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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Etant fan de Oh ! Great, il était difficile de passer à côté de Bakemonogatari, même s'il n'était pas aux manettes du scénario. Je n'avais d'ailleurs même pas pris la peine de me renseigner sur l'histoire... preuve d'une totale confiance qui s'est révélée payante, car j'ai beaucoup aimé ce premier tome, même si de temps à autre, il est un peu difficile de suivre la chronologie des événements. Mais c'est un détail qui est vite oublié.

Si Oh ! Great n'est pas aux commandes au niveau de l'intrigue, nous ne sommes cependant pas dépaysés. Franchement autant par la complexité de l'intrigue et de l'univers, le côté adolescent en pleine puberté, l'humour et le côté un peu trash tout en gardant à l'esprit que l'histoire touche à des sujets sérieux et sensibles, c'est à s'y méprendre. Si certains avaient peur à ce niveau-là, ce premier tome est assez rassurant. Je ne savais pas trop dans quoi je m'engageais au début, et j'avoue que c'est plutôt pas mal dans le sens où je n'avais aucune attente. Certes, il faut pour le coup, un petit moment pour comprendre ce qu'il se passe, mais cela ajoute du mystère. le résumé du premier tome dévoilant quasiment tout, j'ai au moins eu l'effet de surprise. Et je ne suis pas déçue. J'aime beaucoup cette idée d'entité prenant "possession" d'humain à plus ou moins grande échelle. le côté mystique/ésotérique japonais est toujours pour moi un émerveillement tellement il est riche. Reste à savoir si par contre l'histoire ne tournera pas trop en rond à un moment donné si le but est de nous présenter des possédés sans plus grande recherche dans l'intrigue.

Côté personnage, j'ai trouvé Araragi tout de suite attachant. Il me rappelle beaucoup, au niveau du caractère, les anciens héros de Oh ! Great, ce qui n'est pas pour me déplaire. Et puis, son "problème" est intrigant. J'ai hâte qu'il soit plus développé et qu'on n'en voit un peu les ramifications. Hitagi est, elle, mois facilement appréciable. On comprend son comportement, mais il est tout de même sacrément dans l'extrême. Si elle était moins encline à la violence, cela serait pas mal. Après, c'est un personnage complexe qui a aussi de très bon côté. Il faut simplement apprendre à l'appréhender et à la cerner un peu mieux. Son côté déjanté n'est pas pour me déplaire. Cela change assez de ce que l'on peut voir. Reste à voir si elle ne s'adoucira pas trop par la suite... ce qui serait dommage, ou du moins seulement en ce qui concerne la violence.

La mythologie de l'histoire se met doucement en place et elle titille déjà ma curiosité. Il y a des personnages charismatiques, et un gros potentiel. le design de Oh ! Great étant toujours aussi qualitatif, agréable à l'oeil et plein de détail, c'est un plus indéniable. Il se prête d'ailleurs très bien à l'ambiance globale et aux caractères des personnages.

Un premier tome réussi pour moi. Il offre des possibilités mais on sent aussi que le faux pas peut vite arriver. le scénario de Nisioisin a intérêt à être à la hauteur car je suis plus qu'emballée.
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Hitagi est une très belle jeune fille. Elle semble issue d'un milieu aisé. Elle a souvent l'air hautaine et est très solitaire. Elle aurait une maladie incurable qui fait qu'elle serait parfois absente. Elle semble, comme le dit Tsubasa, la déléguée de classe, évanescente. Elle glisse sur une peau de banane, dans l'escalier et notre héros principal, Koyomi Araragi, la sauve in extrémis. Seulement, il apprend du même coup le secret de la jeune femme, elle ne pèse rien. Cette dernière, plutôt que de remercier Koyomi de l'avoir sauvée, l'agresse avec des fournitures scolaires qu'elle sort de façon inattendue. Équerre, compas, cutter et agrafeuse deviennent des armes redoutables dans ses jolies mains. Elle veut simplement que Koyomi l'oublie et ne divulgue pas son secret. Mais ce dernier lui montre que lui aussi est spécial, il cicatrise et se régénère de façon hallucinante. l'a été mordu par un vampire pendant les vacances de printemps. S'il a gardé le pouvoir de cicatriser, il n'est pas devenu u vampire grâce au savoir d'un homme farfelu et mystérieux, Meme Oshino. Sa meilleure amie, la déléguée de classe a été sauvée aussi par Oshino. Hitagi, bien de défiante par rapport à notre héros, accepte de le suivre et de rencontrer Oshino…

Premier opus d'un manga qui s'inspire d'un roman et de de light novel éponyme. Il y a aussi un animé qui fut créé à partir du roman. Visiblement, le scénario s'inspire du folklore japonais et européen (les vampires ne sont pas d'origine nipponnes). Il puise dans la mythologie et l'ésotérisme. Ce premier épisode est assez profond car si la jeune fille a perdu nonante pour-cent de son poids, c'est parce qu'elle a soulagé sa conscience en confiant ce qui torturait son for intérieur. (Imaginé tout les catholiques qui reviennent de confesse en ne pesant presque plus rien. On les reconnaîtrait les jours de grand vent hihihi). le scénario commence très vite. On peu regretter que nous n'avons droit qu'à un bref flash-back pour nous montrer la rencontre de Koyomi et du vampire et que nous n'avons encore que des bribes d'information sur le mal paranormal de Tsukasa. le graphisme est franchement réussi. Les personnages sont très beaux, trop peut-être mais le graphisme est séduisant. Par ci par là, une touche d »humour vient alléger l'histoire qui, si elle démarre sur un ton léger, à la limite de la frivolité, nous plonge ensuite dans des troubles de la conscience et des responsabilité de ses propres actes bien sombre. Hitagi, qui semble être une fille hautaine, dédaigneuse, pour une adolescente, a déjà une vie vraiment dramatique. le plus troublant, c'est que nous ne savons pas si son mal est du à une simple rencontre avec une chimère en forme de crabe ou si elle vient du comportement de sa mère. C'est un peu fouillis et je vais attendre le prochain épisode pour tenter de démêler cette histoire. Bref, ce premier tome m'a tout de même convaincu de continuer cette série. Je pense que Koyomi est le héros principal et qu'il sera récurant tandis que des personnages comme Hitagi ne feront que passer. Mais ce ne sont que des supputations. l'en format Kindle avec une magnifique numérisation.

Personnages :

Koyomi Araragi : le personnage principal de l'histoire, est un élève en troisième année de lycée qui échoue dans toutes les matières, sauf en mathématiques. Peu de temps avant le début de l'histoire, il a été attaqué par un vampire pendant la « Golden Week » et il est lui-même devenu un vampire. Même si Meme Oshino l'a aidé à redevenir un humain, il y a encore des effets secondaires : il peut voir dans le noir mais surtout il a gardé ses incroyables capacités de régénération (son corps soignera ses organes ou blessures même les plus graves peu importe la cause), il est donc quasiment impossible de le tuer. C'est un garçon généreux.

Tsubasa Hanekawa : est dans la même classe que Koyomi, dont elle est la présidente. Avant que le roman ne commence, elle a été possédée par un Bakeneko (chimère féline) pendant la Golden Week, en raison de sa situation familiale stressante. Même si le problème s'est depuis résolu avec l'aide de Shinobu, il a de nouveau émergé juste avant le festival de l'école, en raison d'un autre stress.


Hitagi Senjôgahara : est une jeune fille d'apparence faible, atteinte d'une maladie incurable. Elle est dans la même classe que Koyomi, mais celui-ci ne l'a encore jamais entendu parler. À la suite de sa rencontre avec une chimère, un mystérieux crabe quand elle était en première année de lycée, elle a perdu nonante pour cents de son poids. Après cela, elle a évité tout contact humain, de peur que quelqu'un ne découvre son secret.

Meme Oshino : c'est un homme solitaire qui squatte dans un bâtiment abandonné. Il a une grande connaissance des chimère qu'il appelle anomalies. C'est une sorte d'exorciste. Il a aidé Koyomi et Tsukasa à se remettre de leur rencontre, l'un avec un vampire et l'autre avec un Bakeneko, sorte de chimère féline. C'est auprès de lui que Koyomi conduit Hitagi pour la libérée de son mal. Il se fait parfois aider par une étrange jeune fille qui semble lobotomisée, Shinobu.

Shinobu : jeune fille qui semble n'avoir aucune conscience ni identité. C'est Oshino qui l'a nommée ainsi. La jeune fille l'aiderait parfois quand il pratique les rituels de désenvoûtement.
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Dès que j'avais vu qu'aux dessins on retrouvait le célèbre Oh ! Great, bien connu pour ses séries comme Enfer et Paradis et Air Gear, ma hype est montée en flèche, tant j'aime le style graphique de cet auteur. Il a un certain talent pour dessiner les milieux urbains (je n'ai lu que Air Gear, il y a longtemps et j'avais vraiment bien aimé).

Ici il n'est qu'aux dessins, et donc pour le scénario, j'ai découvert NisiOisiN que je ne connais pas du tout et qui est surtout connu pour sa saga de Light Novel, Monogatari Series, dont Bakemonogatari est l'adaptation du premier arc. Enfin, de ce que j'ai compris, car je vous avouerais que tout ceci est un peu flou. Si jamais il y a des connaisseurs de cet univers parmi vous et que j'ai fait une erreur, n'hésitez pas à me la corriger 😉

Il n'est pas besoin d'avoir lu le Light Novel (qui est d'ailleurs également sorti chez Pika) ou d'avoir vu l'animé pour se plonger dans la lecture du manga, mais par contre, il vous faudra être assez concentré, car ce premier tome de Bakemonogatari n'est pas simple à lire, loin de là. On mets a peu près les trois quart du tome pour comprendre vraiment de quoi va traiter le titre. Au départ, les personnages sont assez originaux et on a du mal à les cerner, surtout Hitagi, une lycéenne qui peut paraitre antipathique, tant que l'on ne connait pas les causes de son sale caractère.

L'histoire principale de ce manga va tourner autour de Koyomi, qui va sans cesse croiser la route de jeunes filles et dont celles-ci auront besoin de ses services pour « exorciser » l'entité chimérique qui les hante. Car oui, dans Bakemonogatari il y a un coté folklorique assez intelligent, puisque l'on part du principe que suivant le malêtre de la personne, des entités peuvent prendre possession de vous, et vous donner une sorte de malédiction, comme ici avec Hitagi, qui se retrouve être légère comme une plume, ce qui présente beaucoup d'inconvénients !

Une fois que l'on a compris comment va se dérouler notre lecture, on prend pied et c'est vraiment très intéressant, même si ce n'est pas ce qu'il y a de plus novateur. J'ai déjà pu lire ou voir cette thématique (pas tout à fait la même, mais dans l'esprit) dans des titres comme The Morose Monokean (deux saisons disponibles chez Crunchyroll) ou Noragami (19 tomes disponibles chez Pika) et qui sont plus simple à prendre en main.

Bakemonogatari est un titre qui se mérite car le début est poussif, mais qui se révèle vraiment captivant dans le dernier quart du volume. On sent qu'on a ici un tome introductif et il faudra voir si les choses décollent par la suite, mais pour le moment, c'est assez efficace, et les dessins de Oh ! Great aident grandement. du coté de l'édition, c'est également très bon, avec une couverture très belle qui est recouverte par endroits d'un vernis sélectif qui fait ressortir les armes de Hitagi. le seul petit reproche que je pourrais faire, c'est la couleur un peu crème, blanc cassé des pages, j'ai une préférence quand c'est bien blanc, mais bon, ce n'est qu'une question de gout ^^
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Bakemonogatari est une petite curiosité qui m'a rendu davantage perplexe qu'admiratif. Pourquoi ? Parce que j'ai trouvé ce premier tome un peu difficile d'accès dans un scénario qui peine laborieusement à se dévoiler... Sommes-nous dans un manga de vampire façon tokyo ghoul ? Sommes-nous dans un simple titre horrifique ? Dans un thriller psychologique ? Sans vouloir l'enfermer dans un genre, j'ai trouvé ce seinen un peu décousu et il faut attendre les derniers chapitres pour avoir une idée de l'intrigue général de ce titre.
J'ai pratiquement lu deux fois ce titre et j'avoue ne pas en être enchanté. Je verrais si la donne change au second tome mais pour l'instant, je reste un peu perplexe devant cette intrigue qui est peut-être mieux écrite dans le light novel de base justement.
Ce qui fait la qualité de ce manga, c'est surtout le dessin d'Oh!Great. Je n'ai pas honte de l'avouer, je découvre le travail de ce monsieur et je dis bravo monsieur. Graphiquement, je trouve ce titre assez atypiques. Les traits des personnages sont fins, adultes avec un petit coté ecchi bien réalisé. J'ai remarqué certains critiques qui trouvent que ce titre tombe un peu dans la perversité. Honnêtement comparé à certaines séries bien ecchi tel que Word end's harem ou Monster Mushune, sans compter fairy tail qui bascule dans pas mal de fan service, j'ai trouvé ce titre assez jolie dans son esthétique sexy. Ce n'était pas dérangeant, certes, cela allégeait, parfois un peu trop, le ton sérieux mais j'ai trouvé que cela correspondait bien à l'ambiance de ce manga qui va se focaliser sur des jeunes hantés par une chimère suite à un traumatisme. Il y a un certain trouble que le dessin d'Oh!Great parvient à refléter.
Graphiquement, j'ai beaucoup aimé le rendu noir/blanc assez percutant avec de super jeux d'ombres et de lumière qui accentue une ambiance presque claustro du manga sans compter une diversité de plans assez variés tout en plongée, contre-plongées, diagonales ou très gros plans. Par exemple, il y a notamment un plan à l'intérieur d'une bouche dans laquelle une lame de cutter menace un tranchage directe. Un autre plan magnifique en plongée où nous voyons le héros sur son vélo en train d'être attiré par une vampire démembrée. On voit le héros d'au -dessus ainsi que son ombre comme si elle était sur le point d'être aspiré. Je trouve qu'il y a vraiment de bonnes idées de plans de caméra qui donnent beaucoup de style et d'énergie au titre malgré la lourde pesanteur du scénario.

En somme, Bakemonogatari n'est pas un manga qui m'a totalement rebuté grâce notamment au travail d'Oh!Great qui distille une atmosphère graphique plutôt géniale dans ce titre à la fois troublante et dynamique. Je suis davantage sceptique quand au scénario qui, pour moi, a du mal à se clarifier, à se poser clairement sur des rails. La fin de ce premier volet nous laisse deviner que ce titre va se concentrer sur des problèmes intimes de lycéens qui se retrouvent possédés par un dieu, une sorte de chimère qui les hantent suite à un traumatisme. Pourquoi pas ? On va voir si le second tome va rester sur cette lignée , va davantage étoffer l'intrigue. À voir. Pour ma part, je vais peut -être aussi me plonger dans les light novel, histoire de connaitre davantage le matériau de base.


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Difficile de présenter l'histoire de ce manga sans spoiler l'intrigue. Disons qu'un jeune lycéen veut aider une camarade de classe qui semble avoir perdu toute présence.

Le dessin est vraiment magnifique, pas de soucis là dessus. Les personnages sont bien campés, facile à identifier et vraiment profond.

Non le truc qui me gêne c'est presque ce dessin trop parfait, des personnages trop archéypaux. C'est idiot mais j'ai l'impression qu'on me vend LA série du siècle alors qu'on démarre tout juste...

Ce n'est pas gênant, c'est juste un drôle de sentiment qui bride un peu mon enthousiasme.

À voir avec les prochaines tomes, si j'accroche sans réserve.
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La première chose qui m'a attiré dans ce nouveau manga ce sont les dessins. J'ai tout de suite reconnu l'oeuvre de Oh!Great que j'avais beaucoup aimé dans son manga précédent Air Gear. Il a un style bien particulier et bien à lui, reconnaissable entre mille. C'est un dessinateur qui vient du milieu du hentai, des manga pornographique, et ça se voit. Ça reste grand public mais il y a toujours des poses suggestives. C'est agréable à l'oeil sans tomber dans le vulgaire.

L'histoire en elle-même m'a intrigué alors je me suis laissé tenté, encore plus après les conseils de mon libraire. Niveau dessins, rien à dire, c'est au top. L'histoire par contre m'a drôlement étonné. Je ne m'attendais pas du tout à cela, d'après le synopsis. À noter que NisiOisiN est l'auteur du light novel sur Death Note. Quand on le sait, on se rend vite compte que la narration de Bakemonogatari n'est pas sans rappeler celle d'un roman. Clairement, ce n'est pas un shonen, le manga s'adresse à un public adulte. Il y a bien des scènes de combat mais c'est avant tout un manga psychologique. Les dessins énergiques de Oh!Great pourraient laisser penser le contraire mais nous avons bien là un manga d'urban fantasy dans un monde ou les chimères parasitent les humains.

J'ai apprécié ma lecture parce qu'elle sort de l'ordinaire. Par contre je dois avouer que je ne me serai pas forcément laissé tenter par l'expérience si les dessins avaient été réalisés par un autre mangaka. La grande force de Bakemonogatari viens de son histoire chimérique mais surtout de la qualité des dessins.

Nous découvrirons dans chaque tome un nouveau destin d'adolescents tourmenté autant par une chimère que par les remous dû à leur age ou les défaillances de la société japonaise. Chaque adolescent cache un secret, l'auteur manie habillement sa plume pour que celui-ci nous soit révélé à la fin du tome. Effet de surprise garanti, sans ennui.

Un manga particulier qui amène sans doute un vent de fraîcheur. Laissez vous tentez.
Lien : https://lesinstantsvolesalav..
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Laissez-vous séduire par le manga Bakemonogatari. Avec son scénario et son univers riche, je pense qu'il saura ravir les amateurs du genre. Il s'agit d'un manga très intéressant qui, je pense, mérite d'être lu. J'ai aimé découvrir son folklore, les croyances et l'univers paranormal qui enveloppe la série. le fanservice, bien qu'il soit présent, n'est pas pour autant agressant. Il semble bien dosé même si je l'ai parfois trouvé un peu inutile. Cela apporte de l'humour à une situation qui aurait dû être sérieuse et j'apprécie un peu moins l'idée, dans ces cas-là. Les dessins sont absolument magnifiques et l'histoire est vraiment prometteuse. Je me suis attaché à Hitagi dès le premier tome alors j'ai bien hâte de voir ce que la suite nous réserve !

N'hésitez pas à lire ma critique complète ici.
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