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"Le transfert de son cerveau bientôt possible dans un ordinateur?" Huffingtonpost.fr le 27/05/15.
Je suis Helva une handicapée, née dans un corps difforme, mais avec un cerveau intact...


Mes parents n'eurent que le choix entre l'euthanasie ou faire don de mon cerveau aux Mondes Centraux.


Un cerveau enchâssé dans une machine volante... Un gigantesque vaisseau intergalactique.


Parmi les pilotes qui se présentèrent, afin de devenir mon binôme, Jennan fut le seul à se tourner vers la paroi qui m'abritait, pour me parler.


Les autres me considéraient seulement comme un computer, un monstre, une chose... Un hybride inquiétant entre l'homme et la machine, un Cyborg!


Pour Jennan, je développais mes micros, synapses et enceintes afin de devenir celle que le monde allait surnommer "Le vaisseau qui chantait."


"Le vaisseau qui chantait" en pleurant Jennan, mon unique amour. Lui qui n'a jamais pu me voir vraiment, seulement m'entendre. Jennan ne pouvait que m'imaginer en entendant le son de ma voix de cristal, dans tout le vaisseau...


Car, malgré la coque de titane de mon corps, je suis une aventureuse, forte et faible à la fois, une femme amoureuse !


"Le transfert de son cerveau bientôt possible dans un ordinateur?" Huffingtonpost.fr le 27/05/15.
Projet Blue Brain, le cerveau d'Olga Lyssenko, une chercheuse atteinte d'un cancer, aurait été transféré dans une cerveau synthétique, avec succès...en Russie.
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Voici un recueil de nouvelles qui sont très cohérentes. Ça fait quasiment un roman tout ça. C'est comme cela que je ressent ces nouvelles qui ne font que explorer les différents aspects d'une même problématique . Un enfant dont seul le cerveau est vivable sera implanté physiquement dans le cerveau d'un vaisseau spatial. le thème du cyborg donc, à l'époque où ce thème explosait en littérature comme en cinéma de science-fiction .
L'oeuvre est très bien montée et le vaisseau est très (trop?) humain. On comprendra bien pourquoi les choses sont devenues ce qu'elles sont. C'est un roman futuriste, éthique,très humain et fonctionnel du point de vue romanesque.
Un bon moment de lecture finalement, accessible aussi aux plus jeunes. Il y a une légère tonalité jeunesse dans cette oeuvre qui est une bonne distraction.
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Ce titre est l'un des premiers de l'autrice. Certains traitements font un peu peur au début, mais comme toujours avec McCaffrey, ce n'est en fait que pour mieux les dénoncer plus tard.

On est sur un recueil de nouvelles mais plus dans le sens épisodes. Chaque nouvelle se déroule à la suite directe de la précédente, nous racontant une nouvelle aventure du vaisseau qui chantait.

Comme dit au dessus, il y a quelques points qui m'ont fait tiquer, surtout au début. Mais j'ai fini par comprendre justement que le but était de dénoncer ce fait. Ce n'est peut être pas super évident à deviner car le narrateur présente ça de façon limite légère, comme si c'était normal, alors on aurait tendance à avoir peur. Mais plus on avance, plus on voit les failles, ce qui ne va pas, et on insiste petit à petit sur les points importants.

Dans ce recueil nous faisons la connaissance de Helva.
Celle ci est née grandement handicapée physiquement. Mais heureusement, ses facultés mentales n'ont pas souffert. Dans un monde ou la beauté physique est un standard, il est donné comme choix aux parents : soit de l'euthanasier, soit de la transformer en « cerveau ».

Devenir un cerveau est un procédé complexe, avec un fort taux d'échec. Mais quand il réussi, un grand avenir est donné à la personne. En effet celle ci deviendra le coeur d'un vaisseau patrouilleur. Accompagné par son « muscle », le duo parcourra l'espace au gré de missions soit médicales, soit de recherche, soit d'exploration …

Helva est affectée à la partie médicale de la spatiale.
Elle rencontre Jennan, son muscle, et l'entente entre les deux est parfaite. Ils aiment tout les deux la musique, et Helva modifie son appareillage pour augmenter ses possibilités vocales.
Elle devient le « vaisseau qui chantait ».

Un de ses premières grandes mission est d'aller récupérer en catastrophe des missionnaires sur une planète dont le soleil est brusquement en train de se transformer en géante rouge et de « manger » ses planètes au fur et à mesure.

Malheureusement, le dernier ramassage se passe mal. Les dernières personnes qu'il leur faut récupérer sont des religieuses, et les soeurs refusent de monter dans le vaisseau car elles refusent de croire en la menace, vivant sur la face cachée de la planète. En plus elles se braquent car c'est un homme qui vient les voir, et elles refusent tout contact avec les hommes, sans parler du fait qu'elles préfèrent s'en tenir a ce que leur dieu leur impose. Elles vivent en autarcie, sans technologie, sans lien avec l'extérieur et prennent pour une attaque cette arrivée impromptue.

Elles finissent par accepter au dernier moment, mais dans la panique du départ précipité, alors qu'une partie des femmes est bloqué dans le sas sans air, l'une d'elle débranche le respirateur de Jennan …
Helva ne peux que regarder le jeune homme s'étouffer et mourir sous ses yeux …

De la la jeune femme, brisée et déprimée d'avoir vu l'homme de sa vie mourir sans rien pouvoir y faire à cause de sa condition, va aller de mission en mission, en tentant de retrouver un but à sa vie …
Elle enchaînera les rencontres, les découvertes, les aventures, car au final elle n'est vraiment qu'au tout début de sa vie, les « cerveau » pouvant vivre des centaines d'années.

Malgré une nouvelle (la plus longue du recueil en plus) qui m'a laissé un peu de coté (je l'ai terminé en lecture rapide, n'arrivant pas à me mettre dedans), l'ensemble a été une bonne relecture.

Je me suis beaucoup attachée à Helva et a sa recherche d'un but dans la vie, et d'un nouveau partenaire pour réaliser sa mission et sauver des vies. Ce premier recueil sert surtout à nous présenter le monde. Il commence a traiter avec douceur les thèmes, notamment celui du handicap. Il faut se rappeler que ce livre date des années 60, où ils n'avaient pas du tout la même mentalité que de nos jours (sachant que de nos jours c'est encore un gros problème). Voir un traitement positif de la chose, et suivre un personnage handicapé dans un space-opera est en soi déjà une bonne chose pour l'époque.

Je lirais certainement la suite, qui ne sera pas une relecture elle, sachant qu'il y a ensuite de nombreux volumes existant en VO qui n'ont jamais été traduits. J'ai bien envie de voir ce que l'autrice nous garde en réserve, et quels thèmes elle va aborder dans la suite, maintenant que ce premier est terminé.

Lien : https://delivreenlivres.home..
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Elle est née difforme, mais avec un cerveau intact. Seulement deux options pour ses parents : l'euthanasie ou l'utilisation de son cerveau pour le contrôle de certaines machines complexes. Plus tard, elle deviendra le "cerveau" d'un vaisseau spatial, accompagnée souvent par "un muscle", c'est à dire, un partenaire humain. Sans compter que son amour de la musique, et ses liaisons avec son électronique, l'ont transformé en une chanteuse hors pair, qui se laisse souvent aller à chanter.
Voici une partie de ses aventures (nouvelles).

Les histoires sont assez ordinaires, mais elles sont sublimées par le talent de conteuse d'Anne McCaffrey.

Finalement, j'ai eu beaucoup de plaisir à les lire.
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Helva est né atrophié, son cerveau est encapsulé et instruit pour devenir l'unité centrale d'une astronef, ses premières missions sont sanitaires : aller livrer des vaccins sur une planète, ou sauver des gens dont leur planète devient dangereuse..., elle va faire face à des situations périlleuses, son coté humain l'a rend attachante, elle est soumis à tout les sentiments, la colère, le peine..., c'est un SF facile à lire qui peut être apprécié même par les non-initié à ce genre.
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(Cette critique a écrite dans les commentaires d'un blog pour défendre ce livre vis à vis du manque d'enthousiasme dans certains commentaires et je précise ne pas avoir lu d'autre oeuvre d'Anne Mc Caffrey... ) .

J'ai trouvé ce roman -enfin, cette succession de nouvelles- très réussi, c'est une sorte de métaphore des étapes de la vie humaine, même si évidemment c'est très transformé du fait qu'elle ait un corps de vaisseau spatial et un conditionnement cérébro-chimique ; mais on peut rapprocher ça d'un corps handicapé ( avec d'autres connexions neuronales qui se forment et donnent accès à d'autres perceptions que les valides) et à la religion.
La première nouvelle raconte la découverte des possibilités d'un corps vaisseau et du premier pilote, le premier partenaire ( la scène de la "surprise party" est amusante!) et c'est attendrissant de voir à quel point ils s'entendent bien, le contraste sera d'autant plus grand avec la fin de la nouvelle. Les nouvelles et missions suivantes se passeront avec de nouveaux partenaires, femmes comme hommes: Helva aura fort à faire pour s'entendre avec une médecin épuisée qui cherche un remède contre la peste spatiale qui dévaste une planète; pas beaucoup d'action dans cette nouvelle mais l'écriture d'Anne Mc Caffrey la rend aussi épique que la nouvelle où, chargée d'embryons elle échappe in-extremis à un volcan et à une secte de suicidaires! puis elle va se choisir un nouveau partenaire pilote mais découvrira son manque d'humanité et de compétence à travers une aventure angoissante contre des fanatiques anti-cyborg. Mais, ensuite sans partenaire, la désincarnation complète et volontaire en compagnie d'une troupe de théâtre pour obtenir certains secrets d'une civilisation gazeuse se révèlera tout aussi déstabilisante, et elle sera amenée à faire un choix... et elle se retrouvera maîtresse de sa vie, indépendante mais perplexe quant à l'usage d'en faire. Ne serait-il pas temps de prendre un nouveau partenaire? Et cette fois, si l'expérience l'aidait à choisir le bon pilote?

J'ai trouvé ce bouquin très exaltant, non pas forcément du fait des aventures pas toujours compréhensibles ( le passage dans la civilisation gazeuse est abscons par moments par exemple), mais par tous les états d'âme que ces aventures provoquent en elle, les relations sociales qui se tissent avec les personnes qu'elle côtoie, le tout dans un cadre de science-fiction avec des étoiles mourantes, des décollages d'urgence, des civilisations totalement différentes, des compagnies multiplanètaires aux intérêts financiers colossaux (sa dette envers les mondes centraux revient régulièrement, et chaque mission lui rapporte l'argent pour les rembourser), et de l'amour! la romance physique est effectivement impossible avec un corps de vaisseau, mais côté sentiment elle est aussi dotée que tout un chacun et il y a des moments magnifiques sans gnangnan, ainsi que des moments d'un tragique sans nom.... Helva mène une vie de femme, battante, énergique, qui a besoin des autres mais sait aussi se débrouiller seule, qui apprend de ses erreurs et assume ses choix. Un vrai livre féministe et très touchant!

et surtout: Ne pas se fier à la couverture de Wojtek Siudmak, que je trouve hideuse! XD
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Ce livre est découpé en 6 nouvelles, mais qui se suivent chronologiquement. Elles ont le même « personnage » principal : l'astronef Helva. Helva est le résultat d'un programme spatial utilisant une technologie avancée, qui adapte les enfants malformés dans une coquille, et les éduque afin qu'ils deviennent les cerveaux d'un certain type d'astronef. Après leur formation, les cerveaux des enfants sont raccordés aux circuits d'un astronef, qui deviendra leur nouveau corps. Leur cerveau commandera tout le vaisseau. Ils sont ensuite appariés avec un co-équipier humain, qui sera le « muscle » du vaisseau, dans une parfaite complémentarité.

Nous allons donc suivre Helva, rapidement au début pendant sa formation, puis plus longuement au cours de ses différentes missions comme astronef des Mondes Centraux. Ses différentes missions, sur différentes planètes, vont nous éclairer sur le caractère d'Helva et les particularités de ses fonctions. On accroche très rapidement à l'histoire et on se passionne pour le destin hors du commun d'Helva. Ce space opéra, mélange de fiction, de science et de psychologie est bien dosé. Certaines nouvelles sont plus difficiles à appréhender car McCaffrey utilise des concepts qui ne nous sont pas familiers. Mais c'est ça que j'aime beaucoup, car elle sait rester assez familière dans l'univers qu'elle nous décrit, avec une technologie qui reste souvent un peu limitée pour nous qui vivont au XXIème siècle (ce livre a été écrit entre 1961 et 1969), mais en introduisant des éléments nouveaux. Encore une fois, la façon qu'à McCaffrey de créer de nouveaux univers, de se renouveler, et à nous dépayser, m'étonne toujours.

L'idée développée ici, le fait que la société puisse utiliser les enfants malformés pour en faire les cerveaux de « super-astronefs » est intéressante. D'un certain côté c'est un peu malsain. A leur naissance, en découvrant leur apparence, on n'a laissé à leurs parents que le choix de les tuer ou bien de les faire intégrer ce programme spatial. Les enfants n'ont donc même pas eu le choix de leur destin. Ils sont conditionnés dès la naissance pour réaliser leur mission. Une fois opérationnels, ils vont intégrer leur vaisseau, cachés dans une coque de titane. Donc cachés aux yeux du monde. Comme si la vue de leurs corps, était un tabou insurmontable pour la société. Même si d'un autre côté c'est leur rendre service, en leur enlevant la douleur de vivre chaque jour dans un corps martyrisé, et dépendants. Cela leur ouvre des perspectives qu'ils n'auraient jamais eues, puisque leur cerveau, en pleine possession de ses moyens, est ainsi utile à la société.
Cette ambivalence est évoquée par Helva. Son cerveau pilote un astronef, lui permet d'aller d'univers en univers à une vitesse extraordinaire… pourquoi voudrait-elle être une simple « humaine » au vu de ce que son nouveau corps lui permet ? Au fur et à mesure qu'elle va acquérir de l'expérience, et se rendre compte que sa situation n'est pour autant pas toute rose. Elle garde des sentiments, comme une humaine normale, et à ce titre est faillible. Et c'est pour cela qu'on s'attache également autant à elle. Car même en étant un petit être malformé enfermé dans un tube de titane, elle a des préoccupations humaines. Elle s'attache à ses "muscles", va nouer une relation avec eux. Elle va réagir en femme jalouse, en colère, aimante... Elle va aimer la musique par dessus tout, l'opéra et le théâtre, ce qui lui vaudra son surnom de "vaisseau qui chantait".
Le revers de la médaille, c'est qu'Helva est un cyborg, mi-humain mi-machine. Pour beaucoup, elle n'est pas considérée comme humaine, c'est un monstre. Anne McCaffrey nous interroge donc, sur le statut des cyborgs et au delà sur l'humanité elle-même.
Lien : http://revedurenard.online.f..
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Ce livre est découpé en 6 nouvelles, mais qui se suivent chronologiquement. Elles ont le même « personnage » principal : l'astronef Helva. Helva est le résultat d'un programme spatial utilisant une technologie avancée, qui adapte les enfants malformés dans une coquille, et les éduque afin qu'ils deviennent les cerveaux d'un certain type d'astronef. Après leur formation, les cerveaux des enfants sont raccordés aux circuits d'un astronef, qui deviendra leur nouveau corps. Leur cerveau commandera tout le vaisseau. Ils sont ensuite appariés avec un co-équipier humain, qui sera le « muscle » du vaisseau, dans une parfaite complémentarité.

Nous allons donc suivre Helva, rapidement au début pendant sa formation, puis plus longuement au cours de ses différentes missions comme astronef des Mondes Centraux. Ses différentes missions, sur différentes planètes, vont nous éclairer sur le caractère d'Helva et les particularités de ses fonctions. On accroche très rapidement à l'histoire et on se passionne pour le destin hors du commun d'Helva. Ce space opéra, mélange de fiction, de science et de psychologie est bien dosé. Certaines nouvelles sont plus difficiles à appréhender car McCaffrey utilise des concepts qui ne nous sont pas familiers. Mais c'est ça que j'aime beaucoup, car elle sait rester assez familière dans l'univers qu'elle nous décrit, avec une technologie qui reste souvent un peu limitée pour nous qui vivont au XXIème siècle (ce livre a été écrit entre 1961 et 1969), mais en introduisant des éléments nouveaux. Encore une fois, la façon qu'à McCaffrey de créer de nouveaux univers, de se renouveler, et à nous dépayser, m'étonne toujours.

L'idée développée ici, le fait que la société puisse utiliser les enfants malformés pour en faire les cerveaux de « super-astronefs » est intéressante. D'un certain côté c'est un peu malsain. A leur naissance, en découvrant leur apparence, on n'a laissé à leurs parents que le choix de les tuer ou bien de les faire intégrer ce programme spatial. Les enfants n'ont donc même pas eu le choix de leur destin. Ils sont conditionnés dès la naissance pour réaliser leur mission. Une fois opérationnels, ils vont intégrer leur vaisseau, cachés dans une coque de titane. Donc cachés aux yeux du monde. Comme si la vue de leurs corps, était un tabou insurmontable pour la société. Même si d'un autre côté c'est leur rendre service, en leur enlevant la douleur de vivre chaque jour dans un corps martyrisé, et dépendants. Cela leur ouvre des perspectives qu'ils n'auraient jamais eues, puisque leur cerveau, en pleine possession de ses moyens, est ainsi utile à la société.
Cette ambivalence est évoquée par Helva. Son cerveau pilote un astronef, lui permet d'aller d'univers en univers à une vitesse extraordinaire… pourquoi voudrait-elle être une simple « humaine » au vu de ce que son nouveau corps lui permet ? Au fur et à mesure qu'elle va acquérir de l'expérience, et se rendre compte que sa situation n'est pour autant pas toute rose. Elle garde des sentiments, comme une humaine normale, et à ce titre est faillible. Et c'est pour cela qu'on s'attache également autant à elle. Car même en étant un petit être malformé enfermé dans un tube de titane, elle a des préoccupations humaines. Elle s'attache à ses "muscles", va nouer une relation avec eux. Elle va réagir en femme jalouse, en colère, aimante... Elle va aimer la musique par dessus tout, l'opéra et le théâtre, ce qui lui vaudra son surnom de "vaisseau qui chantait".
Le revers de la médaille, c'est qu'Helva est un cyborg, mi-humain mi-machine. Pour beaucoup, elle n'est pas considérée comme humaine, c'est un monstre. Anne McCaffrey nous interroge donc, sur le statut des cyborgs et au delà sur l'humanité elle-même.
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