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Citations sur Fantômes d'hiver (33)

Les morts laissent une ombre derrière eux, l’espace où ils vécurent résonne encore de leur écho. Ils nous hantent, sans jamais s’effacer ni vieillir comme nous le faisons. Ce n’est pas seulement leur futur que nous pleurons, c’est aussi le nôtre.
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Le temps est élastique, il se dilate, se contracte, mais ne s'arrête pas quand on en aurait le plus besoin.
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Le temps est élastique, il se dilate, se contracte, mais ne s'arrête pas quand on en aurait le plus besoin. (p.32)
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Comme on nous l'a appris, la vie ne consiste pas à chercher des réponses, mais plutôt à apprendre à poser les bonnes questions.
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Toulouse passait pour l'une des plus belles villes du sud de la France. Et Freddie était sensible à cette beauté, à l'élégance de ses édifices du XIXe siècle, au passé médiéval qui dormait sous ses pavés et colonnades, aux clochers et aux cloîtres de Saint-Étienne, au large fleuve qui divisait la cité en deux. La ville rose... C'était à ses façades de brique rose dont la couleur chantait sous le soleil d'avril que Toulouse devait son surnom
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Les morts laissent une ombre derrière eux, l'espace où ils vécurent résonne encore de leur écho. Ils nous hantent, sans jamais s'effacer ni vieillir comme nous le faisons. Ce n'est pas seulement leur futur que nous pleurons, c'est aussi le nôtre.
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- Les morts laissent une ombre derrière eux, l'espace où ils vécurent résonne encore de leur écho. Ils nous hantent, sans jamais s'effacer ni vieillir comme nous le faisons. Ce n'est pas seulement leur futur que nous pleurons, c'est aussi le nôtre.
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- Et donc, ils ne se sont pas rendu compte de votre souffrance ?
- Je ne suis pas sûr que cela aurait changé grand chose. C'était George qu'ils aimaient, comprenez-vous ? Ils n'étaient pas délibérement cruels, mais le chagrin d'avoir perdu leur fils aîné les accaparaît tout entiers et les épuisait. Il ne leur est pas venu à l'esprit qu'il puisse me manquer à moi aussi. Et puis, confusément, j'estimais que leur peine était plus légitime que la mienne. Alors je n'en parlais pas.
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Ce sont ceux que nous choisissons d'aimer et ceux qui nous aiment qui nous font ce que nous sommes.
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Si je vous raconte cette soirée-là en détail, Saurat, ce n'est pas que Tarascon ait une quelconque importance à mes yeux. Cela aurait pu être n'importe quelle ville de ce coin du sud de la France. Mais il me faut reconstituer par le menu cette nuit banale en elle-même afin que vous compreniez bien que rien ne présageait ce qui allait advenir. Comme d'habitude à cette époque, je me noyais complaisamment dans les souvenirs et l'auto-apitoiement.
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