Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 4 : Le Testament Zarkoff (2)

La fin du deuxième cycle qui va faire voyager Silas Corey en Allemagne à la recherche d'un prétendant à la richesse de la vieille Zarkoff. Ce qui pourrait être simple ne l'est pas du tout, et l'enquête pour retrouver ce descendant inconnu va être peuplée de mystères. Ce qui donne une belle ampleur au récit, qui ne fait pas dans la facilité et les raccourcis. On est entrainé et ce tome se lit très rapidement.
Même Silas Corey semble plus profond, sombre et toujours avec sa touche d'humour. Bien sur on apprécie toujours son acolyte qu'on voit un peu moins dans ce tome.
Les dessins sont toujours beaux.
Il n'y a pas grand chose à redire à ce tome.
A quand le prochain cycle ?

Un chasseur devenu proie.

Allemagne 1918, le pays est en crise. Silas est en mission en bavière, et impossible de mettre la main sur l'héritier de la fortune Zarkoff.
A défaut, il a pu gagner la confiance de sa femme, Nina Zichler.

Tout le monde essaie de les éliminer, mais s'ils parviennent à retourner en Suisse, elle deviendra la dépositaire de cet immense empire...

C'est à ce moment que notre disparu, Johann Zichler, décide de réapparaître. Transformé, apôtre de l'instauration d'un ordre nouveau, qui risque bien de devenir un cauchemar pour nos héros et pour l'Europe...

Çà commence à sentir le roussi pour notre habile détective, qui va devoir se surpasser pour remettre un peu d'ordre dans tout ce bazar.

Plus qu'un final tenant toutes ses promesses, avec un dénouement très bien amené, c'est le parcours des protagonistes qui nous tient en haleine du début à la fin de l'histoire.
Pour une lecture superbement intense et plaisante.
(plus d'avis sur PP)

Suite et fin du testament Zarkoff.
L'entre deux guerres. Toujours à la recherche de l'héritier sur fond de magouille et compagnie.
Silas, en bon héros désabusé, le dit bien à la fin : il a vu l'avenir et il ne lui a pas plu.
Un bon moment de BD. Max a aussi aimé.