Disparition

Ce livre m'attendait depuis plusieurs mois dans ma bibliothèque et je n'ai pas été déçue de l'avoir enfin sorti.
Le premier roman de Nicolas Nutten est un polar diaboliquement efficace et fort bien construit. Une pure distraction menée tambour battant : une fois commencé, j'ai eu beaucoup de mal à le lâcher tant la lecture est addictive.
Nous sommes avec un jeune couple, Maxime et Célia, alors qu'une explosion survient dans le métro parisien. Dans la panique qui s'ensuit, Célia disparait.
Maxime, interloqué, va tout faire pour la retrouver et nous allons partir avec lui dans une course-poursuite qui va débuter sous-terre, dans le monde glauque et anxiogène du Paris souterrain. Il va être question de drogue, de gros groupe pharmaceutique, de mafieux, on va croiser la route de nombreux personnages, tous plutôt bien construits et intéressants.
J'ai trouvé l'histoire très prenante, avec de nombreuses ramifications, plusieurs éléments qui peu à peu se précisent et s'emboitent de même que des personnages dont l'identité et le caractère se révèlent au fil des chapitres, avec une incursion dans le passé de certains. Les scènes sont très imagées, la plume est percutante, habile et visuelle, bref un vrai bon polar avec lequel j'ai passé un excellent moment de lecture et qui me donne envie de découvrir très vite les deux autres livres de l'auteur!

Après avoir découvert, grâce à la masse critique de Babelio.com le livre de Nicolas Nutten, Comme deux gouttes de sang, j'ai eu envie de découvrir son premier roman, « Disparition » et je me suis régalée.

Un soir de canicule, la rame de métro où se trouvent Maxime et Célia tombe en passe.
Coincés par une chaleur infernale, les passagers finissent par être évacués, et alors que Célia part la première pour aider une femme en crise d'angoisse, Maxime qui sort dans les derniers ne la retrouve pas malgré l'aide des pompiers.
Commence alors une soirée d'angoisse pour Maxime, qui recherche activement Célia, avec l'aide de son meilleur ami, Yann. Et pour cela il est prêt à tout. du métro en passant par les catacombes, maxime ne va rien lâcher.
Mais que s'est-il passé, comment Célia a pu disparaitre.

L'auteur maitrise tellement son texte et ses personnages, que l'on va vivre cette nuit d'horreur dans la peau de maxime, on va transpirer et souffrir avec lui. On visualise les scènes comme dans un film grâce aux descriptions légères mais immersives.

Ça va vite, ça va fort, et ça me plaît, car on EST Maxime dans cette quête de la vérité et dans la recherche de sa bien-aimée.

Son petit dernier, TERRA MATER viendra très bientôt compléter ma série, et à mon avis je vais adorer.

Je n'avais jamais lu Nicolas Nutten. Après l'avoir rencontré à Iris Noir Bruxelles, j'ai décidé de combler cette lacune.
Disparition est son premier roman, et vraiment, me voici encore avec un auteur à mettre sur la liste des personnes à suivre. Sa plume alerte m'a entraînée, en compagnie de Maxime, à la recherche de Célia, dans une aventure haletante et très "cinématographique" (j'imagine bien une adaptation en film). Une ambiance très sombre, énormément d'action, je ne me suis pas ennuyée un instant. Un très bon moment de lecture, ébouriffant et palpitant, j'ai beaucoup aimé ce roman, si vous aimez le thriller qui déménage, c'est un roman pour vous.

Pour un premier roman, Nicolas Nutten signe un coup de maître.
Suite à un incident technique dans le métro parisien, Célia disparaît... Son petit ami se met à la rechercher ainsi que la police.
Cela nous emmène dans les sous-sols de Paris et encore bien plus loin.
Ce roman est une course contre la montre, une poursuite qui s'oriente au fil des éléments qui arrivent et qui nous embarque très loin avec un tel suspense qu'il est difficile de lâcher le livre.
J'ai trouvé le passage dans les sous-sols un peu long mais il faut bien du temps pour obtenir des informations utiles dans une enquête..
Chapeau pour votre premier roman monsieur Nutten.

Tout d'abord, je remercie Nicolas Nutten et le Blog d'HPF pour m'avoir fourni ce roman en SP.

Fin juillet, en pleine canicule. Maxime et Célia, qui empruntent la ligne 1 du métro parisien, se retrouvent bloqués dans la rame suite à un incident. Les heures passent et les secours mettent du temps à intervenir. Suite à cette trop longue attente, les passagers finissent par forcer l'ouverture des portes pour rejoindre à pied la prochaine station. Lors de cette évacuation, Maxime perd de vue Célia et celle-ci disparait dans le tunnel.

Disparition volontaire ou enlèvement ? Que cache Célia, cette étudiante en apparence sans histoire qui prépare sa thèse ?

Maxime va donc se lancer à la recherche de sa compagne et, à ses côtés, nous allons plonger dans les catacombes de Paris, dans un labyrinthe oppressant où nous allons faire la rencontre des êtres qui vivent en ces lieux.

C'est un thriller efficace dont l'écriture fluide, sans fioriture, nous happe dès les premières lignes. Les descriptions des lieux sont bien dosées, suffisantes pour que nous ressentions nous-même cette oppression liée à la canicule qui frappe Paris et à la claustration dans les profondeurs de la ville.

Nicolas Nutten parvient avec habilité à nous mener sur de fausses pistes. Les rebondissements et les révélations s'enchainent au rythme des chapitres courts qui nous donnent à chaque fois envie d'entamer le suivant sans attendre.

Si je devais relever un point négatif, cela concernerait les méchants qui sont décrits avec de « vrais physiques de méchants ». J'avoue également m'être un peu embrouillée à un moment donné dans leurs noms et leurs descriptions. Mais peut-être est-ce dû au fait que mon agenda personnel m'a contrainte à lire ce livre en plusieurs fois.

Pour ce premier roman, Nicolas Nutten signe un thriller efficace et je suivrai de près ses prochaines publications.

très belle découverte! Pas de place pour l'ennui, l'histoire commence dès les premières pages. On est tout de suite plongé dans l'intrigue qui est menée tambour battant. j'ai terminé ce roman presque en apnée tellement l'auteur ne vous laisse pas le temps de respirer. Ce fut un réel plaisir que de suivre les rebondissements de la recherche de Célia, une visite de Paris des plus insolite. Un régal. Merci vraiment

Collection Nouveaux auteurs, prix du suspense (2020) dont Bernard Minier préside le jury, ce sui est quand même plutôt bon signe. Et je n'ai pas été déçu par ce livre de Nicolas Nutten qui, d'entrée de jeu suscite l'intérêt du lecteur. Un thriller qui se lit aisément car l'histoire est bien imaginée. On débute au cours d'un incident sur la ligne 1 du métro parisien qui va plonger les principaux personnages dens un spirale qu'on est bien loin d'imaginer et qui nous absorbe comme un tourbillon. Belle découverte rapidement dévorée.

On plonge dans Disparition de Nicolas comme on s'engouffre dans une bouche de métro : sans temps mort, pressé, stressé.

Quand soudain la ligne 1 du métro parisien se bloque, la pression monte d'un cran. L'évacuation des rames se déroule dans un calme relatif jusqu'à une explosion qui mène à la disparition de Célia. La course poursuite pour la retrouver démarre.

On explore les catacombes et les sous-sols de la capitale, croisant ses occupants, en marge de la société. Puis, on remonte à la surface, toujours à la recherche de la jeune femme. Et le rythme ne faiblit nullement. On tourne les pages à la vitesse d'une voiture de sport lancée à plein régime, nous menant sur la route d'obscurs trafiquants.

Bravo Monsieur Nutten pour ce premier roman qui mérite amplement son « Prix du Suspense 2020 ».

Ce roman, qui est le premier roman de Nicolas Nutten, a été lauréat de la 4ème édition du Prix “Suspense Psychologique” en 2020 présidé par Bernard Minier, qui l'avait qualifié de “bluffant” ! On n'est pas déçu ! Il est vrai qu'il est difficile de le lâcher une fois qu'on en a commencé la lecture !
L'histoire se déroule en 2018, pendant un été caniculaire. le lecteur ressent la chaleur oppressante, accentuée par le fait que l'action se déroule principalement dans l'obscurité, d'abord dans le métro, puis les entrailles de Paris, pour finir dans les caves ou les sous-sols d'immeubles. On suit Maxime, qui, lors d'un incident technique dans le métro parisien, va perdre de vue sa compagne Célia au moment de l'évacuation des rames. L'auteur nous plonge dans les lieux mythiques de la capitale française, et on se laisse happer par un suspense haletant. Les personnages sont sympathiques, et attachants, surtout Maxime qui va de surprise en surprise. Bien sûr, très vite, on se focalise sur le personnage de Célia, qui, on le devine rapidement, cache bien des secrets, qui pousse le lecteur au milieu de la nuit !
L'écriture est fluide, agréable, simple, les chapitres sont courts, les amateurs de suspense apprécieront ce roman que j'ai dévoré en quelques jours.
A la fin, il y a une accumulation de personnages qui embrouille légèrement le lecteur, mais je reste sur une belle expérience de lecture. Voici un auteur prometteur !

Chronique d'une Flingueuse : l'Avis d'Isa

Je ne connais pas personnellement Nicolas, mais nous avons échangé plusieurs fois sur les réseaux. Nous avons parlé polars, écriture… Alors c'est tout naturellement que j'ai voulu découvrir son univers.
Disparition est son premier roman et son premier prix ! le prix du suspens 2020. Pour être tout à fait honnête, ce n'est pas pour le bandeau que j'ai acheté le livre, car je suis très souvent déçue par ce type de prix.
Dès les premières pages de ce roman, je me suis donc retrouvée bloquée dans cette rame de métro parisien (que je connais et fréquente depuis plus de 30 ans…). La fameuse ligne 1 ! En pleine canicule… Les sentiments des personnages dans cette partie sont très bien exprimés : l'interrogation, l'attente, l'impatience, l'angoisse, la panique. L'ambiance est angoissante. Suffocante. Puis intervient la disparition de Célia, dans les bas-fonds du métro. Son compagnon la cherche partout. En vain. Et lorsque j'ai rejoint la surface, j'ai réalisé que j'avais lu ces chapitres en peu en apnée. Toute cette partie sous terraine du roman est franchement excellente et aussi très originale. Des couloirs du métro aux catacombes en passant par les égouts, tout est parfaitement décrit. Parfaitement dosé. Par la suite, j'avoue avoir eu un petit coup de mou. L'arrivée de méchants beaucoup trop méchants et un peu caricaturaux, la mafia, la drogue, le sexe… mais Nicolas Nutten est parvenu à me récupérer, ce qui je dois l'avouer est assez rare, car je voulais connaitre le sort qu'il avait réservé à Célia. Son style est vraiment très agréable à lire, fluide et très visuel. Tout ce que j'aime. Pas de fioriture dans les descriptions. Des dialogues réalistes. Des personnages attachants, en particulier Chloé et Yann.
Franchement pour un premier roman, Nicolas a frappé fort. J'ai hâte de lire le prochain, car mon petit doigt m'a dit que le monsieur allait se lancer dans le polar. Mon impatience est donc à son comble ! Un grand bravo !
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