AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,48

sur 282 notes
"Le patient anglais", c'est avant tout une poésie âpre et rude, aussi blessante et brûlante que le souffle du Sahara. C'est ensuite une atmosphère, celle de la Seconde Guerre mondiale, que l'on croit bien connaître au fil des témoignages et des lectures mais que l'auteur nous présente ici sous un angle nouveau, celui du minage de la retraite des vaincus pour ralentir l'avancée des Alliés et leur occasionner de lourdes pertes. Enfin, "Le patient anglais", ce sont trois histoires qui s'entremêlent dans un ballet poignant : celle d'Hana, la jeune infirmière canadienne, celle de Kip, le jeune sapeur indien, et celle du fameux patient anglais, l'homme mystère, ce grand brûlé rescapé du crash de son avion en plein désert.

Si, ouvrant les pages de ce roman, vous pensez y retrouver le romantisme de son adaptation cinématographique, vous risquez d'être déçus. Comme je vous le disais, le récit est avant tout âpre et la narration est déstructurée, elle est une énigme que vous aurez à résoudre, récoltant patiemment les indices cachés par l'auteur dans son oeuvre.

Michael Ondaatje est né au Sri Lanka et même s'il a la nationalité canadienne, bon sang ne saurait mentir, on retrouve dans sa plume le flegme et l'absence de stress des Indiens. D'où ce rythme lent qui pourrait rebuter une majorité de lecteurs et qui m'a souvent obligée à m'accrocher pour ne pas laisser mon intérêt se déliter. L'auteur nous emmène de la fertile campagne anglaise à l'aride étendue du désert de Lybie, de Florence au Caire. le mystère qui entoure l'identité et le parcours du patient anglais est à peine éclairé par les quelques flash-back retraçant la passion adultérine qu'il a partagée avec Katharine Clifton. Paralysé par ses brûlures, le corps réduit à un vulgaire morceau de carbone, le patient anglais est livré aux soins attentionnés d'Hana qui l'a isolé du corps sanitaire de l'armée et l'a installé dans les ruines d'une villa toscane. Dans ce décor hors du temps et hors du commun, les personnalités vont se révéler, les sentiments se développer et la vie renaître tant bien que mal, malgré des passés chahutés.

Une lecture en demi-teinte que j'aurai moyennement appréciée au final. Le style est très littéraire, sans aucun doute talentueux mais aussi très souvent abscons, jusqu'au surréalisme. Et mieux vaut avoir lu "Kim" de Kipling avant de découvrir "Le patient anglais", Ondaatje s'y référant fréquemment, ce qui n'a rien de surprenant étant donnée la mixité de ses influences culturelles.


Challenge de lecture 2015 - Un livre adapté en film
Challenge AUTOUR DU MONDE
Commenter  J’apprécie          584
Je sors de ce roman avec l'impression désagréable d'une chevauchée ratée : après une mise en selle pénible dans les premières pages, obscures et déstructurées, j'ai passé l'essentiel de ma lecture à me faire désarçonner avec la sensation de me retrouver régulièrement le cul par terre à regarder passer ma monture, une bête splendide mais qui visiblement ne voulait pas de moi.
Au vu des critiques, cela me rassure de ne pas être la seule à être passée à côté de ce récit primé, à ne pas avoir saisi le sens, à n'avoir pas compati aux personnages que, à l'exception de Kip le sapeur sikh, j'ai regardé passer comme des ombres, à ne pas avoir été sensible à cette évocation-là de la barbarie de la guerre, à n'avoir pas compris la place qu'y tient le désert.
ça me met en rogne un échec de lecture pareil, mais ce sont des choses qui arrivent à nous autres lecteurs.
Commenter  J’apprécie          375
Je ne me serais jamais lancée dans la lecture de ce livre si je n'avais pas autant apprécié le film du même nom.
Je suis partie du postulat qui pour l'instant s'est toujours révélé exact que les oeuvres littéraires dont sont tirées les films sont en général bien meilleures que les dits-films...Eh ben, la, j'ai trouvé l'exception qui confirme la règle.
Autant j'avais apprécié le film d'Anthony Minghella sublimé par la musique envoutante de Gabriel Yared, autant je n'ai pas accroché plus que cela au livre.
J'ai trouvé les personnages pas toujours très attachants et developpés, entre autres Katherine, et surtout j'ai eu par moments de la peine à suivre le fil conducteur de la narration.
Une lecture en demi-teinte donc, et même si le livre n'est pas mauvais, j'affirme haut et fort que le film est bien mieux...et puis c'est tout !!
Commenter  J’apprécie          345
C'est la fin de la Seconde Guerre mondiale. Au coeur de l'Italie, dans un monastère dévasté converti en hôpital de fortune délaissé, Hana la jeune infirmière canadienne prend soin de son unique patient : un anglais grièvement brûlé sur tout le corps. Qui est-il ? Elle, Caravaggio l'Italien ami de la famille et Kip le sapeur sikh se retrouvent sur place, pour des raisons variées, et semblent considérer l'endroit comme un point de chute où leurs âmes égarées font l'analyse de tout ce qui leur est arrivé...

+__+

Si si, je sais que j'ai un avis après la lecture de ce livre, des ressentis multiples et variés, une appréciation... Mais laissez-moi rassembler mes idées avant, laissez-moi... atterrir.
Parce que ce bouquin a de quoi laisser coi et pantois, la bouche et les yeux grands ouverts d'incompréhension, voire même... de perdition.
Je me sens bête, mais je n'ai pas compris. "Quoi ?" me demanderez-vous. Je n'ai pas compris le sens, l'intérêt, les images, l'écriture, la construction, la soi-disant beauté qui a valu à cet ouvrage d'innombrables critiques élogieuses ainsi que le Man Booker Prize. le style est hyper personnel, obscur et ô combien abstrait. Les évènements s'enchaînent parfois sans queue ni tête, avec des retours en arrière ou avant loin d'être aisés à suivre. Les métaphores sont extrêmement énigmatiques et pour beaucoup inintelligibles, avec des formations de phrases plus qu'alambiquées. Combien de fois ai-je relu un passage pour mieux comprendre, sans toujours au final ne rien comprendre, me demandant à chaque fois "mais de quoi/de qui parle-t-il bon sang ?!!". Des gestes étranges, des personnages qui sortent de nulle part dans des situations qui arrivent à l'improviste, sans jamais avoir d'explication.
En outre les personnages sont loin d'être attachants, sauf peut-être Kip, dont les passages sur son travail en Angleterre sont les plus forts (et les plus limpides... cause à effet). Certainement parce qu'ils ne sont pas si clairs, eux et les relations qu'ils ont. La fin est aussi impénétrable que le reste.
Faut-il mériter ce livre ? Faut-il l'étudier comme à la fac pour en dégager le sens réel ?? Que faut-il donc pour l'apprécier ? Pour l'aborder ? Je n'ai pas compris et j'en ressors interdite.
Lien : http://livriotheque.free.fr/..
Commenter  J’apprécie          281
De l'inconvénient d'avoir vu le film, au lieu de lire d'abord le livre.

Le film, il faut le dire se focalisait sur l'histoire du grand brûlé qu'était le comte Almasy en essayant de faire comprendre l'histoire d'amour intense qu'il avait eue avec Mrs Clifton. Ce qui ne correspond en rien à la réalité historique, puisque si le comte Almasy a effectivement découvert un site préhistorique de toute beauté, il était avant tout un aventurier homosexuel dans la vraie vie. Qu'importe.

Quand on a dans les yeux la photographie superbe du film primé par neuf oscars, il faut se plonger dans une réalité livresque toute différente qui est totalement ancrée sur l'actualité de la seconde guerre mondiale en Italie. Même si un chapitre est intitulé Katherine, et si Mrs Clifton apparaît bien de-ci, de-là dans le livre.

Une très belle écriture. Mais j'ai gardé en moi l'image plus envoutante du film.
Commenter  J’apprécie          264
Retour de lecture sur "Le patient anglais", un roman de Michael Ondaatje, écrivain canado-srilankais, publié en 1992, initialement sous le titre “L'homme flambé”. Ce livre a été adapté en 1996 au cinéma par le réalisateur Anthony Minghella, dans un film qui a raflé pas moins de 9 oscars. Il raconte l'histoire, qui se passe en Italie à la fin de la deuxième guerre mondiale, de quatre personnages: Hannah, une jeune infirmière qui veille sur un aviateur anglais grand brûlé, Cravaggio un ancien voleur devenu espion, et Kip un Sikh indien qui est démineur. Ils se retrouvent tous les quatre par différents hasards dans une villa italienne transformée en hôpital de campagne, sur les hauteurs de Florence. Dans une ambiance de chaos, isolés du reste du monde et entourés de mines, on suivra pendant plusieurs semaines l'évolution des relations qui se tissent progressivement entre eux, on découvrira surtout les secrets de chacun, et l'histoire qui se cache derrière le mystère de cet homme flambé. Qui est-il vraiment ? Un espion ? Un aviateur ? Un explorateur ? C'est un livre qui est dans ma bibliothèque depuis la sortie du film. J'avais beaucoup aimé celui-ci, impressionné à l'époque par la photographie époustouflante sur grand écran, la qualité de la réalisation bien que très académique, et surtout par l'interprétation de Kristin Scott Thomas et dans une moindre mesure par celle de Ralph Fiennes. J'étais longtemps sceptique quant à l'intérêt de lire ce livre, mais finalement, comme souvent, il apporte une version tout à fait différente du récit, même si la trame est globalement la même. Il est beaucoup moins axé sur la romance, avec une vision beaucoup plus noire et désabusée du monde, il y a donc un réel intérêt à le lire, même connaissant le film. J'ai retrouvé avec grand plaisir cette histoire, qui parle d'espions, d'amour, de trahison, sur fond d'explorations dans le désert libyen et ensuite de fin de guerre en Italie. le gros souci avec ce livre, et qui est son principal défaut, réside dans la narration. Malgré des images très poétiques, celle-ci est terriblement chaotique, manque de fluidité et surtout de clarté. La concordance des temps est aléatoire, on passe régulièrement du passé au présent. D'un paragraphe à l'autre, on change de personnage sans forcément comprendre de qui il s'agit. Les descriptifs manquent de précision, de détails, ce qui limite notre capacité à imaginer les scènes. Tout cela donne une impression de manque de maîtrise, de fouillis. On peut laisser à l'auteur le bénéfice du doute, et supposer qu'il a fait cela de manière intentionnelle pour exprimer le chaos et les traumatismes de la guerre, il n'empêche que cela plombe fortement cette lecture et lui donne un côté très désagréable et difficile à suivre. Si on arrive malgré tout, et tant bien que mal, à rattacher les wagons, on trouvera dans ce livre quelques grandes qualités qui rendent la lecture intéressante. C'est écrit avec beaucoup de sensibilité, un récit complexe d'une belle densité, avec trois histoires qui s'entremêlent, pour finalement rassembler ces quatre personnages fantomatiques en un même lieu. Ils essayent d'y retrouver un sens à leur vie, de garder leur humanité et même de vivre un amour quitte à ce qu'il soit désespéré, au milieu de ce chaos de fin de guerre. Il y a dans ce livre une dimension philosophique totalement absente dans le film. le décor de ce huis-clos, dans cette villa-hôpital abandonnée, et l'atmosphère que l'auteur a su magnifiquement créer autour d'elle, collent parfaitement à ce récit. le livre montre également une facette de la guerre dont on parle rarement : celle des lignes arrières saturées de pièges et de mines après le retrait des vaincus et les démineurs qui risquent leur vie à chaque instant pour tout nettoyer. le tout est très crédible et pour ce qui est du travail des démineurs, très détaillé et instructif. C'est pour conclure une lecture qui, malgré ses gros défauts, reste globalement positive et intéressante. C'est, par rapport au film, une toute autre manière de raconter cette histoire, beaucoup moins portée sur l'esthétique et la romance, mais bien plus profonde, dense, et noire.
Commenter  J’apprécie          232
Une grande part de l'intrigue de ce somptueux roman qui a obtenu le « Booker Prize » se déroule lors de l'avancée des Alliés remontant la Péninsule italienne, dans la villa San Girolamo, un ancien monastère toscan à moitié détruit par les bombes. C'est là qu'Hana, une infirmière de l'armée canadienne soigne le comte László de Almásy, un cartographe hongrois brûlé en Afrique du Nord, qui peu à peu révèle les secrets de ses expéditions et de son histoire d'amour avec Katharine Clifton. C'est aussi dans cette abbaye, proche de Pienza dans le film – mais il semble qu'Ondaatje se soit plutôt inspiré d'une villa de Fiesole pour son roman – qu'Hana tombe amoureuse de Kip, le démineur indien. Si, comme moi, vous aviez vu le film il y a près de 20 ans, je vous encourage à lire le livre, et puis à revoir le film.
Lien : http://www.lecturesdevoyage...
Commenter  J’apprécie          202
Et voilà, j'ai enfin pu lire le roman qui est à l'origine du film si romantique d'Anthony Minghella, et que j'avais beaucoup aimé. Il me fut assez difficile d'écrire ce billet car l'oeuvre d'Ondaatje est complexe et peu simple à évoquer. Mais honneur au film pour commencer. Outre le fait que j'adorais le travail de Minghella, le sujet très romanesque du film m'avait attirée, de même que la présence au casting de l'un de mes acteurs préférés, Ralph Fiennes. le résultat fut à la hauteur de mes espérances. Et puis récemment, dans le cadre d'un troc, j'ai fini par me procurer le roman. Je dois avouer que j'ai été un peu déroutée. C'est une épopée romantique, l'histoire d'un amour qui naît dans le désert, c'est plein de souvenirs tragiques, de paysages sublimes, de mystère (mais qui est ce patient anglais, est-ce seulement sa nationalité ? Espionnait-il pour les Allemands ?) et de passion. Jusque là, tout va bien. le hic c'est que je n'ai pas véritablement réussi à aimer l'histoire.

L'amour de ce mystérieux brûlé pour le désert est palpable à chaque page, c'est un aspect du roman que j'ai préféré, avec sans doute, la relation entre Hanna et Almesy. Quant à l'histoire d'amour entre ce dernier et Katherine, elle m'a plutôt laissé de marbre. Etant donné que c'est le sujet central du roman, c'est un peu gênant... La passion entre les deux amants est plus captivante à l'écran, Kristin Scott Thomas donnant de l'épaisseur à son personnage qui bénéficie de son élégance naturelle. Dans le roman en revanche, j'ai peiné à m'intéresser à leur romance du fait du peu d'empathie éprouvé pour Katherine.

Le personnage d'Hanna (Juliette Binoche à l'écran) est quant à lui, bien plus développé dans le livre. J'ai d'ailleurs aimé tous ces moments qui se passent dans cette villa délabrée en Italie, l'écrivain ayant su rendre magnifiquement la douceur de vivre italienne, même au milieu des mines et des décombres. de plus, j'ai adoré l'écriture d'Ondaatje : travaillée, élégante, complexe. Cela m'irrite fortement de ne pas avoir davantage aimé ce récit. Je crois que si Ondaatje avait raconté une histoire d'amour en Hanna et Almesy, j'aurai été conquise. Mais là, ces quelques vies qui vont s'emboiter, se croiser, le temps de l'agonie du mystérieux patient, n'ont pas réussi à me fasciner. Me restent tout de même les souvenirs des descriptions du désert, et un beau portrait d'homme que je n'oublierai certainement pas.
Lien : http://lectures-au-coin-du-f..
Commenter  J’apprécie          160
1945 - la guerre est pratiquement terminée, les allemands, refoulés, battent en retraite et 4 personnages se retrouvent réunis par les hasards du conflit dans une villa en Toscane. Qu'ont donc en commun
le patient anglais, un grand brûlé, dépendant totalement de son infirmière,
Kip, un indien sikh, démineur, chargé de sécuriser les environs,
Caravaggio, un italien, voleur et espion, pourvoyant au ravitaillement grâce à ses chapardages
Et Hana, la jeune infirmière, trait d'union entre ces trois hommes, si différents de par leurs origines et leur vécu ?
Des liens unissent ces différents personnages et l'ouvrage va peu à peu faire émerger, le passé amoureux, douloureux, aventureux de chacun d'entre d'eux tout en tissant des liens plus ou moins fugaces entre ces 4 êtres malmenés par l'existence.

Mais que ce roman apparaît étrange, certes parcouru par moments d'un puissant souffle poétique, sa principale qualité, mais doté d'une narration si elliptique que le propos en devient parfois inintelligible, et composé d'une manière tellement hétéroclite, avec digressions superflues, je n'en donnerai pour exemple que les fastidieux cours de déminage, que le lecteur devient incapable de s'intéresser aux enchaînements de l'intrigue et aux personnages, qui du coup restent fuyants, énigmatiques et dont on finit pas se détacher complètement, laissant le lecteur dans la plus complète indifférence.

Autant j'ai été éblouie par le film fascinant tiré de ce roman, autant le roman lui-même m'a laissée non seulement insensible, mais m'a hélas plongée, par moments, dans un profond ennui.
Commenter  J’apprécie          131
Quelque part sur les hauteurs de Florence, dans une villa transformée en hôpital de campagne, quatre personnages voient leur chemin, suite aux dernier conflit mondial, pour un temps, se rencontrer. Il y a d'abord cet homme gravement brûlé lors de l'accident de son avion parti en flamme quelque part dans les sables du désert, et qu'on appelle, dans l'impossibilité où l'on se trouve de l'identifier, le patient anglais. Une jeune infirmière canadienne l'entoure de ses soins dans une sorte de sacerdoce dérisoire, alors que l'hôpital a depuis longtemps été déserté par ses médecins, son personnel hospitalier et par les blessés qui l'occupaient. Un ami de la famille de cette dernière, un peu voleur et porté sur la morphine et qui fut lors du dernier conflit un peu espion aussi, veille sur la jeune femme qu'il considère comme sa nièce et tourne autour du blessé qu'il soupçonne de ne pas être celui qu'il semble être. Enfin, il y a un jeune sapeur sikh, qui n'a débarqué en Europe que pour servir l'armée coloniale britannique, être formé comme démineur et voir l'horreur déchiré le vieux continent. Quatre expériences personnelles de la guerre.

Michael Ondaate prend un malin plaisir à brouiller les pistes, à s'affranchir des distances et de la chronologie, pour nous perdre quelquefois dans un récit qui a la nébulosité de l'esprit de celui qui s'adonnerai à la morphine. La narration, entrecoupée et disparate, est à l'image du livre de chevet - histoires d'Hérodote, du patient anglais, agrémenté de dessins, d'extraits d'autres livres, de cartes. Le roman offre de beaux passages sur les charmes et mystères du désert et propose une description intéressante sur l'art périlleux du déminage.
Commenter  J’apprécie          90




Lecteurs (786) Voir plus



Quiz Voir plus

Les Amants de la Littérature

Grâce à Shakespeare, ils sont certainement les plus célèbres, les plus appréciés et les plus ancrés dans les mémoires depuis des siècles...

Hercule Poirot & Miss Marple
Pyrame & Thisbé
Roméo & Juliette
Sherlock Holmes & John Watson

10 questions
5270 lecteurs ont répondu
Thèmes : amants , amour , littératureCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..