L'appel de l'ange

Une intrigue mollassonne qui se laisse lire facilement mais ne laisse pas un souvenir impérissable.

Je pense que ma déception se justifie par l'histoire en elle même et la tournure qu'elle prend au fil des pages. Je ne blâme pas le style de MUSSO que j'ai appris à aimer par "Et après" peut être que j'étais trop dans l'attente de retrouver cette même ambiance qui m'avait conquise... Je n'aie pas aimé les personnages principaux et leur caractère narcissique (surtout Madeline) très agaçant, les coïncidences qui se succèdent au fil de l'histoire qui m'ont fait lever les yeux en l'air tellement j'ai trouvé ça "too much" voire "cucu" moi pourtant débordante de romantisme ! J'aurai peut être préférée un peu plus de réalisme et moins d'exagérations. Trop de contenus différents mélangés mais qui ne forment pas un bon cocktail qui manquent même un peu de logique/continuité. (Attention SPOIL) On parle de Danny mais pas assez alors que c'est pourtant le père d'Alice, sans parler de Jonathan plus préoccupé par Alice que Charly son propre fils... Enfin bref je vais pas m'éterniser dans ma critique, je ne l'aie pas aimé car il englobe tout ce que je n'aime pas. Je suis restée sur ma fin mais je ne vais pas pour autant m'empêcher de lire un autre MUSSO dans l'espoir de retrouver la passion que j'ai ressenti à lire "Et après"! Bref chacun ses goûts et malheureusement celui la n'était pas du mien. Ce n'est pas le meilleur de Musso selon moi...

Bof bof très bof !! Comme il est dit dans les commentaires précédents l'histoire n'est pas du tout crédible et ne fait que rebondir en histoire vraiment rocambolesque et complètement impossible. Bref j'ai lu pas mal de musso et à chaque fois je suis un peu plus déçu. Il ne mérite pas tant de succès, mais cela reste mon avis...

Peu de choses a en dire,sinon que ce genre n'est pas ma tasse de thé,pas plus que Marc Lévy ou Catherine Pankoll. Je me dis qu'il y a tant de bons livres a lire alors pourquoi perdre mon temps.

L'histoire est intéressante et le déroulement bien construit. On s'attache vite aux personnages.
Après les 50 premières pages l'accroche est beaucoup plus forte et ceci jusqu'aux 50 dernières.
Musso dans certains de ses chapitres a ce « petit truc » qui fait que l'on veut lire le chapitre suivant. Mais je trouve que l'histoire n'est construite que sur le final du bouquin et délaisse de ce fait certains personnages ou situations...

Je pense que ce n'est vraiment pas son meilleur livre.
Malgré une quatrième de couverture intéressante, j'ai trouvé que la course poursuite de la fin est totalement bâclée comme si Guillaume Musso en avait marre lui même de ce livre et qu'il fallait vite le finir. Des réponses arrivent comme un cheveu sur la soupe de nulle part.
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Ce roman est inégal. Au début, l'idée est intéressante, et pour moi, l'auteur l'exploitait bien. Je me suis divertie avec ces personnages dont les vies entrent par hasard en collision. J'ai trouvé plaisant que l'auteur nous décrive deux univers totalement différents.
Jonathan m'a paru plus sympathique que Madeline. On m'objectera que la jeune femme n'est pas bien dans sa peau, dans sa vie, et que c'est la raison pour laquelle elle est souvent exaspérée et donc exaspérante.
[...]
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j'ai détesté ce livre : plat, compliqué à l'excès, je l'ai lu jusqu'à + de 250 pages et rien de bien transcendant jusque maintenant,je ne ressens aucun plaisir à le lire. Il est moche, ennuyant, je crois que je vais l'arrêter car si j'insiste, je vais
perdre mon goût de la lecture.
J'en ai d'autres tout nouveaux dans ma bibliothèque et , c'est dommage, mais je ne les lirais pas !!!!

plaisant...

Allons-y pour une 207e critique de ce livre ! Musso, il y a ceux qui adorent et ceux qui détestent. J'avoue que je n'ai jamais vraiment accroché aux livres de cet auteur. J'ai lu (ou plutôt écouté en version audio) ce nouveau roman, sans en attendre de révélation. Il a au moins le mérite, à mes yeux, de contenir un peu d'action même si celle-ci repose sur des rebondissements rocambolesques (effectivement, la filature en Ferrari, fallait l'inventer) et parfois téléphonés (désolée, pas pu m'empêcher de faire le jeu de mots mais avouez que le gaucher qui se suicide de la main droite, c'était facile...). le fin mot de l'histoire se dévoilant progressivement, Musso arrive parfois à nous maintenir en haleine mais, quand on a un peu d'expérience du polar, on voit certaines révélations venir de loin. N'est pas Agatha Christie qui veut.
Dans ce livre, il y a de tout : un dictionnaire de citations, un catalogue automobile, une revue de décoration intérieure, un guide Michelin des restaurants newyorkais, un GPS des rues de New York et de San Francisco... mais pas de littérature. le style d'écriture sans être franchement déplaisant n'a pas vraiment d'originalité. Il reste toujours plutôt descriptif et plan-plan. de plus, la romance m'a parfois fait penser à du Harlequin pur jus avec ses personnages qui, au début, se détestent et, finalement, se sentent mystérieusement attirés ou ont l'impression d'avoir des papillons dans le ventre...