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C'est l'histoire finalement assez banale d'une famille japonaise comme les autres, un couple avec deux enfants, qui ont acheté une petite maison en banlieue de Tokyo en s'endettant sur 35 ans. Au début, le père, Takeshi, a 37 ans, sa femme Eriko 33 ans, leur fille Nami, 9 ans, et le petit Wataru, 5 ans. Ce sera notre narrateur. Il a recueilli un chaton blanc. le moins qu'on puisse dire, c'est que son père, modèle du salaryman stressé à la japonaise, goûte modérément la présence de l'intrus. D'abord fichu dehors, le chaton va par hasard réapparaître. Et mine de rien, après avoir été dénommé précisément Shiro (blanc), il va s'installer définitivement dans la famille.

L'auteure s'arrête à plusieurs stades de la vie de Shiro pour nous présenter des tranches de vie, en instantanés, de la famille. Ainsi, les scènes s'égrèneront avec Shiro à 3, 7, 10, 13, 15 et 17 ans. le filou montre bien son caractère de chat, indépendant, souvent récalcitrant aux câlins et peu patient, qui ne manque pas de se faire les griffes sur le canapé, et d'aller se balader on ne sait où bien que castré (il ramènera d'ailleurs à la maison…un copain chat).

Contrairement à la studieuse Nami, Wataru n'est pas bon à l'école, ce qui désespère son père. Plus tard, Nami devenue adolescente connaît ses premiers émois amoureux, ce qui là encore crispe son père, alors qu'Eriko, en mère plus tolérante et mère au foyer modèle s'affirme en pilier discret de la famille. Un jour, Takeshi se fait embobiner par une jeune femme de son boulot, ils entament une liaison…Elle attend qu'il quitte sa femme, un enfant, mais il fait traîner…Sous pression et incapable de se décider, il cède en partie, en s'endettant à nouveau pour lui offrir un appartement. Et il va finir par être découvert, situation déshonorante et désespérante.

Ces crises conjuguées menacent de faire imploser la famille…Heureusement, Shiro, qui aura vieilli avec eux, pourrait bien être le révélateur, sa mort approchant, d'une unité retrouvée autour de son sort.
Une histoire simple, le déroulement de la vie quotidienne, les défauts et travers des uns et des autres, voilà ce que propose ce manga attachant, qui croque à merveille les joies de la vie avec un chat et quelques-uns des traits de la société japonaise.

Au terme de cette intéressante lecture, dont j'ai aussi apprécié le trait à la fois simple et fin, j'adopte !
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Wataru, alors âgé de cinq ans, est un petit garçon qui vit avec sa famille composée de sa soeur, Mami, neuf ans, sa mère, Eriko et son père Takeshi. Takeshi vient de faire construire une maison neuve et il en a pour trente-cinq ans à rembourser le crédit. Il est assez sévère avec ses enfants et odieux avec sa femme. Il place la barre très haut pour les futures études de son fils, Wataru. le jeune garçon trouve un chaton abandonné dans un parc. le chat est tout blanc alors Wataru le baptise « Shiro », qui veut dire blanc en japonais. Il le fait rentrer dans la maison à l'insu de se parents. Sa soeur et sa mère son séduites par l'animal mais quand rentre son père, il déclare qu'il n'aime pas les chats et qu'il faut l'abandonné. La famille résiste et le chat va finalement rester dans la maison. le chat est devenu adulte, les enfants grandissent et la famille vie une petite vie bourgeoise apparement sans histoire, toujours dirigée de main de fer par Takeshi. Mais ce dernier, s'il est intransigeant avec sa famille, prend des libertés coupables et dépense l'argent su ménage pour entretenir une maîtresse. Sa fille l'a rencontré avec son amante et se rebelle contre son père sévère plus que de raison et qui se permet de ne pas être intègre envers sa famille. L'adolescence arrive, avec beaucoup de réussite pour Mami et des échecs pour Wataru. le père ne lui pardonne pas ses piètres résultats scolaires. le chat fugue régulièrement mais revient toujours dans l'habitat familiale. Mami se marie, Wataru fuit le foyer familiale, le chat reste et vieilli dans la maison…

Je commencerai par remercier Babelio et les Editions Akata pour m'avoir confié ce manga dans le cadre d'une opération masse critique. La présentation de ce livre est un petit format, avec des couvertures souples et qui de lit dans le sens japonais. J'ai l'habitude de lire les mangas en version numérique et chaque fois que j'en lis un en version papier, j'ai parfois du mal avec les cases qui sont souvent petite dans le format habituelle des mangas. de plus, certains textes sont si petits qu'il faut beaucoup de lumière et parfois une loupe pour pouvoir les lire. le zoom reste un grand avantage des versions numériques et je conserve ma préférence pour celles-ci. le graphisme n'a pas de style particulier, il est assez proche du style des Shôjos romantiques. Les visages sont parfois très estompés à tel point qu'il me serait difficile de vous décrire celui de Eriko, la mère de Wataru et de Mami. Je crois que je peux qualifier l'histoire d'être une chronique ordinaire de la vie ordinaire d'une famille ordinaire. Elle pourrais se dérouler dans n'importe quel pays industrialisé de la planète. Il ne se passe jamais grand-chose, nous partageons des moments et des bribes de vie de chaque membre de la famille Osawa. le rôle du chat influence peu la vie de famille. Il n'est qu'un témoin, voir une échelle de temps dans l'évolution des personnages. le père semble brillant et réussir dans sa vie professionnelle. Il semble la sacrifier au nom du travail mais il est rattrapé par ses frasques. La mère est stupidement amoureuse de son mari qui semble la dédaigner et est une femme plutôt soumise, qui évite les conflits, de la à accepter les infidélités de son mari mais aussi de ne pas prendre fait et abuse pour ses enfants face aux brimades incessantes du père. Mami semble être la fille à qui tout réussi jusqu'à l'échec de son mariage. Elle déclare même que jusque là, elle n'avait jappais connu l'échec. Et au final, c'est Wataru, le cancre, raillé par son père, qui s'en tirera le mieux. On put vraiment se demander l'importance du chat dans cette histoire. Il n'en est pas la clef, juste un fil rouge, peut-être le seul lien solide qui relie la famille. Il n'est même pas beau, ne semble pas très sympathique ni tendre. Bref, j'en retiendrai que ce livre est un gentil shôjo, qui ne m'a pas marqué beaucoup et qui ne restera pas inoubliable.

Personnages :

Shiro : c'est le chat, l'un des deux personnages principaux de ce manga. En japonais, Shiro signifie blanc.

Eriko Osawa : trente-trois ans (au début de l'histoire), c'est la mère de Wataru, le personnage principal avec Shiro.

Mami Osawa : neuf ans (au début de l'histoire). C'est la grande soeur de Wataru. Elle est le troisième personnage principal de ce manga.

Wataru Osawa : personnage principal, au début de l'histoire, il a cinq ans. C'est lui, qui, subrepticement, introduit le chat dans la maison de se parents.

Takeshi Osawa : trente-sept ans (au début de l'histoire). C'est le père du héros, Wataru. Il est intransigeant, violent et dirige sa famille en patriarche despotique.

Kasumi : jeune femme qui est une collègue et la maîtresse de Takeshi, le père de Wataru et de Mami.

Tomo Matsûra : ami de Wataru. Ils habitent le même quartier mais Tomo vient d'un milieu plus défavorisé. Il ne peut pas accéder aux études supérieures. Parfois, Shiro fugue du foyer de Wataru pour aller vivre quelques jours chez Tomo.


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La vie d'une famille, et de son chat, pendant 17 ans !

Wataru a cinq ans quand il trouve Shiro, le chat qui ne le quittera plus. Cela correspond aussi au déménagement dans une maison de banlieue pour laquelle ses parents se sont endettés.

La vie va rapidement impacter chacun des membres de la famille. le père qui travaille beaucoup est souvent en décalage par rapport à sa femme qui est mère au foyer et ses deux enfants. Et chacun va avoir des raisons de voir ses certitudes bouleversées...

En un tome le manga arrive à nous faire traverser toute une vie de chat mais aussi d'humain.

Les principales questions sont celles du mariage, de la fidélité mais aussi et surtout des choix personnels qui nous obligent à nous connaître.

La trajectoire ne sera pas linéaire et chacun semble souffrir à sa façon tout en continuant d'avancer.

J'ai aimé cette intrication entre le chat et ses humains ainsi que le ciment de la famille qui tient en dépit de nombreuses épreuves.

Aucun des membres n'est épargné par le questionnement et la seule chose qui reste d'important à la fin c'est les liens et le chat.

Mon personnage préféré est Wataru car bien qu'il soit souvent en arrière-plan, on sent sa difficulté à se conformer aux attentes parentales mais aussi à faire valoir sa différence.

A lire !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
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Dans une famille classique et bien sous tous rapports en apparence, Shiro un petit chat blanc vient perturber la routine de la famille de Watru et Mami, nouvellement propriétairs d'une maison dans la banlieue de Tokyo.
L'arrivée de l'animal est très inégalement perçue par les membres de la famille, mais il finit par en faire partie intégrante.

On fil des chapitres, on suit l'évolution de la famille et du chat (sur 17 ans), qui sert de témoin ou de révélateur de petits secrets ou évènements importants (heureux ou non) dans l'histoire de cette famille.
D'un point de vue graphique, les traits sont assez minimalistes mais efficaces et permettent d'identifier les personnages et leurs émotions. J'ai été un peu déçue de constater que finalement le félin avait un rôle très secondaire, presque anecdotique. Il faut attendre la fin pour comprendre la réflexion vers laquelle voulait nous mener la mangaka et ce que signifie "être un membre de la famille".

Je remerie babelio et les éditions Ataka pour leur confiance dans ce partenariat.
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Merci à Babelio pour l'envoi de ce manga.
Il s'agit du quotidien d'une famille japonaise sur une vingtaine d'années, le personnage principal est le chat, Shiro. Celui-ci a été retrouvé dans la rue par le jeune fils de la famille, Wataru. Au départ, son père refuse de le garder puis finit par céder. Ce manga permet d'apprendre pas mal de choses sur la vie de famille au Japon, la place du père, prépondérant et le rôle effacé de la mère, femme au foyer.
Une lecture divertissante et plaisante.
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L'arrivée d'un animal agrandit toujours la famille. Ici, Shirô, petite boule de poil pas commode va accompagner la famille japonaise traditionnelle de Wataru sur 17 années de vie.

Ce shōjo de Keiko Nishi est une petite pépite.
Beaucoup de choses différencient les membres de cette famille mais Shirô va les lier. Le traditionalisme des parents se heurtent aux nouvelles attentes des générations plus jeunes, mais ce chat va leur apporter tendresse et réconfort. Plus qu'un énième manga sur les chats, "Avec toi" présente surtout la société japonaise dans ses contradictions, ses rigidités et son renouveau.
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Pleurer pour un chat... eh oui , le lecteur aussi s'attache en suivant la vie de Shiro et de sa famille, un bon manga, émouvant, attachant, un one shot à recommander !
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• « Avec toi » de Keiko Nishi, publié chez Akata.

• J'ai commencer cette lecture à la suite du défi lecture de BD de Babelio de Juin, cherchant une BD ayant un personnage vu de dos sur la couverture, dans le but d'étendre ma "culture" BD.

• J'ai beaucoup aimer cette couverture, et c'est ce qui m'a attirer directement. Elle est pleine de douceur, et toute personne possédant un chat se reconnaitra dans cette illustration, du moins je le pense. Des couleurs pastels, un titre écrit au crayon gras, avec une petite tête de chat à la place de la lettre "O".. Cette couverture est extrêmement bien stylisé, très esthétique. Elle n'est par contre pas vraiment en adéquation avec le ton de l'oeuvre dans son entièreté.

• Ce manga m'a surpris, son contenu ne reflète pas exactement ce que j'en attendais.. mais il reste toutefois très intéressant. Ce que je m'attendais à y voir, c'est la vie d'un chat traversant le quotidien de ses maîtres tout au long des années, et techniquement c'est en partie le cas dans cette oeuvre. Néanmoins, la trame narratrice va très vite être axée sur les péripéties des humains du foyer familial, laissant de côté dans la plupart des chapitres la vie du chat. C'est ce qui m'a légèrement déçu.. car l'histoire en devient pour le coup bien moins originale !

• La famille est totalement dysfonctionnelle, menée par un père de famille qui deviendra très vite odieux aux yeux du lecteur. Un père de famille indigne, qui n'a de cesse de rabaisser son fils, celui-ci ayant des difficultés à suivre un parcours scolaire classique, parcours classique que son père l'empêche même d'atteindre car bien trop bas à ces yeux. Cet homme est le type même de personne que j'exècre.. un minable à bien des niveaux. Parmi les autres membre de la famille, on retrouvera une mère de famille douce et aimable, très effacée la plupart du temps et la jeune fille de la famille qui est en réalité la narratrice de cette histoire. Cette narration est d'ailleurs assez étrange, tant on ne comprend pas trop pourquoi celle-ci en est la narratrice, le fait de l'apprendre n'offrant pas vraiment grand chose au reste.

• C'est le jeune garçon perdu dans ce système carré et intolérant qui s'attachera le plus à la boule de poil que j'aurais aimer voir un peu plus : Shiro le chat. C'est un vulgaire chat de gouttière, que les gens trouvent extrêmement laid, au départ abandonné dans un parc et que personne ne semblait vouloir adopter, que le jeune Wataru décidera de ramener chez lui. le premier chapitre présente l'acceptation difficile du petit chat dans la maison, deviner quel personnage décrit plus haut enverra le pauvre petit chaton à des kilomètres du foyer pour s'en débarrasser, ainsi que l'événement qui fera de celui-ci un membre à part entière de cette famille.

• Un point intéressant de ce manga, c'est sa multiple symbolique. En effet, on peut comparer beaucoup des personnages entres eux, ainsi que les situations qui en suivent. le petit garçon s'attache à un outsider qui lui ressemble, le chat. le père de famille vers la fin du récit est finalement le nouveau départ symboliser par .

• L'histoire de cette famille est très/trop classique à mon gout, et j'aurais vraiment préféré que l'autrice axe plus son récit sur la vision et le parcours du chat, comme le suggère la couverture, ce qui aurait pu apporter bien plus de fraîcheur. Néanmoins, l'histoire reste correcte et on ne s'ennuie pas . L'aventure se finit sur une note positive, peut-être un peu trop mais bon, un peu d'amour dans ce monde cruel ne fait pas de mal !
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Alors que je connais déjà l'autrice, Keiko Nishi, pour sa série Ane no Kekkon (que je n'ai pas aimé) et son oneshot Voyage au bout de l'été qui avait fini par me séduire, j'ai eu l'impression de la redécouvrir dans cette nouvelle histoire, où nous suivons le quotidien d'une famille pendant près de 20 ans.

J'ai d'abord été attirée par la couverture où l'on voyait un horrible chat blanc faisant une tête terrible. Je me suis dit que j'allais sûrement me retrouver dans une histoire un peu humoristique autour de celui-ci. Mais que nenni ! Ce dernier est juste là comme témoin privilégié et parfois complice de l'évolution de cette petite famille typique (j'espère pas trop) japonaise que l'on suit depuis la construction de leur maison jusqu'à leur devenir presque 20 ans plus tard.

Ce n'est pas une histoire drôle et joyeuse que nous livre l'autrice, mais plutôt une critique sévère d'une certaine cellule familiale où le père est le figure omnipotente et écrasante autour de laquelle tout le monde vit de façon assez misérable. Il y a d'abord la mère, cette pauvre femme complètement effacée dans l'histoire au point de ne pas avoir d'yeux dessinés par la mangaka. Elle est complètement soumise à son mari et a vraiment du mal à faire entendre sa voix. C'est très triste. Elle n'agit qu'une seule fois et quel acte de bravoure, mais ça lui permettra enfin de briser ce cercle vicieux. Face à elle, il y a donc ce père, qui s'impose partout et tout le temps. Il est détestable. Il néglige ses enfants, sa famille et les traite mal, les rabaissant bien trop souvent, alors qu'il ne leur est supérieur en rien. Il a une vision très archaïque de la société en général et se permet des choses inacceptables (adultère, maltraitance psychologique, fraude...). Je l'ai détesté d'un bout à l'autre. Forcément ses enfants ne vont pas très bien. La fille aînée cherche très vite à être parfaite pour pouvoir s'en sortir dans la vie et quand elle comprend l'échec du modèle de ses parents, il en cherche un autre qui n'est au final que la répétition de celui-ci et fini tout aussi mal. Heureusement, c'est une battante qui ne va pas se laisser faire et saura rebondir. Enfin le fils ressemble beaucoup à la mère. Il est celui que personne ne voit, que tout le monde écrase, qui a du mal à l'école parce qu'il ne s'en donne pas la peine. Il est normal. Il préfère s'amuser avec son chat et ses amis et ne sait pas trop quoi faire de sa vie. Au final, il saura très bien s'assumer en grandissant.

Keiko Nishi nous montre donc les effets que peuvent produire un mauvais modèle parental et une éducation basée sur les rabrouements, les humiliations et autres maltraitances psychologiques. C'est très triste. Mais pour autant, elle n'oublie pas d'apporter de la lumière à son histoire. Déjà, les enfants ont presque toujours le sourire ou du moins à la rage de se battre. Ils sont une vraie source d'espoir. Et la mère, de son côté, finit elle aussi pour se rebiffer et relever la tête. L'autrice cherche donc surtout à nous montrer qu'il ne faut pas subir mais agir et j'ai beaucoup aimé cela.

C'est d'ailleurs impressionnant comment un titre au contenu aussi pesant peut si bien se lire. Pour ça, on peut remercier la présence de ce matou acariâtre qu'est Shiro et que l'on suit depuis tout petit. Grâce à lui, on a de vrais moments de drôleries qui en plus font souvent écho à la situation de la famille. le rythme est également très bien trouvé. On suit leur quotidien sur près de 20 ans, mais pas en continu. On a 7 moments clés qui sont autant de bonds dans le temps nécessaires pour dynamiser l'histoire. Elle gère donc très bien son récit. C'en vient même à être amusant de voir la répétition des débuts de chapitres permettant de comparer l'évolution de cette famille de part l'évolution de l'état de la maison et de la voiture ^^

En conclusion, comme presque à chaque fois avec Akata, je suis ravie de leur choix de oneshot. C'est un titre qui a un vrai message, où l'on sent l'autrice engagée. Ce n'est pas juste un manga sur les chats comme c'est la mode. C'est une critique profonde de la société japonaise et d'un certain modèle parental/familial. L'histoire, tout comme les dessins, sont percutants. J'espère qu'on aura droit à d'autres titres dans cette veine avec cette autrice notamment.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Avec toi est une histoire qui se déroule autour d'une famille qui vient d'emménager dans sa nouvelle maison fraîchement construite. Wataru, le jeune fils, a ramené un jeune chaton qui va s'imposer dans leur quotidien. Une histoire que j'ai trouvée sympathique à découvrir...

La chronique complète sur Songe !
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