Rebecca Kean, tome 4 : Ancestral

De toute façon, je savais que j'allais aimer, j'pensais juste pas que j'apprécierais aussi Rebecca ! le personnage a été une agréable surprise pour moi car je dois dire qu'elle m'a surtout exaspéré tout le long des trois premiers tomes. Non, vraiment, elle était insupportable, surtout son côté sadique beaucoup trop exagéré qui la rendait ridicule.
Je me réjouis que l'autrice ait fait évoluer le caractère de l'héroïne. Pourtant au tout début, j'portais pas encore Rebecca dans mon coeur, j'anticipais déjà tous les comportements problématiques qu'elle allait avoir. C'est le cas avec la manière dont elle a traité le Dr Fergusson par exemple (elle a tué son ami le tome d'avant, elle s'attendait à quoi ?! Qu'il lui saute dans les bras ??), je n'ai pas du tout aimé, toujours à menacer de mort les gens pour un rien, rooh ça va, c'est pas juste un balai qu'elle a dans le cul celle-là mais tout un prestataire de service d'entretien. Toujours est-il que le changement se fait en douceur. Son personnage est nettement plus réaliste maintenant et très marrant même. Il y a d'ailleurs un passage (le paragraphe page 405 édition J'ai Lu) que j'ai trouvé archi drôle parce qu'il résumait super bien sa personnalité. C'est un extrait tout simple où il ne se passe absolument rien du tout mais sa manière de parler m'a tué. Tellement de cynisme et de pragmatisme que ça m'a fait rire. On veut plus de personnages comme ça nous ! Voici l'extrait :

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Lecture audio
J'aime vraiment cette saga. Chaque épisode nous apprend un peu plus sur Rebecca et les êtres paranormaux. J'aime beaucoup que le chef muteur et Rebecca soit seulement ami. On se demande d'où vient le pouvoir de Leonora, et du coup on envisage plusieurs scénarios. J'ai également apprécié qu'il soit fait référence au pacte passé avec la démone et qu'elle le respecte. Et le final donne envie de lire le tome quatre.

J'ai lu « Rebecca Kean, tome 4, Ancestral » de qui a été une excellente lecture!

Les tomes de cette saga se dévorent littéralement. A chaque fois j'ai l'impression que je vais mettre des jours à les terminer (ce sont quand même de beaux bébés) puis finalement je les lis beaucoup plus vite que prévu! Il faut dire qu'il y a énormément de dialogues, surtout maintenant que le contexte est bien posé!

Comme c'est un tome 4, je ne vais pas m'attarder sur l'intrigue! Sachez juste que l'on suit, Rebecca, une sorcière un peu spéciale (qu'il vaut mieux ne pas contrarier) qui, dans chaque tome, mène une petite enquête. Parallèlement à ça, au fur et à mesure de l'histoire (en fil rouge), on en découvre plus sur ses origines et sur celles de son entourage.

Cette saga s'intensifie de tome en tome ! Petit à petit, le fameux « fil rouge » prend le pas sur les enquêtes propres à chaque opus. On en apprend plus sur les uns et les autres et le tout devient de plus en plus complexe, prenant et intéressant.

Je reste team Bruce (amicalement pour Rebecca, et plus si affinités pour moi 😂) même si je commence à réellement apprécier Raphaël! J'ai hâte de creuser son passé à lui aussi!! Et puis on en parle de tous les autres personnages qui gravitent autour de notre héroïne? Beth, Gordon, Aligarth, Clarence, Khor, Maurane, Leonora, William,…Je m'y attache un peu plus à chaque tome ❤️

En bref, si vous aimez l'Urban Fantasy et que vous n'avez pas encore commencé cette saga, foncez!! C'est assez classique dans la construction mais le personnage de Rebecca vaut le détour! Et puis Bruce ❤️

Autant le tome 3 était loin d'être à la hauteur des deux premiers ,autant celui ci revient au top!
Il commence très fort avec une bataille digne d'une fin de roman et l'enquête policière est aussi nettement plus intéressante que la précédente ,malgré la fin qui un peu expédié à mon goût.
par contre les dernières lignes laissent supposer du lourd pour le prochain!

Cassandra O'Donnell Rebecca Kean. Pour adulte.
Cette critique concerne les 7 1ers opus de la série.
Je vais parler des plus, des moins et je ferai une conclusion.
Les moins de cette série :
- le sujet est trivial une sorcière, des loups-garous, des vampires, des sorciers,…, l'Amérique, un job de tueur,...
- le style littéraire : au ras des pâquerettes – genre roman « de gare » : j'avais l'impression pour les 3-4 premiers romans de lire un script pour une série de télé càd : quasi aucune description, aucun recul (à part celui des flingues), de l'action de aàz. Ce style perdure, il faut juste s'y habituer.
- Surtout dans les premiers tomes,… : des erreurs de traductions,…j'imagine soit un robot-traducteur réservé à l'édition, soit un ado…ex. : « aux grands mots les grands remèdes » (…enfin cette faute-là il m'a fait sourire)…vous voyez ce que je veux dire ?
- de nombreuses fautes de français, des coquilles, des incohérences de récit, qui me sortent complètement du fil pendant quelques secondes. Mais bon, je suis sorti du « flux »: soit j'essaie de comprendre et de résoudre les incohérences, soit cela me choque (les traductions, la grammaire,...) et je me pose des questions sur ce que j'ai en main…et si je vais continuer à lire.
- Les passages pornos qui n'apportent rien d'intéressant
- La violence permanente un peu trop marquée genre kill bill
- le côté « j'aime l'Amérique, ses série télé, son Coca Cola, Ses Macdo, etc… » (principalement les 1ers tomes).: qui quand je lis cela me donne juste envie de gerber…
Mais la critique la plus marquée je la réserve aux éditeurs qui font de moins en moins bien leur job me semble-t-il, ex. : pourquoi avoir attendu tant d'année avant de traduire les 1ers tomes de ces romans qui font le buzz en Amérique depuis 2005 ? Et …EST-CE QU'UN ADULTE, LITTERAIRE, RELIT les textes (erreurs de grammaires, de traduction,…) ?
Et surtout aux éditeurs américains : sont-ils trop peu cultivés/ intelligents/logiques/ que pour ne pas relever les incohérences dans un récit aussi basique ? Je reviendrai sur cette observation de plus en plus répétitive à l'occasion d'une prochaine critique relative à un certain John Scalzi pour sa série du "vieil homme et la guerre" (Editions TOR: et là ça va saigner 😊).
Les plus :
- Je n'ai pas trouvé utile de relever des exemples d'incohérence / erreurs de traduction,…le contraire serait un signe que je suis (très) déçu et (très) fâché. –
- Après avoir lu les 6 1er tomes j'ai eu envie de lire le 7 ème…
- Les traductions, les incohérences de récit et la grammaire s'améliorent avec les opus...ouf cela m'a permis de mieux me laisser emporter par l'aventure...
- J'ai commencé à « accrocher » avec les amours « compliquées » mais très belles de Rebecca. Je préfère ne pas dévoiler ce qui se passe…à chaque opus l'écrivaine nous réserve des surprises 😊.
- A ces amours s'ajoutent les capacités « inattendues » des enfants (hilarant). Tome 5, 6.
- L'humour noir. le tome 7 est un summum…désolé avant il faudra lire les 6 1ers tomes 😊 😊 (presque aussi bon)
- Les disputes avec sa gamine (ado) qui fait écho à notre misérable vie de parents dans ce siècle de merde submergé par les réseaux « sociaux » qui tout au contraire détruisent
les relations (à ce sujet : lire l'excellent « la fabrique du crétin digital » – prix femina 2020).
Dans les tomes 5-6-7 sa fille Leo a entre 13 et 15 ans (vous voyez ce que je veux dire… 😉).
- le côté Reine des Vikaris de Rebecca qui se révèle de plus en plus marquant avec un summum au tome 7 (et oui encore attendre… 😊) – un must hilarant.
- La tension (professionnelle, amoureuse,…) qui grimpe entre les personnages tout au long des opus…(Rebecca gère comme elle peut : j'adore)
- La complexité sans cesse croissante de ses relations amoureuses, professionnelles, familiales,…
- La reconnaissance de ses patrons sur la qualité de son « job » (qui finalement consiste à faire de l'espace, à faire le vide si vous voyez ce que je veux dire…) qui se transforme petit-à-petit en amitié
- les infos sur le père de sa fille, sur ses parents, les nouveaux personnages, révélées au fur et à mesure des opus,…
Bref, je suis heureux d'avoir découvert cette écrivaine : elle bosse, elle a de l'imagination, de l'humour dès le 1er tome et puis cela monte régulièrement en puissance et en plaisir de lire.
Des romans dopés à l'adrénaline qui vous laissent un sourire permanent sur les lèvres…même après la lecture.
Comparé à Rebecca, on se dit que finalement on se débrouille pas si mal avec nos enfants et que notre job n'est pas si « merdique »...
Ce n'est pas de la haute littérature. Je ne suis pas le public cible mais j'ai (petit-à-petit) aimé la série pour :
- l'humour (noir), omni-présent
- les relations amoureuses de Rebecca, ses relations avec sa fille et ses amis et la recherche d'équilibre avec son job
Je devrais détester vu la violence. Mais en fait dès le 1er tome, après une vingtaine de page, on n'a simplement plus envie de refermer le livre… 😊
Bonne lecture.

J'aime beaucoup cet univers et surtout Rebecca, cette femme forte et déterminée. Dans ce tome, elle est de plus en plus sensible aux gens qui l'entourent, ce qui est étonnant vu sa nature, mais c'est très intéressant de voir son évolution. Elle fait la paix avec son côté démon et semble maintenant très bien entourée, que soit par les vampires, les muteurs, les loups et même les démons. Elle ne cessera jamais de m'impressionner. La fin, que dire de plus que je dois aller m'acheter le prochain tome très bientôt!!

Encore une super lecture. L'écriture est toujours aussi addictive et fluide. le seul bémol une fin un peu trop bâclée à mon goût. Et, une dernière phrase qui nous laisse sur les dents et qui nous promet un tome à rebondissements. Ici, on va en apprendre plus sur Léonora et les muteurs.

Rebecca est cette fois confrontée à un assassin en série, évidemment non humain qui aspire la magie de ses victimes. Focus sur cet épisode sur les muteurs.

Après une très belle bataille pour la survie du clan du vampire Raphaël où le directum tout entier se mouille pour aider Rebecca, on se concentre sur l'enquête.
Côté vie privé, on en est arrivé au stade de toute comédie romantique : la séparation du couple toujours éperdu d'amour pour des raisons plus ou moins sans intérêt.

Toujours aussi sympa à lire, j'ai trouvé néanmoins l'enquête un peu moins prenante avec une fin un peu précipitée et au final, la situation un peu particulière de Rebecca n'avance que très peu.

4ème tome de la série Rebecca Kean, qui met en avant une héroïne aux prises avec ses sentiments amoureux. Entre sa relation avec Raphaël qui est plutôt bizarre, le retour de Bruce et la mise en avant d'Ali, chef des muteurs, on se retrouve avec beaucoup de testostérones à revendre.

Dans le même temps, elle doit protéger le territoire de son chéri vampire contre le Mortefilis et trouver un meurtrier sanguinaire. le tout en continuant d'élever son adolescente et être présente pour sa meilleure amie.

En somme une vie normale pour l'Assayim.

Un tome sympa à lire même si je me demande à quoi joue Rebecca avec Ali, sur qui on apprend pleins de choses d'ailleurs. Ce n'est pas le seul justement puisque ce tome voit son lot de révélations sur Raphaël aussi.

Enfin, une fin de tome qui annonce un grand chamboulement dans la suite de la série.

Une histoire toujours aussi agréable et qui se lis vite. Toutefois j'ai vraiment une impression de déjà vu, ou plutôt de déjà lu avec d'autres livres du même genre et sorties avant la saga Rebecca Kean, du coup les effets de surprise perdent assez de leur saveur. Mais, il faut dire que c'est le soucis quand on lis pas mal de livre d'un genre identique ^^ . Par contre, un gros plus pour l'enquête, j'ai adoré !!