Une lecture enrichissante pour ceux et celles qui ressentent ce je ne sais quoi d'indéfinissable qui rend leur vie sans saveur et qui incite à poser ce mot en guise de constat : vide. Pour ceux-là, peut-être qu'une introspection vers l'enfance permettra de constater une défaillance maternelle, pas forcément une absence, qui vaut pour traumatisme, et aura laissé son empreinte dans la construction de la personnalité, comme un manque qui se traduit par la difficulté d'exister au présent, d'être pleinement soi. Par trois cas cliniques, Nabati présente la thèse des conséquences du manque matriciel, autrement dit des carences de la mère. Sans culpabiliser pour autant les parents. enrichissant.
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