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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Une fiction oui, mais justement, quand la fiction est trop fiction, on a des difficultés à y croire. "Quand j'étais Théodore Seaborn" souffre de trop ! Ce livre nous transporte d'un quartier montréalais au coeur de la Syrie, dans l'antre de l'État Islamique. Un Théodore Seaborn, montréalais d'origine libanaise, véritable sosie d'un professeur arabe est littéralement propulsé vers des horizons qui lui sont totalement inconnus. Infiltration, espionnage, agent double, terroristes, Seaborn , entièrment happé dans cet improbable imbroglio, devra jouer le jeu mais vivra les tensions et les pratiques de l'EI. On tente ici de nous faire vivre une intrigue politico/policière, de nous faire comprendre les enjeux des conflits moyens-orientaux, de nous faire croire à une quête existentielle , sauce humaniste, mais justement ça ne prend pas. Voilà, trop c'est trop. Dans ce roman, tout me semble précipité, invraisemblable, improbable à la limite du rocambolesque. Pour apprécier une lecture, il faut y croire et ni l'écriture rythmée, ni les personnages sympathiques mais auxquels ils manquent un peu de véracité, n'ont su m'émouvoir. Martin Michaud nous rassure à la fin de ce roman en nous mentionnant que Lessard et Taillon , enquêteurs aux crimes majeurs de la SQ ne sont ni morts ni abandonnés. Alléluia .
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