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3,74

sur 481 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
J'ai lu Hex et j'ai ADORÉ !

En règle générale je suis pas une grande fan d'histoire de sorcières au sens classique, mais ici on parle d'une sorcière à la bouche et aux yeux cousus, rôdant dans la ville de Black Spring.

A cause de cette sorcière, tous les habitants de cette ville sont maudits, et à jamais, mais surtout, interdiction de révéler l'existence de la sorcière sinon...

Jusqu'au jour où un groupe de jeune de la ville tente de faire changer les choses, ils ne veulent plus vivre comme ça, mais les actes ont des conséquences.

J'ai adoré ma lecture, c'était tellement prenant, intense !
J'avais tellement envie de savoir de quoi était capable la sorcière.
Le suspens nous tient du début à la fin et s'il y a bien une question que l'on se pose à la fin de ce roman c'est : Qui de l'homme ou de la sorcière est le plus cruel ?

Suite à cette lecture j'ai cherché à lire quelque chose d'un peu similaire, roman à suspens mêlant surnaturel et horreur, (bien que ce roman ne fasse pas réellement peur) tout en restant original, mais je n'ai rien trouvé qui me donne autant envie que ce roman, qui a été une bonne claque !
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Ca commence sur un un ton léger et un peu comique. Puis au fil des pages et des chapitres l'auteur installe une ambiance pesante, distille la folie et la mort pour arriver à un final en apothéose.
Le roman est bien écrit, les personnages bien construits.
Hex est un roman d'horreur qui parle de la famille, de l'amour des parents pour leurs enfants et de ce qu'ils sont prêts à faire pour les protéger.
C'est aussi un plaidoyer contre l'individualisme et la violence qui envahit la foule dès qu'il est plus pratique de chercher un bouc émissaire plutôt que de regarder ses propres fautes en face.
Hex est un roman déroutant, sans happy end, qui prends souvent aux tripes. Une lecture que je recommande.
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Ils deviennent rare les romans qui me donnent des frissons. Mais celui-ci m'a fait ressentir l'effroi.
J'ai été embarquée dès le départ dans cette histoire qui prend littéralement aux tripes et qui ne lâche pas le spectateur.
Vraiment très original et brillamment bien écrit.
Lien : https://letmentertainyou.com..
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Cette histoire commence très très fort. Nous sommes directement projetés, embarqués dans Black Spring, sans pouvoir faire demi - tour. Bienvenue dans cette petite ville, à première vue, sympathique ! Dans la 1ère partie, on nous raconte légendes anciennes et conséquences des malédictions dûes à Katerine que nous rencontrerons de la plus naturelle des façons ! La tension monte petit à petit assez rapidement et finit par prendre un violent tournant assez inattendu. La violence du contexte nous rattrape, arrive brutalement et pleins d'événements s'enchaînent. C'est vraiment effrayant ! Notre cerveau n'a pas le temps d'accepter l'événement qui vient de se produire qu'un autre bouleversement arrive. A chaque fois que Katerine apparait je me suis senti stressé me demandant quel drame allait encore se produire.
Dans la partie 2, c'est l'incompréhension. Totale. On a l'impression d'avoir loupé plusieurs chapitres. Et quand on pense que c'est fini et bah non en fait !! Tout s'accélère. C'est terrifiant. C'est tellement bien écrit que je voyais les scènes se dérouler dans ma tête ! L'intrigue est donc encore plus efficace.
Et finalement j'ai été tellement déçu de la fin ! Je ne veux pas spoiler donc je ne dirai pas grand-chose la dessus mais cette fin est bien trop mystérieuse, j'aurai voulu avoir plus de réponses.
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C'est La découverte littéraire de l'année 🤩 un thriller horreur néerlandais complément hors norme!
Conseillé par King ma chronique ne fera que renforcer l'envie des adeptes de la peur et des sorcières et de vouloir le découvrir!

Nous sommes à Black spring où vit Katherine une vieille habitante de plus de 300 ans qui fait régner une loi vieille du XVII ieme siècle pour préserver ses habitants.
En effet, cette sorcière a fait de cette ville son exutoire suite à sa condamnation pour sorcellerie. Personne n'en sort indemne une fois installé.
Mais le tour de force de l'histoire réside dans la plume machiavélique de l'auteur, fort de sa culture néerlandaise sur les sorcières il arrive à nous immerger dans cet espace géographique coupé de toute croyance raisonnable et rationnelle. Les lignes dystopiques et poétiques intellectuelles renforce le récit de cette terrible malédiction.
Une histoire à faire frémir les plus avertis, à combler les frustrés de belles lectures, et à remettre en question nos croyances en l'humain !
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Comme toujours à l'arrivée de l'automne, je me suis mise à la recherche d'une lecture horrifique avec des éléments fantastiques. Ce n'est pas toujours facile de trouver quelque chose qui soit à la fois prenant, effrayant et surprenant. Pour mon plus grand bonheur, Hex a été les trois à la fois !

On est passé à un cheveu du coup de coeur. Pour moi, nous avons là un excellent roman d'horreur pétri de qualités. le résumé à lui seul fait déjà envie, et on n'est pas déçus par la lecture !

Avant tout, l'écriture est un gros point fort du récit. L'auteur arrive à nous poser le contexte et l'ensemble du décor très vite, en nous plongeant immédiatement dans le vif du sujet. Par la suite, tout s'enchaîne avec fluidité et assez vite pour ne jamais s'ennuyer. J'avoue que pour ce genre de lecture, c'est vraiment tout ce que je demande ! de l'action, de l'ambiance et du frisson.

Au fil du récit, on se demande si la menace de la sorcière n'est pas un brin exagérée, comme certains protagonistes, avant de se faire une certitude du danger qui plane sur la ville. Les personnages sont bien exploités et assez bien travaillés pour être crédibles et pour qu'on s'attache à eux. On en vient à en apprécier beaucoup certains et à en détester d'autres (coucou Jaydon...).

Le plus marquant pour moi a été la fin. Une fin de récit menée tambour battant, qui m'a laissée dans une situation de stress jusqu'au bout de ma lecture. Jusqu'à la dernière ligne, l'auteur ne nous lâche pas. Avec une question, quand on referme enfin le volume. Finalement, qu'est-ce qui est le pire ? Qui a vraiment été à l'origine de tous les événements de Black Spring ? La sorcière, dont on vient à douter des réelles motivations ? Les habitants, pas forcément tous aussi vertueux qu'ils veulent le faire croire ? Ou carrément les lieux, qui seraient à l'origine de tragédies à répétition depuis des siècles ?

La fin a également le mérite de faire se poser pas mal de questions. On remet en cause la nature humaine et ses travers, avec une profondeur qu'on ne s'attend pas forcément à trouver dans un roman d'horreur. Franchement une belle découverte dont j'ai tourné les pages avec frénésie jusqu'au bout.
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Imaginez-vous être dans votre chambre la nuit. Déshydraté, vous sortez pour vous servir un verre d'eau. Une atmosphère oppressante vous entoure, au fur et à mesure de vos pas. Des bruits de chaînes. Vous allumez la lumière, et vous la voyez. Katherine van Wyler, la sorcière de Black Spring. Yeux et bouches cousus, elle est là. Elle ne bouge pas… et elle ne bougera pas. Vous passerez la nuit sans aucun danger, mais avec une sorcière vieille de quatre siècles dans votre cuisine. Voici Hex de Thomas Olde Heuvelt, un roman qui m'a fait frissonner !

¤ Je ne pensais pas pouvoir avoir peur en lisant

Je n'ai jamais ouvert un livre d'horreur. le genre ne m'avait jamais réellement tenté. On ne m'a jamais raconté une histoire au coin du feu. Écouter et avoir peur n'était qu'un truc pour enfant. Comment des mots sur du papier pouvaient-ils m'effrayer ? En voyant l'e-book dans ma bibliothèque numérique, le résumé d'Hex me tenta bien, d'autant plus que livre semblait avoir été validé par Stephen King, j'ai de suite pensé que c'était là une bonne opération. Je dois dire que la surprise fut bonne. Peut-être que le mot « peut » est légèrement poussé, mais Hex m'a réellement fait frissonner avant tout par l'ambiance que le néerlandais Thomas Olde Heuvelt a placée. L'immersion était prioritaire, d'autant plus que c'était un format e-book. Chaque soir, plongé dans le noir et dans le silence, je défilais les pages. Et plus j'avançais dans l'histoire, plus je défilais. Jusqu'à la dernière page.

¤ Black Spring et Katherine

Hex prend son nom de l'agence chargée de surveiller Katherine. Katherine van Wyler est une femme néerlandaise arrivée durant le XVIIe siècle au Nouveau Monde. La vieille femme fut accusée de sorcellerie quand les villageois de New Beeck ont vu son fils mort courir dans les rues de la ville. Depuis, elle hante les rues de la rebaptisée Black Spring, entrant à sa guise chez les gens. Katherine n'est jamais sorti de Black Spring, et quiconque entre dans Black Spring n'en ressort jamais. Thomas Olde Heuvelt dans Hex nous raconte alors la vie de ces villageois et de leur charmante compagnie. Les traumatisés Holst, la famille Grant, les membres de l'agence Hex ou encore les nouveaux venus Delarosa et les voisins Vandermeer. Une galerie de portraits superbement bien dressés qui chapitre après chapitre nous racontent leurs péripéties. Au centre d'entre elles, bien évidemment Katherine. Black Spring se fiche des lois internationales, seul compte le Décret d'exception afin de vivre en harmonie avec Katherine et ne pas reproduire les erreurs du passé. Parmi les mesures prises, l'interdiction de s'en approcher… Ses yeux et sa bouche cousus ne le sont pas pour rien. Et c'est sous cet aspect que Katherine est effrayante. Thomas Olde Heuvelt nous effraie par l'ambiance qu'il crée dans Hex. Dès que Katherine était présente, je ressentais aussitôt une oppression et une angoisse. Tout comme les habitants de Black Spring qui vivent depuis des années, parfois depuis leur naissance avec Katherine mais ne s'y sont toujours pas habitués. Derrière des profils quelque peu étranges, c'est tout un village auquel on s'attache.

¤ Des jeunes et leur soif de liberté à Black Spring

Si Black Spring vit avec ce fardeau depuis des siècles, que se passe-t-il pour qu'une histoire nous soit contée ? C'est un peu comme mai 68 finalement. Les jeunes adolescents de Black Spring n'en peuvent plus de vivre avec ce qui les prive de leur liberté. Katherine ? L'Hex ? En tout cas, toutes ces lois liberticides qui les empêchent de publier et de diffuser ce qu'ils veulent, de voir les gens qu'ils aiment, de partir découvrir le monde. le projet OLY est monté… Il contrevient à beaucoup de lois du Décret d'exception il faut se le dire. Alors même que les parents de ces jeunes pour la plupart siègent au Conseil et que chacun sait ce qu'il risque.

¤ Une violence terrible(ment) clichée ?

Hex est un concept qui utilise des ingrédients pour la plupart basiques mais qui se marient très bien entre eux pour nous livrer une histoire dans un cadre atypique… quelque peu typique. Par là, j'entends le recours à de vieilles légendes dignes du passé toujours omniprésentes dans l'esprit des populations présentes. À cela s'ajoute l'esprit « village » où tout le monde se connait, une unité urbaine plutôt petite avec des forêts aux alentours. Une Église et des croyants – même s'ils ne le sont pas tous. Et des lois… originales pour notre époque. Ce village confiné est un monde dans un monde, l'irréalisme de la chose est contrebalancé par le fait que le contact avec le monde existe bien. Black Spring est dans un dôme, mais dôme ouvert et filtré. Des bases solides qui produisent une histoire qui reste pour moi originale et superbe. Une histoire tout de même violente, et tristement violente. Il y a des scènes qui ont été marquantes, même je dirais déchirante. D'autres pour lesquelles je ne pensais pas que ça allait se produire, ou même imaginer que l'on puisse écrire cela. La violence contre les enfants est généralement évitée dans les oeuvres visuelles, je ne m'attendais pas à ce que Hex y recourt autant je l'avoue. Outre la violence physique, il y a beaucoup de violence psychologique, autant pour les personnages que pour nous. C'est assez malsain mais c'est ce qui fait le charme de l'histoire de Thomas Olde Heuvelt.

¤ Une histoire intelligente

Thomas Olde Heuvelt ne s'est pas contenté de l'horreur dans Hex. Oh bien que non. L'histoire d'après lui a été remaniée pour la version anglaise – celle que j'ai lue – il a notamment transformé la fin. Une fin véritablement intelligente qui nous impose la réflexion. Ce que je trouve puissant, c'est tout de même le gouffre qui s'impose à nous entre notre position au début de l'histoire et à la fin. Je le dis à demi-mots pour ne spoiler les futurs lecteurs et ceux qui l'ont déjà lu sauront sans doute de quoi je parle. Mais finalement, nous sommes un peu les sujets d'expérience au même que les habitants de Black Spring, notre vision des choses est semblable étant donné que nous n'avons pas été maître des mots. Quant à la toute fin d'Hex, comme à mon habitude, cette fin en demi-teinte m'embête car elle amène bien trop de mystères auxquels nous n'aurons jamais les réponses.
Lien : https://leschroniquesdejerem..
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Avec cet ouvrage de Thomas Olde Heuvelt, on est averti. Si tu entres dans ce village (et dans cette histoire) tu ne peux plus en sortir. L'ouvrage est aussi addictif que les personnages sont pris au piège de leurs propres peurs. Chacun semble s'être fait à la présence de la sorcière, cette femme sans âge, flétrie, nauséabonde et dont la bouche est cousue; à ce champ de force qui resserre l'étau sur le village et ses habitants jusqu'au désastre.
Et si finalement, l'effroi était bien plus réel qu'il n'y paraît...

Gros coup de coeur 🖤

Dans le genre livre d'horreur je pose ça là. Je suis littéralement raide dingue de cette histoire flippante à souhait et tellement addictive... même pas sûre de le regarder un jour s'il sort au ciné

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Bonjour à tous!

C'est avec peine que je viens partager ma critique sur ce livre.

C'est grâce à vous que je l'ai découvert, vos bonnes critiques ont attiré mon intérêt.

J'avoue que je me sers beaucoup de ce site pour trouver de quoi me rendre heureuse. Je ne peux pas me rendre en librairie, feuilleter et me laisser tenter (je suis invalide des jambes)

Je n'aime pas faire des résumés de l'histoire dans mes critiques, le 4ème de couverture sert à cela, je mise plutôt pour les sensations et les émotions
Surprise, émoi, amitié, cruauté, rancœur, rage, peur et curiosité...

Je cherchais : de la peur, du suspense,de l'effroi, du fantastique, un rythme soutenu, une accroche incroyable, des personnages prenants...
Et bien! Bingo !
Ce roman est digne d'un SK, d'ailleurs s'il a apprécié la lecture ce n'est pas pour rien

Oui j'ai eu de la peine car quand j'ai fermé le livre, j'ai ressenti un vide me disant que cela sera très difficile de retrouver cette magie dans un autre roman

Laissez vous tenter cela ne sera pas une déception (Ils comptent en faire une série Oui!!!!)

Bonne lecture et à très bientôt

Christine
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Voilà un roman qui m'a clairement attiré par la recommandation du maître King et je ne regrette pas du tout d'avoir demandé ce roman lors d'un précédent Noël. En quelques mots, nous suivons une famille qui habite dans une ville aux États-Unis qui a la particularité d'être maudite par une sorcière, Katherine. Quiconque s'installe dans cette ville, Black Spring, ne peut plus en repartir au risque de succomber à la malédiction.

J'ai été un peu déstabilisée au départ car nous débarquons directement dans la vie des personnages où la sorcière tient une place importante. Elle nous est à peine présentée tant elle fait partie du paysage et de leur quotidien. J'ai donc dû relire le 4ème de couverture pour bien comprendre.

Il y a un étrange contraste entre l'ambiance générale de la ville qui semble plongée dans le passé et qui est pourtant ouverte au monde puisque des touristes peuvent y circuler. Les habitants jouissent de toute la modernité, comme Internet, même si certaines choses leurs sont interdites. Car le public ne doit pas apprendre l'existence de Katherine. Les habitants peuvent aller librement dans d'autres lieux... tant qu'ils reviennent rapidement. Au bout d'une semaine, les premiers symptômes de la malédiction apparaissent.

Nous voilà donc plongés dans le quotidien de la famille Grant. L'intrigue prend le temps de s'installer gentiment, ainsi le lecteur comprend mieux le contexte et tout comme les habitants de Black Spring, nous nous habituons à Katherine... quitte à ne plus envisager le danger qu'elle représente. Jusqu'à ce que des adolescents décident de s'en mêler.

J'ai retrouvé l'influence de Stephen King dans la façon de construire l'histoire, de décrire les scènes marquantes et dans le profil des personnages. Mais rassurez-vous l'auteur a sa propre patte originale.

Les personnages de la famille Grant sont sympathiques mais j'ai eu surtout de l'affection pour Tyler, le fils aîné. Globalement, je n'ai pas forcément été attachée aux autres, ni même aux "méchants" car la véritable héroïne c'est bel et bien Katherine. Elle a un fort charisme et on s'attache curieusement à elle malgré le fait qu'elle ne parle pas et que nous ne sommes pas depuis son point de vue. Les idées développées sont bonnes et bien plus profondes qu'elles n'y paraissent au premier abord. Au travers de Katherine, pourtant vieille de plusieurs siècles, l'auteur traite de plusieurs thématiques très modernes. J'ai particulièrement apprécié le fait qu'on ne sait pas toujours ce qui relève réellement de la malédiction ou bien des conséquences naturels des actes des personnages.

Un peu comme dans Dôme du maître King, le fait de vivre en huis-clos (même si Black Spring reste ouverte au monde), exacerbe le pire chez les gens et on retrouve les mêmes genre d'abus par les personnes de pouvoir et surtout le terrifiant effet de foule dont la bêtise me glace toujours autant d'effroi.


A la moitié du roman, les choses commencent à déraper. Certaines scènes étaient vraiment flippantes et prenantes. Des rebondissements sont très bien trouvés et j'ai été soufflée par des conséquences sur lesquelles je ne peux pas m'attarder sous peine de vous gâcher le plaisir.


La fin, pourtant grandiose, m'a laissé un peu sur ma faim. Soit l'auteur en a trop dit sur Katherine soit pas assez. Dans les remerciements, l'auteur nous indique qu'il a profité de la traduction de son roman en anglais (à la base il est néerlandais) pour modifier la conclusion... sans nous dire en quoi elle diffère !


En résumé cela a été une très bonne lecture, bluffante, prenante et terrifiante. Les idées sont vraiment originales et la réussite tient beaucoup au personnage de Katherine.Mon année de lecture commence très bien ! Je vais surveiller cet auteur de près.
Lien : https://dryade-intersiderale..
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