La mise en valeur du patrimoine (et sa mise en marché) sera aussi une préoccupation importante pour les peintres du Québec. Pensons à l'activité d'un Clarence Gagnon qui, de 1919 à 1924, entreprend de ramasser et teindre des laines et de fournir des modèles pour des pièces de tissages ou des tapis crochetés réalisés par certains artisans de Baie-Saint-Paul. Gagnon fait également des conférences sur le renouveau de l'artisanat; son souci de mise en valeur du patrimoine s'orientera même vers un nouveau types d'intervention muséale.