Oh, c’est affreux de vieillir. On ne se sent pas du tout différent à l’intérieur – moi non, en tout cas –, alors c’est comme se retrouver prisonnier d’un corps qu’on reconnaît à peine.
On ne pouvait pas nier non plus qu’un plat de spaghettis blancs, accompagné d’un verre d’eau, déprimerait l’esprit le plus guilleret.