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Citations sur Rebecca Kean, tome 2 : Pacte de sang (52)

La porte de la petite maison de Georges, située dans le centre de Winooski, n’était pas fermée. Les loups n’avaient rien à craindre des cambrioleurs. Les cambrioleurs par contre, avaient tout à craindre d’eux.
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Ce n’est pas parce qu’on nie l’existence du diable, qu’il n’existe pas vraiment.
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- Parlez-moi un peu de mon époux, fis-je en passant ma main sur son bras et en l'entraînant, d'un ton léger. Il est particulièrement secret en ce qui concerne son passé.
Cette soirée pouvait se révéler intéressante, après tout...
- Je ne suis pas certain que le général apprécierait ce genre d'indiscrétions, venant de la part d'un de ses soldats, dit-il avec un sourire charmeur.
- Pas d'anecdotes amusantes, alors ? Je suis terriblement déçue.
Il se figea et planta tout à coup ses yeux dans les miens.
- Et si nous arrêtions ce petit jeu tous les deux ? dit-il.
- Que voulez-vous dire ? demandai-je prudemment.
- Vous vous comportez avec moi comme ces grues cupides et décoratives que bon nombre de vampires aiment à fréquenter, mais nous savons parfaitement ce qu'il en est, vous et moi...
- Vraiment ?
- Oh oui. J'ai vu de nombreuses fois Raphaël avec les femmes, des centaines ont même partagé sa vie, nais il n'en a jamais regardé aucune comme il vous regarde.
- Il me trouve peut-être un peu plus décorative et attirante que la plupart de ses anciennes conquêtes, lui fis-je remarquer.
- Le maître ne s'intéresse pas aux femmes. Il n'a jamais marqué l'une d'entre elles et il n'a jamais risqué sa vie comme il le fait pour vous protéger. Qui êtes-vous ?
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Que voulez-vous, nous nous ennuyons si facilement… la guerre et le crime ne sauront jamais ce qu’ils doivent à ce terrible sentiment qu’est l’ennui. Sans lui, nous serions beaucoup moins prompts à nous entretuer.
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- Mon Maitre ne doit pas découvrir la vérité Rebecca.
- J’ai compris. Et qu’est-ce que je devrais faire à votre avis ?
- Devenez la maitresse de Raphael, comportez-vous comme son esclave et gardez vos distances avec Michael. S’il comprend qu’il n’a aucune chance de vous reconquérir et que vous appartenez réellement à un autre, il finira par se faire une raison et nous pourrons rentrer à la maison.
Je déglutis.
- Vous êtes sur qu’il n’existe pas d’autres moyens ?...
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- Est-ce que… est-ce qu’elle est… ? finit-il par balbutier.
- Oui, fis-je dans un souffle.
Alors il me gifla. Oh pas suffisamment fort pour me mettre KO, mais assez pour que j’arbore demain, un très joli bleu sur la joue. J’allai répliquer lorsque je vis l’éclair de souffrance qui traversait ses yeux.
- Dis-lui qui je suis, Rebecca. Dis-le-lui maintenant, fit-il en s’approchant de Leonora.
- C’est inutile, dit-elle d’un ton dur. Je sais parfaitement qui vous êtes. Je vous ai tout de suite reconnu.
- C’est vrai ?
- Oui, dit-elle en reculant vers Bruce qui assistait silencieusement à la scène.
- Tu as peur de moi ?
- Non, mais je ne parle pas aux gens qui frappe ma mère, cracha-t-elle.
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— C'est une affaire privée, n'en fais pas un drame d'État. Ce serait ridicule.
— Elle a raison, elle n'en vaut pas la peine, Consiliere, ricana tout à coup Glastrow.
Michael tourna lentement la tête vers lui tandis que ses yeux luisaient d'une dangereuse lueur argentée. Glastrow avait commis une grave erreur. Déplaire à Michael était un peu comme patiner sur un lac en train de dégeler. On passait son temps à se demander quand la glace risquait de se briser.
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— Sommes-nous contraints de supporter cet imbécile, Felipe ? demanda Michael en se tournant vers le représentant du Mortefilis.
— Absolument pas, dit Raphael d'une voix étrange. Un dixième de seconde plus tard, il était debout, sur la table, et brandissait la tête arrachée de Glastrow dans les mains. Les yeux de l'ex-maître de Pennsylvanie étaient encore ouverts.
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Je venais de torturer et d'abattre un homme de sang-froid et je rougissais comme une biche effarouchée des qu'on faisait allusion à ma vie amoureuse...
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Oh, et puis zut ! Je ne sais pas comment te dire ca...
- Ouvre ta bouche, remue la langue et utilise tes cordes vocales. Ca me semble un bon debut, raillai-je
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