Citations sur Les Vampires de Chicago, tome 8 : On ne mord que deux.. (18)
- Les ténèbres sont toujours plus épaisses avant l'aube, médita-t-il.
- Tu joues la vilaine, Sentinelle, ce soir ?
- Je suis toujours vilaine. Mais la plupart du temps, je le cache très très bien.
Mais peut-être était-ce ce qu’il fallait retenir ? Qu’il ne servait à rien de planifier quoi que ce soit, même avec les meilleures intentions du monde ? Que nous devions apprendre à nous adapter, et que ce qui pouvait nous arriver de mieux était de trouver un compagnon prêt à évoluer à nos côtés ?
- Même s'il me plaît de t'entendre parler de tes devoirs envers moi, tu procrastines de nouveau. Prépare-toi. J'aimerais discuter un moment avec les gardes avant de partir, et mieux vaut ne pas arriver en retard au dîner.
En effet. Le meilleur moyen d'empirer un repas avec mes parents, c'était d'arriver en retard.
Ou d'amener des zombies. Car qui conservait des cerveaux dans son réfrigérateur ?
- Sans doute, concédai-je. Y a-t-il quelque chose que je devrais savoir avant d'entrer dans cet immeuble ? Robin Pope n'est pas ceinture noire d'un art martial quelconque ? Ou adepte au tir à l'arbalète ? Elle ne voue pas un culte à Buffy ?
- Pourquoi ? Ça t'embêterait ?
- La partie pourfendeuse de vampires, oui, mais pas la partie Joss. Tout le monde adore Joss.
« Je tournai la tête au moment où le vent dispersait les pétales de rose, les emportant dans le ciel. Je les contemplai avec émerveillement virevolter autour de nous, amour auquel des forces que nous ne maîtrisions pas donnait des ailes. »
— Oui, eh bien baisse un peu la magie. Tu fais fourcher mes cheveux.
— Je doute que ce soit biologiquement possible, vu que tu es une vampire, et, quoi qu’il en soit, c’est non. Qu’est-ce que tu as, aujourd’hui ?
Ethan eut beau ne pas paraître croire à mon mensonge, il hocha la tête et planta un baiser sur mon front.
— Bien. Je me faisais du souci.
— C’est ton travail de te faire du souci, répliquai-je d’un ton léger en lui pressant la main. C’est pour ça qu’on te paie une fortune. Que tu vas apparemment reverser à la Meute des Grandes Plaines pour garder cette voiture dans ton garage.
— Ne crains rien, Sentinelle. Il me restera assez d’argent pour t’alimenter en bacon.
— Heureusement que tu sais reconnaître les priorités.