En arrivant devant la Maison de Tante Léonie, une bâtisse grise, au carrefour de deux rues sans caractère, Jean-Pierre Faucheroux reçut un choc. C’est donc de cet endroit insignifiant, laid même, qu’était né un des hauts lieux de la littérature française !
Le rouge stratégiquement disposé sur des pommettes un peu trop saillantes détournait l’attention de lèvres un peu trop minces mais habilement épaissies par le fard et d’un menton un peu trop pointu, quoique pouvant passer pour volontaire, vu de loin.