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3,48

sur 414 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Jean d'Ormesson n'est intéressant que comme témoin privilégié d'un monde en voie de disparition ("Au plaisir de Dieu").

Comme philosophe, il est pathétique.

Son histoire universelle, ses réflexions sur le temps, Dieu et L Univers ne sont que des bavardages de salon qui transpirent d'une mélancolie due à son manque cruel de talent et à son angoisse de mort.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Désolé pour l'écrivain qui s'accroche à un dieu qui n'existe pas . Son manque d'ojectivité sur l'avenir et principalement les jeunes. Un beau titre qui m'a attiré, la belle lumière de ses yeux n'y est pas ! deux étoiles parce qu'il fait de belles phrases
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Je n'avais eu que des échos positifs de cet auteur ! Alors je me suis lancé dans ce livre....
J'ai été déçu la lecture n'est pas fluide, l'histoire un peu décousu.... je n'ai pas accroché du tout, j'ai eu du mal à lire ce livre qui pourtant n'était pas très gros.
Peut-être ne suis-je pas tombée sur le bon...
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Jean d'Ormesson nous raconte ses souvenirs, souvenirs d'enfance, de jeunesse, mais aussi souvenirs des époques qu'il a traversées.

Dans ce roman, il parle surtout de son grand-père, du château familial de Plessis-lez-Vaudreuil, du cousin adopté devenu fermier, bouddhiste, communiste et résistant qui a côtoyé De Gaulle et d'autres et qui lui a surtout ravi l'amour de sa cousine Marie, qu'il ne retrouvera que des années plus tard.

Ses anecdotes sont toujours drôles, la plupart sont intéressantes, très intéressantes même. Un bémol cependant, les digressions sur le temps, par exemple, relèvent plus du ressenti que de la philosophie.
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Le début est intéressant puis l'auteur sombre dans ses habituels clichés philosophiques. Grâce à ses relations et au battage médiatique, ce livre se vend bien mais se lit mal.
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Bonjour les lecteurs ...

Petit avant-propos pour commencer:
Je n'aime pas beaucoup Monsieur D'Ormesson, j'avais lu un de ses livres il y a des années ( je ne me souviens plus du titre ) et j'avais baillé d'ennui.
Suite à l'insistance de certains, je m'y suis replongée et non, non décidément, cela ne passe pas.

Je trouve ce Monsieur assez fat sous ses belles tournures de phrases, il étale ses lectures en redites et redites et joue à l'apprenti philosophe ... Bref, entre lui et moi, le courant ne passe pas.

Là je vais me faire descendre à vitesse V.. j'assume!

Ce livre se déclin en trois parties " tout passe" , "rien ne change" et " il y a au dessus de nous quelque chose de sacré".
Ce livre est plutôt un carnet de souvenirs, de réflexions.
On tourne entre la famille, la religion, les belles rencontres, l'amour et la passion de Monsieur D'Ormesson pour " la belle littérature".
Le problème c'est que très vite, on se demande où on va !

Les chapitres sont courts mais assez répétitifs ( Même lui s'en rend compte dans un chapitre !!!) et avec de longues énumération.
L'auteur s'accroche désespérément à des valeurs ancienne et fait très peu confiance au futur.
Et tout cela pour en arriver à la conclusion que malgré tout, la vie vaut la peine d'être vécue.

Bien que ce livre énonce certaines vérités plaisantes ou dérangeante, je l'ai trouvé très très nombriliste.
Je m'en fous un peu de savoir que Monsieur D'Ormesson soit de bonne famille, connaisse du monde, sache écrire ( encore heureux, il est académicien), je m'attendais à beaucoup plus de profondeur!

Bref, j'ai lu ce livre sans y trouver beaucoup d'intérêt et avec un certain ennui tout en reconnaissant une maitrise parfaite de la lange française !

Décidément Monsieur D'Ormesson (Narcisse ?) n'est pas fait pour moi !

( pour la petite histoire.. le titre de ce livre est une phrase tirée d'un poème d'Aragon ).
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Une maitrise parfaite de la langue qui n'a malheureusement pas pu sauver cet ouvrage centré sur l'égo. La magie des mots à laquelle Jean d'Ormesson nous a habitué tant dans ses prises de parole que dans ses écrits n'a pas su opérer. A plusieurs reprises l'intérêt du lecteur est capté mais aussi tôt relâché du fait d'idées insuffisamment développées. Effectivement, l'auteur est loin d'avoir tout dit... Lecture à déconseiller pour éviter l'ennui.
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d'Ormesson Jean, - "Un jour je m'en irai sans avoir tout dit" – Robert Laffont, 2013 (ISBN 2-221-13833-3)

Ce texte se réclamant du roman est, de fait, une sorte d'essai plus ou moins centré sur la question de la croyance en un Dieu, commençant par une série d'anecdotes autobiographiques. J'aime bien le personnage d'Ormesson, tout en l’ayant peu lu, mais je me demande tout de même quelle pertinence accorder au témoignage d'un auteur (car il ne s'agit guère ici d'un roman) qui a vécu dans un cadre aussi privilégié, totalement hors du commun, très très très loin du sort des humbles manants dépourvus de tout héritage...
Malgré la grande différence de contexte géographique, le roman d'Arnaldur Indridason intitulé "Etranges rivages" (voir recension) me paraît bien plus intéressant et bien plus proche de mes préoccupations...
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Que t'arrive-t-il, mon Jeannot ? C'est confus et décousu, tout cela. La digression est un art et suppose une minutie subtile, une organisation invisible, qui me semble absente de ce jet de pensée. La quatrième de couverture me promettait "une histoire si belle que chacun rêvera qu'elle soit la sienne", or, point d'histoire là dedans. Elle promettait de belles considérations, aussi, et citait l'un des plus jolis passages du livre, une déclaration d'amour. Oui, c'est beau.

Mais non, ça ne suffit pas. Jean d'Ormesson, mon petit, je t'aime beaucoup, tu me rappelles mon grand-père, brillant d'intelligence et d'émotion surannée. Mais, comme lui, dans ta crainte d'Un jour t'en aller sans en avoir tout dit, tu ne tiens pas assez fermement ton stylo, et te laisses par lui emporter. Dans un livre, il faut un brin de discipline. Même si, et c'est parfois un véritable jeu d'équilibriste, il s'agit de ne pas la faire sentir.

Il n'y a pas d'unité de sens dans ce roman, qui n'en est pas un, mais ressemble plutôt à un journal intime bâtard entre Les Mémoires, un condensé d'articles de presse sur tous les sujets, un blog tenu par quelqu'un d'instruit, et la confession délitée d'un érudit qui, (comme ils aimaient à le faire fin début XXe) cite à tout va les noms célèbres de ses compagnons de route, comme si, à leur époque ou à la nôtre, la préoccupation première du lecteur était un quelconque voyeurisme. Passés les ans, c'est d'autant plus flagrant que ce n'est pas là le coeur de la littérature, puisque tous les héros cités ont depuis longtemps fané, comme les journaux qui leur faisaient la part belle. Quelle importance ? Je m'en moque de savoir que la marquise Untelle était la maîtresse du Directeur de Trucmuche. C'est rasoir, superficiel et raz-les-pâquerettes.

La littérature, oui, ça c'est un vrai sujet ! le livre démarrait là-dessus, et pendant quelques pages, il avait de l'envergure, du sens et de la poésie. Il aurait dû s'y tenir.
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"Fana" de Jean d'Ormesson, je suis très déçu par son "dernier" ouvrage.
Trop de longueur, de retour en arrière, de regrets.....
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