Les hommes ne m’avaient fait ni bien ni mal ; mais j’étais bon, et, pour mon malheur éternel, j’ai voulu être grand. Il faut que je l’avoue : si la Providence m’a poussé à la résolution de tuer un tyran, quel qu’il fût, l’orgueil m’y a poussé aussi. (Laurent / Lorenzo / Lorenzaccio)
Qu'importe le propos d'un Julien ? (...) Où en sommes-nous, si l'insolence du premier venu tire du fourreau des épées comme les nôtres ? (Philippe Strozzi)