Oui, encore un album qui me plonge dans mon enfance. Je ne l'avais pas, mais je l'ai lu jeune. Alors, pour combler ce trou dans ma collection, je me le suis fait offrir.
Quel régal! Tout y est, et plus encore, dans cet opus qui fait de Rantanplan un héros (ou presque!).
J'adore le passage où il mange des champignons hallucinogènes!
Bref, c'est un livre indémodable et apaisant.
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Belle découverte que cet opus de Lucky Luke. En effet je n'ai pas souvenir d'avoir lu cette histoire, il ne s'agit donc pas d'une relecture.
Rantanplan est le héro central de cette histoire qui voit les Dalton, une fois de plus, s'évader pour tuer cet pauvre bête et s'attribuer ainsi son héritage.
L'histoire est excellente, les dessins toujours aussi agréables.
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et bien … je dois avouer que je n aime pas Ran Tan Plan.
Ce personnage ne m avait jamais déranger parce qu il n était jamais omniprésent dans les histoires que j ai pu lire ou voir à la télévision.
Mais avec cette histoire tournant principalement autour de ce personnage… je n ai pas accroché .
Cela n'enlève en rien mon amitié avec Lucky Luke.
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Je poursuis ma cure de jouvence en me replongeant dans quelques albums de Lucky Luke. Après l'excellent « Western circus », me voilà à lire « l'héritage de Rantanplan ». Ce tome n'atteint pas le niveau de « western circus » mais c'est tout de même une bonne lecture. Gamine déjà, j'adorais le personnage de Rantanplan, et ça n'a pas changé, le chien le plus bête de l'ouest m'a encore bien fait rire.
J'ai encore passé un moment de lecture bien sympathique avec les personnages de Morris et Goscinny. J'ai bien envie de poursuivre mes relectures de Lucky Luke.
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le testament de Oggie Svenson une grande fortune de Virginia City est rendu public.
il désigne Ran Tan Plan, chien de garde du pénitencier en qualité de premier héritier, le seconde Joe Dalton, prisonnier condamné à perpét ‘. et ce dernier compte bien raccourcir l'ordre successoral. Ran Tan Plan et lui sont pourtant très liés. ils sont enchaînés l'un à l'autre pour éviter toute évasion. mais le canidé s'est lié d'amour au malfrat qu'il considère comme son « maître bien aimé ». il est fou de colère quand on les sépare. Lucky Luke est appelé à la rescousse pour le protéger et gérer ses biens. l'Economie de toute la ville en dépend. Ran Tan Plan compte bien échapper à sa vigilance et à la première occasion retrouver son maître adoré.
quant à eux, les frères Dalton bien décidés à faire la peau au cabot arrivent encore une fois à s'échapper du pénitencier. et ce ne sont pas les seuls ennemis du nouveau magnat à quatre pattes de Virginia City. la mafia chinoise se plaignant de loyers abusifs et Joly Jumper, jaloux des égards portés à ce rival animal ne le portent pas non plus dans leur coeur.
il n'y pas si longtemps un grand couturier léguait sa fortune à son chat…
la stupidité des Daltons, la naïveté et la bêtise de Ran Tan Plan, l'aigreur de Jolly Jumper, à l'image de Lucky Luke s'appuyant à un poteau, se tordant de rire, hilarant.
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S'il est une chose bien partagée entre les cousins Dalton et le chien Rantanplan, c'est bien une bêtise à toute épreuve.
Mais autant les Dalton sont méchants, autant Rantanplan est gentil...
L'occasion, pour Goscinny d'offrir une réjouissante histoire d'héritage dans laquelle Lucky Luke aura fort à faire pour empêcher les Dalton d'éliminer le pauvre Rantanplan... Et d'aller faire un grand tour dans un "Chinatown" des plus savoureux.
Mais que les amis des animaux (même stupides) soit rassurés: Rantamplan restera bête et en vie.
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Un album qui tourne autour de RanTanPlan, l'occasion de quiproquos et de gags excellents. Avec en prime la bêtise des Dalton... un album bourré d'humour.
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Un de mes préférés. Pour tout, l'histoire, les dialogues, les personnages. Joe qui aime mieux être en prison et riche que pauvre et en liberté !
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René Goscinny, dans cet épisode donne la pleine mesure de son talent. les répliques sont drôles, Ran Tan Plan et Averell se concurrencent en niveau de bêtise, il y a plein de subtilités et de petites histoires dans l''histoire prétextes pour lancer un gag, la jalousie de Jolly Jumper, les revolvers en savon d' Averell, son désir de manger du chien, William qui fait semblant de parler chinois... Il y a même un peu de social et d'économique. Un excellent opus de la série, qui selon moi, fait partie du haut du panier.
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