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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Décadence et folie pour ce cinquième épisode de l'hérésie d'Horus. Il revient sur la quadrilogie de départ, du point de vue des Emperor's Children.

Fulgrim est le primarque de cette légion. A travers de multiples combats contre des races extraterrestres (Laers, eldars, peaux-vertes), ses interactions avec la légion des Irons Hands (et de son primarque Ferrus Manus), on suit sa lente déchéance et son basculement vers la folie qui lui fera suivre le maître de guerre dans sa trahison jusqu'à la bataille de Isstvan V qui scelle le sort de la trahison si Isstvan III n'avait pas suffit.
Dans sa suite, les commémorateurs associés à sa flotte basculent également progressivement dans le chaos.

Un épais bouquin qui fait la part belle aux exactions et conséquences du chaos. McNeil excelle dans sa présentation, noire, dégradante, la débauche et les plus vils instincts de la chair corrompue. Pour les adeptes des ultramarines, on retrouve un peu l'ambiance de Ciel mort, soleil noir qu'il a écrit trois ans plus tôt.
L'atmosphère du livre est lourde, extrêmement sombre, glauque, sanglante (c'est une constante des livres W40k pour cette dernière), mais puissante, envoûtante.
On pourra regretter quelques longueurs mais le sujet est parfaitement maîtrisé.
Il est vrai que le tome 4 ( La fuite de l'Eisenstein) fait pâle figure à côté de cet opus, plus complexe et violent, plus abouti.

La suite : le retour des anges - Loyauté et Honneur.
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C'est le récit d'une décadence : celle du plus esthète des Primarques , Fulgrim , le Phénicien. Peu à peu , au fil des affrontements avec des extraterrestres (les laers) et malgré l'avertissement des Eldars lors d'une rencontre qui tourne au massacre , la corruption envahit Fulgrim sous la forme qui lui correspond le plus , Slannesh . La plupart du volume se déroule en même temps que « Les faux dieux » et culmine à la fin sur Istvan V lors du massacre final. A noter que la corruption gagne aussi les passagers humains du Pride of Emperor et explose dans un bacchanale insensée .
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Ce cinquième tome suit la lente déchéance du chapitre des emperor's children. Il raconte également la bataille d'Istvaan V ou Horus révèlera son hérésie en éliminant trois chapitres loyaux. A partir de cet opus, la chronologie sera éclatée pour décrire les évènements ( si elle ne l'était pas déjà avant ...)
L'orgueil et la recherche de l'esthétique sont les portes d'entrée du Chaos pour corrompre le primarque Fulgrim. Ce qui faisait sa particularité à lui et ses soldats causeront leur pertes et presque naturellement les amèneront à rejoindre Horus contre l'empereur.
C'est donc ces thèmes et leurs malversations qui seront au centre de cet opus: la recherche de la perfection, que ce soit dans les Arts et ici également dans celui de la guerre ( ça reste une histoire de combat et de violence quand même) est une question presque philosophique. L'auteur s'amuse à créer cette déchéance en reliant l'esthétique et le plaisir en passant par l'orgueil et l'arrogance.
Des plaisirs qui deviennent sadomasochistes et qui signeront l'adhésion de ce chapitre aux forces du chaos...
On suit la déchéance de ce chapitre space marine avec plaisir, la figure de Fulgrim, de ses soldats, ceux qui le suivent aveuglément et ceux qui doutent des choix faits mais qui ne réagissent que peu et les commémorateurs humains qui suivent la descente aux enfers. Certains résistent mais ... le mal fait son oeuvre.
Bel opus agréable à lire. Une thématique particulière et spécifique à ce chapitre qui intrigue et nous plonge une fois de plus dans cette saga.
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Critique basée sur la version originale anglaise.

Chose promise, chose due : je reviens (bourrinement) aux romans Warhammer 40,000, et, après l'expérience assez peu concluante (mais qui sera tout de même poursuivie) de First and Only de Dan Abnett, dans la série des « Fantômes de Gaunt », c'est bien cette fois à « L'Hérésie d'Horus » que je reviens, avec son cinquième tome, Fulgrim, signé Graham McNeill – qui avait en son temps commis le tome 2, Les Faux Dieux, jusqu'alors celui que j'avais préféré. Fulgrim, dans sa lignée, m'a fait l'effet d'une bonne voire très bonne pioche – surtout après un quatrième tome, La Fuite de l'Eisenstein, de James Swallow, tout de même passablement faiblard.



Ceci étant, Fulgrim n'est pas pour autant sans défauts – car il est trop long ; à l'époque de sa sortie, c'était d'ailleurs clairement le plus long roman de la série, mais je suppose que cela a pu changer depuis. Cependant, ayant lu quelques autres retours sur ce roman avant de me lancer dans cette chronique, j'ai l'impression que les autres lecteurs et moi-même, qui identifions tous ce défaut, ne plaçons pas du tout le curseur au même endroit…



Fulgrim n'est pas à proprement parler la « suite » des quatre premiers volumes ; comme le quatrième, il opère un retour en arrière, mais il a une dimension plus ample en même temps que plus resserrée, plus épique aussi, en traitant de l'évolution de la légion des Emperor's Children et de son primarque, Fulgrim donc, sur toute la période couverte par la « trilogie Loken », mais aussi sauf erreur un peu avant et un peu après.



Les Emperor's Children sont une des légions les plus « brillantes » engagées dans la Grande Croisade, et Fulgrim est un des primarques les plus estimés. Sous sa gouverne, les Emperor's Children sont en quête de la perfection – une véritable obsession, à ce stade… et qui ne sera pas pour rien dans leur perte ; car il s'agit bien, sur plusieurs années, et sur plusieurs théâtres d'opération très divers, de rapporter comment ces soldats d'élite et leur charismatique maître ont succombé aux séductions des Puissances de la Ruine – et, autant le dire d'emblée, ça n'est guère longtemps un mystère, de Slaanesh plus précisément. le choix de cette divinité hédoniste et cruelle permet, de manière aussi troublante qu'intéressante, d'user de l'art et de la philosophie comme véhicules de la corruption – art et philosophie issus de la vieille Terra comme des xénos… C'est pertinent dans l'optique faf de Warhammer 40,000 – et destiné sans doute à manifester, chez le lecteur moins bourrin que ces personnages nazillonnants (espérons-le), la séduction intellectuelle aussi bien qu'esthétique du Chaos : ce sont tout d'abord les space marines qui lisent et prisent la beauté que nous sommes portés à apprécier – ils nous changent agréablement des brutes lambda, archétypes un peu navrants de la machine de guerre des Astartes. Pourtant, dans l'optique de cet univers, ce sont ces brutes qui ont « raison », en se préservant de toute corruption chaotique (une menace alors pas bien définie, puisque nous en sommes encore au prélude de l'Hérésie d'Horus) ou xénos – on ne doit pas permettre au xénos de vivre ! Ce sont les Solomon Demeter, les Saul Tarvitz… Les militaires droits qui se moquent de l'art et ne sont là que pour massacrer. de fait, les autres légionnaires, artistes et hédonistes, toujours un peu plus, même avec les meilleures intentions du monde, succombent progressivement – ainsi que les « commémorateurs », ces artistes qui accompagnent la légion pour témoigner de sa gloire… On les a régulièrement croisés dans les précédents volumes de la série, mais ils n'ont sans doute jamais été autant à leur place que dans Fulgrim.



C'est toutefois un long processus – qui va être déroulé par Graham McNeill au fil de plusieurs théâtres d'opérations. Et c'est au regard de ce processus que mon opinion diffère assez largement de celle d'autres chroniqueurs lus çà et là : pour dire les choses, j'ai apprécié que l'auteur prenne son temps pour illustrer la corruption des Emperor's Children, sans négliger pour autant les hauts faits aussi braves que répugnants, dans des opérations militaires très bien rendues, très palpitantes ; mais, en dernier ressort, le roman m'a paru s'essouffler quand il a fallu rattacher tout cela aux événements primordiaux de l'Hérésie d'Horus, impliquant la démesure épique – sauf que j'ai alors eu le sentiment d'un auteur épuisé et qui, du coup, épuisait également le lecteur (le Nébal en tout cas) ; finalement, ces grandes batailles finales m'ont donc bien moins parlé et transporté que celles qui précédaient, d'une ampleur assurément moindre, d'une portée dramatique sans doute bien moindre également, et pourtant narrées avec beaucoup d'astuce et de brio.



Il s'agit en l'espèce de trois théâtres d'opérations, très divers dans leurs implications. le premier voit les Emperor's Children s'en prendre aux Laers, une espèce xénos très étrange, et qui oppose aux space marines une résistance inattendue. C'est bel et bien le point de départ de la corruption de la légion et de Fulgrim, car un « temple » farouchement défendu y abrite des merveilles artistiques, musicales notamment (un bon point !), qui fascinent et contaminent invariablement tous ceux qui y sont confrontés, en même temps que l'apothicaire Fabius Bile, intrigué par l'ingénierie génétique des Laers, décide de se livrer à quelques expériences sur cette base, avec des Emperor's Children pour cobayes… Il les corrompt littéralement avec du matériau génétique xénos ! Qui a besoin d'une métaphore, à ce stade...



Le caractère de guerre d'extermination, dans le cas des Laers, est très appuyé – mais il connait des variantes saisissantes dans le deuxième théâtre d'opérations, qui oppose les Emperor's Children et la légion amie des Iron Hands, avec à sa tête le primarque Ferrus Manus, au Diasporex, une civilisation issue de la vieille Terra, avant même semble-t-il le Moyen Âge Technologique, car vivant toujours dans un ensemble d'arches stellaires – ces humains-là ont entre-temps frayé avec des xénos, ce qui justifie sans l'ombre d'un doute, pour les space marines, la nécessité absolue de les exterminer tous autant qu'ils sont ; autant pour la bienveillante libération des humains égarés qui est supposée constituer la raison d'être de la Grande Croisade. Quoi qu'il en soit, cela permet à Graham McNeill de mettre en scène une chouette bataille spatiale (abordage inclus), mais aussi d'introduire un thème fondamental du roman – l'amitié, bah, disons la bromance, entre Fulgrim et Ferrus Manus ; qui n'est pas sans comporter des agacements réciproques, sous le vernis camarade pue-la-sueur-et-la-testostérone… Cela sera bien sûr crucial pour la suite des événements : à ce stade, on sait déjà que le point d'orgue (théorique...) du roman consistera en une lutte à mort entre les deux primarques ; or Ferrus Manus est une brute, là où Fulgrim, à ce moment du roman, se découvre esthète…



En témoignera le troisième théâtre d'opérations, nouvelle étape cruciale dans la corruption de Fulgrim et des Emperor's Children : des mondes (presque) vierges, d'une beauté sidérante – telle que le primarque, ému aux larmes, décide de ne pas les ouvrir à la colonisation/exploitation, ce qui est pourtant sa tâche (il suscite dès lors l'incompréhension outrée de ses soldats les moins corrompus, Solomon Demeter et Saul Tarvitz). Mais ces mondes ne sont pas totalement vierge, ils sont en fait sous la surveillance des eldars du vaisseau-monde Ulthwé… Ce n'est pas la première rencontre entre humains et eldars, mais les deux espèces se connaissent encore très mal. le Grand Prophète Eldrad Ulthran a prédit l'Hérésie d'Horus – et le comportement étonnamment ouvert de Fulgrim (en fait un stigmate de sa corruption, ce dont pouvaient se douter ces eldars « responsables » de l'apparition de Slaanesh) l'incite à tenter le tout pour le tout, en organisant une rencontre au cours de laquelle il lui révèle le pot aux roses. Bien sûr, le primarque réagit très mal : Horus ne ferait jamais une chose pareille ! La rencontre dégénère en escarmouche, pas dépourvue cela dit de moments épiques – à vrai dire, l'affrontement avec le Seigneur Fantôme Khiraen Heaume d'Or m'a probablement davantage impressionné que celui, alors encore à venir, entre les primarques des Emperor's Children et des Iron Hands.



Jusqu'ici, à mes yeux, c'était un quasi sans fautes – un space op' militaire mais pas boeuf, bien conçu, avec un fond, une âme, outre des scènes de batailles très bien gérées, très palpitantes ; une cerise sur le gâteau : en face des bolters de la légion, des civilisations xénos (ou pas tout à fait dans le cas du Diasporex) bien typées et tout à fait intéressantes. C'est long, oui, mais c'est bon.



Ensuite… Eh bien, ça m'a beaucoup moins parlé. La corruption de Fulgrim devient bien plus franche, très vite – et sans doute trop. La séquence orgiaque qui constitue l'aboutissement des travaux dégénérés des commémorateurs, en face d'un public militaire étonnamment esthète, ou plutôt avec lui, produit un tableau halluciné pas vraiment attendu dans un roman Warhammer 40,000, mais intéressant ; Fulgrim lui-même, toutefois, est trop facilement embrigadé dans les rangs de l'Hérésie d'Horus, comme tous ceux de ses pairs qui succombent, et, à ce stade, Graham McNeill me paraît achopper un peu sur cette difficulté typique de cet univers faf, qui transmute invariablement la déviance louable (selon nos critères) en maléfice infâme (selon les critères propres à l'univers de Warhammer 40,000).



Le reste… C'est la grande histoire – les pièges sur Isstvan III et Isstvan V, le tournant révélateur de l'Hérésie d'Horus. Cela devrait être démesuré, épique, tétanisant, révoltant… Mais, non, ça ne m'a pas emballé plus que ça. Peut-être parce que l'auteur était alors beaucoup plus contraint par sa « bible » ? J'ai eu l'impression qu'il était un peu épuisé, oui… Il y a de bons moments – des trahisons impardonnables, des mutations terrifiantes, des actes de bravoure à la mesure des méfaits odieux. Et, oui, le combat entre Fulgrim et Ferrus Manus, certes… Mais sa résolution tragique ne m'a pas touché autant qu'elle l'aurait dû. Et, encore une fois, les scènes de batailles antérieures, pourtant bien moins épiques, m'ont fait l'effet d'être bien plus palpitantes. Incomparablement, à vrai dire. Cela doit sans doute, au moins pour partie, à la démesure des affrontements du secteur Isstvan, certes : on ne peut pas tout dire, il faut laisser le champ libre à d'autres auteurs, dans d'autres livres...



Ceci dit, même dans cette dernière centaine de pages un peu poussive à mon goût, le résultat reste plus qu'honorable – meilleur que First and Only en ce qui me concerne. Et, dans ce qui précède, il y a vraiment des trucs très bien ; pas seulement pour les amateurs de Warhammer 40,000, j'entends – dans la catégorie space op' baston-mais-pas-con, ça me fait l'effet d'être dans le très haut du panier.



Et ça m'incite à noter sur mes tablettes le nom de Graham McNeill – parce que, du coup, sur la base des seuls six romans Warhammer 40,000 que j'ai lus, c'est certes peu, je me dois de relever qu'il a commis les deux qui m'ont le plus emballé pour l'heure (celui-ci et, antérieur, Les Faux Dieux, donc). Il y a peu, un camarade me disait que Dan Abnett était l'auteur qui avait le mieux compris et intégré cet univers ; c'est possible sur le long terme, mais, pour l'heure, me concernant, c'est bien Graham McNeill qui a su le mieux mettre en scène les ambiguïtés morales de cet univers cauchemardesque,  un point qui m'intéresse tout particulièrement, sans négliger le moins du monde les batailles et l'action pour autant, et sans non plus succomber aux facilités d'une écriture « professionnelle » (contrairement à First and Only, donc, par exemple) et distanciée.



Suite des opérations ? D'abord Ghostmaker, de Dan Abnett, dans la série des « Fantômes de Gaunt » ; et, concernant « L'Hérésie d'Horus », ce sera Descent of Angels, de Mitchel Scanlon… dont je n'ai entendu dire que du mal. Absolument partout. Pas sûr d'aller jusqu'au bout, dans ces conditions – mais ça ne me dissuadera pas de lire la suite a priori, car je sais qu'on y trouvera çà et là des romans tels que ce Fulgrim, certainement pas parfait mais tout de même bougrement enthousiasmant.
Lien : http://nebalestuncon.over-bl..
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C'est amusant de trouver dans un roman de science-fiction militaire une inspiration tout droit issue d'une oeuvre fantastique du 19ème siècle. Je veux parler ici du Portrait de Dorian Gray d'Oscar Wilde, quoiqu'on pourrait aussi penser à Faust. L'analogie est peut-être impertinente mais les trois récits mettent indubitablement en avant une dualité entre bien et mal, personnifiés par une personne unique à la Janus, dotée de deux visages. Dans l'Hérésie, l'auteur a d'ailleurs conservé et le démon, et le portrait.

Après Nurgle, brièvement évoqué dans La Fuite de l'Eisenstein, c'est Slaanesh qui entre en scène. Si vous trouviez le Seigneur de la Pestilence immonde et écoeurant, attendez d'avoir vu son acolyte divin. A vouloir pousser la recherche de sensation et l'expérimentation jusqu'en leurs ultimes limites (mais en ont-elles ?), on aboutit aux pires excès. Et c'est dans cette fange malsaine et sordide que va plonger en toute innocence Fulgrim, le primarque des Emperor's Children, dont l'antienne est le culte de la perfection. Pauvre surhomme, personne ne lui a donc dit que celle-ci n'était pas de ce monde ? Quand les guerriers plus sages et plus avisés recherchent l'excellence, Fulgrim épuise ses nerfs et corrompt son âme dans une quête impossible.

C'est presque trop facile. La pente était certes glissante mais on a l'impression d'une chute trop rapide, sans guère d'obstacle. Où sont passées la volonté et l'intelligence de ce primarque qui n'avait pourtant pas l'air d'en manquer ? du début à la fin, il se laisse embobiner et mener comme un veau à l'abattoir tandis qu'autour de lui tout se délite. Il faut comparer les Emperor's Children du début du roman avec ceux de la fin... Il y a de quoi s'arracher les cheveux de frustration.

Il est vrai que le monde de Warhammer 40K a été ainsi voulu. Un homme souillé et corrompu par le Warp ne pourra jamais s'amender et revenir vers la lumière, quels que soient ses efforts à cette fin. Pour les adeptes du libre arbitre et de la force de la volonté, la pilule est amère. Ce parti-pris scénaristique cependant est parfaitement légitime et il est traité avec une cohérence jamais prise en défaut dans tous les récits qu'on connaît de ce monde.

Ce roman qui tourne aussi sur l'art et l'inspiration recèle quelques réflexions intéressantes. le contraste saisissant entre Serena d'Angelus et Ostian Delafour ne condamne heureusement pas celui-ci comme une source inévitable de luxure et de déchéance.
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