L'Avare

Il me semble que c'est lors de l'étude de cette pièce de théâtre que j'ai commencé à détester l'avarice, les picsous, les grippe-sous et les radins ;-)
Malgré tout, ce personnage d'Harpagon, aussi détestable qu'il soit, est extrêmement maltraité dans cette histoire. Molière avait la spécialité de détester les vieillards dans ses comédies.

L'avare est un grand classique de Molière et l'interprétation de Louis de Funès dans les années 80 au cinéma a marqué bien des esprits. La pièce est du classique Molière. On y retrouve la suite classiques des personnages : Harpagon le vieux dont on se moque, La flèche le valet rusé, les amoureux Cléante et Élise, Frostine la femme qui offre le contrepoint etc ... .
La pièce est célèbre pour la grande tirade d'harpagon "Ma cassette ma cassette " et "il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger"qui sont passées dans le langage commun.
Le thème de l'argent est prédominant chez Molière. On retrouve la scène ou le vieux essaye de ne pas payer dans plusieurs pièces comme le médecin malgré lui ou les fourberies de scapin. Au final une pièce à voir plutôt qu'à lire.

Lien : https://moliere.love/l-avare/

Alors oui en ce moment je suis dur avec les livres que je lis...
Mais a chaque fois c'est pas ouf à mon sens ma mère m'avait dit que ça allait me plaire L'Avare de Molière...
Bof sans plus...
Je lirais bien La maladie imaginaire espérons que je préfère...

Ecrite par Molière en 1668, L'Avare est une pièce satirique, remplie d'humour et de quiproquos en dénonçant les comportements de son époque. L'adaptation cinématographique, avec Louis de Funès, est aussi à voir.

Dans cette pièce, ce dernier met en scène le bien connu Harpagon. Il représente à lui tout seul les pires défauts ; avare par excellence, égoïste, sexiste, grotesque… Veuf, il est un riche bourgeois qui ne songe qu'à son argent ce qui le conduit même à sacrifier ses enfants avec qui il se montre tyrannique. Elise et Cléante, vivent dans le dénuement. En effet, ces derniers cachent à leur père, leurs amours respectifs. Elise aime Valère, un jeune Napolitain et Cléante aime Mariane. Mais Harpagon s'apprête lui aussi à épouser Mariane, dont Cléante est épris. En effet, il a échafaudé de tout autres projets de mariage pour ses enfants, souhaitant également que ces derniers aient une situation convenable. Pour cela, il envisage de marier sa fille à son voisin Anselme, riche gentilhomme qui n'est autre que le père de Valère, l'amant d'Elise, sur l'argument irréfutable que ce dernier la prend sans dot. Pour son fils, il souhaite qu'une riche veuve devienne son épouse. Mais lorsqu'on lui dérobe son sa cassette, son trésor, Harpagon voit sa vie s'écrouler.

Résumé : "Harpagon, riche vieillard, fait subir à toute sa maisonnée sa passion aveugle et tyrannique pour l𠆚rgent. Son avarice fait obstacle aux projets amoureux de ses enfants, le pousse à soupçonner ses proches et donne envie à ses serviteurs de le tromper. Quand il apprend que son fils est son rival auprès de la belle Mariane et qu’une cassette pleine d’or lui a été dérobée, sa fureur est à son comble et frappe de stupeur tout son entourage"
Bien

livretrès théâtral
livre pour les humouriste

Avec Molière, c'est une histoire un peu compliquée, notamment un mauvais souvenir avec Dom Juan au lycée. Mais voilà, Molière c'est le symbole nationale de la littérature. Difficile de totalement le bouder. Alors avec la jolie couverture représentant l'Avare dans la petite édition Librio, je me suis laissé tenté.
Une découverte intéressante, aussi bien pour ma culture que pour ma mémoire. Mais j'ai l'impression d'être moins sensible à la comédie de Molière qu'à la tragédie de Racine. A voir à l'occasion au théâtre ou à emprunter dans sa version de Funès à la médiathèque pour voir ces mots prendre vie et peut-être me saisir un peu plus.

Lecture de collège et pièce vue lors d'une sortie pédagogique, L'avare est l'un des seuls Molière que j'ai un tant soit peu apprécié. Avarice, paranoïa, tyrannie, voilà des mots qui résument bien cette pièce.

L'Avare... Un classique indémodable, que chacun (ou presque) se doit de lire ne serait-ce que pour sa propre Culture. Une pièce de théâtre, certe, c'est toujours mieux de les voirs jouées, mais les dialogues passionés en valent le coup !
S'il l'on oubli le côté un peu lourd de cet humour à base de quiproquos et autres superfuges de ce genre, je ne me suis absolument pas ennuié!
Les enfants d'Harpagon sont très attachants, les voirs déjouer les plans de leurs père est absolument juissif ;).
Lien : https://yesagainonemorepage...

Cléante et Elise sont frère et soeur, et ils sont amoureux, lui de Mariane, la fille d'une pauvre veuve du voisinage, et elle, de Valère, qui n'a pas un sou vaillant.

Mais Cléante et Elise sont aussi les enfants d'Harpagon, le pire avare que la Terre ait porté, qui a pour sa part décidé de marier le soir-même Mariane au Seigneur Anselme, qui la prend sans dot. Sans dot ! le rêve pour notre avare qui n'en démord pas, quelles que soient les objections qui lui sont faites. Harpagon a aussi le projet de prendre la jeune Mariane pour épouse, au désespoir de son fils.

Certaines scènes sont vraiment très drôles et valent le détour : quand par l'entremise d'un courtier, Cléante s'apprête à rencontrer un usurier qui lui prête à des conditions abominables, et qui s'aperçoit que l'usurier en question n'est autre que son propre père ! Ou quand Valère tente de dissuader Harpagon de donner Elise à mariage par des trésors d'éloquence, et voit chacun de ses arguments balayés par une réplique imparable : Sans dot ! Ou encore quand Maître Jacques fait croire à Harpagon et Cléante qu'il se sont mis d"accord alors qu'il n'en est rien...

Comique de situation et quiproquos sont au rendez-vous et c'est toujours un bonheur avec Molière. En revanche, la chute est quand même assez abracadabrante. Allez, on lui pardonne, on a quand même bien ri, et c'est bien là ce qu'on attend de lui, après tout...