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3,97

sur 263 notes
Sur un scénario très mince (Qui est Violeta del Rio? A-t-elle été assassinée?) Padura nous entraîne comme toujours dans la vie cubaine. La vie d'avant, celle d'un pays rutilant et corrompu, et la vie d'aujourd'hui, celle de la pauvreté, de la faim, du délabrement... et de la corruption.
Si son ex-flic vendeur de livres, Mario Condé est toujours un personnage attachant, le récit se perd souvent dans ses réflexions mystico-politico-historico- sociologique...
In fine, la résolution de l'intrigue ne mérite pas un livre entier et celui-ci n'est pas le meilleur de l'auteur. Pour autant, bien qu'ayant sauté quelques pages, je suis allée jusqu'à la fin sans déplaisir.
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Une photo trouvée dans un livre et Mario Conde commence ses recherches. Qui est cette femme sur la photo ?
Découverte du vrai Cuba, de la vie des gens simples, de la misère, des repas pantagruéliques avec ses amis... Une fresque vivante et instructive. Un roman passionnant.
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Padura est un grand raconteur, ses personnages sont attachants et on entre ici vraiment dans Cuba
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La Havane, été 2003, Mario Conde a quitté la police ; depuis, il vend et achète des livres. Et cette fois- ci, c'est la caverne d'Ali Baba, un vrai bonheur de bibliophile. Mais de lourds secrets dorment parmi ces pages ! Un vieil article
des années 50 annonçant la retraite d'une jeune et envoûtante chanteuse de
boléro intrigue l'ancien inspecteur… Padura tient en haleine son lecteur, en outre il brosse un portrait saisissant des difficultés de vie à Cuba. Ce roman
au magnifique titre évocateur est aussi une déclaration d'amour aux livres et
à la lecture. Ecoutons ce que dit à Mario, son bibliothécaire d'enfance : « chaque livre, n'importe lequel, est irremplaçable, chacun a un mot, une phrase, qui attend son lecteur. »
(Jean- Pierre)
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Mario Conde est le personnage crée par Padura que l'on retrouve dans plusieurs de ses livres. Approchant la cinquantaine,il a quitté la police et se consacre à sa passion : les livres anciens. Il découvre ainsi une bibliothèque fabuleuse que deux étranges personnes voudraient vendre. Et dans un livre se cache un article de journal relatant la mort d'une chanteuse oubliée : Violeta del Rio. Désormais, Conde est hantée par cette femme qui chantait des boléros dans un style si personnel. Son enquête l'entraîne très loin dans l'histoire politique de Cuba, les liens avec la Mafia, le trafic de drogue et la prostitution. Alors, fallait-il déchirer les brumes du passé ?
Un roman noir, un roman triste. Mais, les pleurs de Mario Conde en font aussi un roman très humain.
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Roman policier cubain dans lequel un ancien flic devient acheteur de vieux livres, a faim, mange tout ce qu'il gagne, s'occupe de ses amis et fait une enquête pour se disculper de la mort du propriétaire d'une bibliothèque extraordinaire. Personnages attachants, ambiances vraiment bien rendues avec un Cuba qui pleure et un Cuba qui rit, des descriptions de livres anciens et de leurs illustrations qui font monter l'eau à la bouche... C'est d'autant plus dur quand on a l'estomac vide.
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Même sans connaître le héros, on se prend d'affection pour lui et sa petite troupe d'amis tous aussi pittoresques et attachants les uns que les autres.
La lecture est agréable, fluide.
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Mario Conde est inspecteur de police retraité à La Havane. Il vit d'un petit commerce d'achat et vente de livres anciens. Il ne se fait aucune illusion sur son avenir. Demain sera comme hier, à jamais. Il vit sans projet mais toujours curieux et passionné de livres rares. Et lorsqu'il lui arrive de réaliser une bonne affaire il dépense tous ses bénéfices en une soirée à boire et manger avec des potes de longue date. Ils s'offrent alors des mets et des alcools qu'ils ne peuvent pas se payer d'ordinaire. Un jour, dans un livre qu'il vient d'acheter, il découvre un article découpé dans un quotidien d'époque qui parle de la « Dame de la Nuit ». Cette Dame était une chanteuse lorsque La Havane était une ville flamboyante. Elle séduisait la jet set par sa voix et de ses anches. Mario se met à enquêter sur la disparition subite de cette diva dans la fleur de l'âge. Il s'entêtera jusqu'au bout, sans très bien savoir ce qui le motive, à trouver des explications.

Dans son enquête, Mario rencontre des gens qui mènent une vie misérable, minable, parfois un peu mieux : médiocre. Mais Leonardo Padura nous fait voir ce qui entretient l'espoir de ces gens et les petites choses qui font leurs joies occasionnelles. Les dialogues sont bruts et sans artifices et traduisent le souci permanent de tous ces êtres à survivre dans la pauvreté et le manque de liberté. Au-delà de l'intrigue policière bien menée, Leonardo Padura nous emmène sur le sentier étroit de quelques valeurs humaines délaissées. Leonardo Padura croit que dans des conditions de vie aussi dures et ingrates il y a encore place pour l'honnêteté, l'amitié, la fidélité. Ce n'est pas la recherche de l'argent à tout prix qui anime Mario. Ce n'est pas non plus la volonté de trouver l'assassin qui le motive. Est-il à la recherche d'un bonheur perdu ? D'un bonheur raté ? D'une belle histoire dont il a rêvé et qui pourrait être la sienne?
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Mario Conde est le personnage crée par L.Padura qui revient dans plusieurs de ses livres. Approchant la cinquantaine, il a quitté la police et se consacre à sa passion : les livres anciens. Il entre en contact avec une fabuleuse bibliothèque que deux étranges personnes veulent vendre. Il découvre dans un de ces livres un ancien article de journal concernant la mort d'une chanteuse oubliée Violeta del Rio. Désormais, Conde, hanté par cette femme, veut en savoir plus. Mais, son enquête l'entraîne très loin , dans l'histoire politique de Cuba, les liens avec la Mafia, le trafic de drogue et la prostitution. Alors, fallait-il déchirer les brumes du passé ?
Un roman noir, un roman triste. Mais, les pleurs de Mario Conde en font aussi in livre profondément humain.
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