un milieu littéraire trop fermé mais non... à la fin on finit sur un "ils vécurent peut être heureux avec un mensonge et un enfant ".

J'aurai du faire comme la personne qui me l a cédé et passer mon chemin.

Je suis attristée. Je l aimais tant cette plume ... jusqu aux dedicaces

Je n'ai pas du tout apprécié cette lecture de 1er degré de Cyril Massarotto... Moi qui avait adoré Dieu est un pote à moi"... Très très déçue... Je l'abandonne...

L'idée de départ est très interessante , les deux personnages existent et donnent envie de les accompagner . La critique classique des romans sans style et sans histoire à raconter mais avec beaucoup de lecteurs n'en restait pas moins un sujet prometteur … par contre je n'ai pas compris le déroulement de l'intrigue et du livre qui se trouve être la copie conforme de ce qu'il est sensé critiquer: une petite histoire à l'eau de rose : très décevant ou alors je suis passé à côté du troisième degré . Quelques formules bien trouvées et amusantes .